J'ai été interviewée sur Radio Chalom Nitsan le 4 décembre 2024, dans le cadre d'Israël d'hier et d'aujourd'hui, émission animée André Barmo'ha. J’ai évoqué essentiellement la cérémonie de souvenir de la rafle des juifs de Tunis en 1942, l'exil forcé de près d'un million du juif du monde musulman en quelques décennies, le boycott antisémite étatique d'Israël à Eurosatory et Euronaval, le commissaire divisionnaire Sammy Ghozlan (1942-2023) fondateur du BNVCA (Bureau national de vigilance contre l'antisémitisme), le dîner républicain des Communautés juives franciliennes (CCJ) du 3 décembre 2024, "Un crime sans nom" de José Aynouz et "Pogrom(s) de Pierre Rehov, deux documentaires sur l'agression djihadiste en Israël du 7 octobre 2023 et deux expositions immigrationnistes. Diffusion sur RCN le dimanche 8 décembre 2024 à 9 h. Durée : 1 h. Cliquez ici pour écouter le podcast.
Mon interview par Radio Chalom Nitsan du 25 mars 2010Mon interview par Radio Chalom Nitsan le 25 février 2022 sur la pétition sur le rapport d’Amnesty International, « Portraits de France » et « Samouni Road » sur l'exposition Juifs d'Orient à l'IMA, le 36e diner du CRIF et la guerre en Ukraine
Mon interview par Radio Chalom Nitsan le 30 mai 2022 sur le meurtre de René Hadjadj, l'antisémitisme dans la campagne des élections législatives visant Eric Zemmour et ses soutiens, et la mort de la journaliste américano-palestinienne Shireen Abu Akleh
Mon interview par Radio Chalom Nitsan le 13 décembre 2022 sur les Juifs et le Judaïsme dans le "Récit national" ainsi que la tragi-comédie sur la présidence du Groupe d'études sur l'antisémitisme à l'Assemblée nationale demandée par le Rassemblement national
« Il y a mille façons d'informer. Il n'y en a qu'une pour dire la vérité »... Radio Chalom Nitsan émet de Nice. Cette "radio de la communauté Juive de la Côte d'Azur" dispose d'un site Internet, d'un compte Facebook, et d'une chaine Youtube.
Dans le cadre d'Israël d'hier et d'aujourd'hui, émission « sur l'actualité d'Israël et la géopolitique du monde » animée par André Barmo'ha qui laisse ses invités s'exprimer librement.
On peut écouter les interviews en live et sur divers supports. Diffusions de l'Émission (HD)
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En Israël sur Radio Futée
Chaque Samedi soir / Motsé Shabbat (Heure d’Israël)
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Rafle des juifs de Tunis en 1942
Le dimanche 8 décembre 2024 à 10 h 45 se déroulera, en mémoire des Juifs de Tunisie victimes de la Shoah, la cérémonie commémorative de la rafle des Juifs de Tunis par les SS (9 décembre 1942) au Mémorial de la Shoah, 17 rue Geoffroy l’Asnier - 75004 PARIS et en présence de différentes personnalités civiles et militaires. Entrée libre.
Puis, ce dimanche 8 décembre 2024 à 14 h, à l'Auditorium du Mémorial de la Shoah, aura lieu la table-ronde sur les Juifs de Tunisie pendant la Seconde Guerre mondiale intitulée "S’ENGAGER, SURVIVRE ET RESISTER : LES JUIFS DE TUNISIE A L’HEURE DES PERILS". Un double évènement organisé par la SHJT sous la présidence de Claude Nataf.
Il est regrettable que soit enseignée une "Shoah islamiquement et arabiquement correcte", omettant que la "Solution finale" des Nazis visait tous les juifs, où qu'ils vivent, pas seulement sur le continent européen, le rôle important de musulmans, dont le grand mufti de Jérusalem al-Husseini, dans la Shoah : propagande radiophonique de Berlin en direction du monde Arabe enthousiaste envers Hitler et le nazisme, enrôlement au service des forces de l'Axe, farhud en Irak, l'occupation nazie de la Tunisie, la déportation de juifs de Tunisie par avion, etc. Les séquelles de celle alliance islamo-nazie sont encore vivaces au Moyen-Orient : exemplaires de Mein Kampf trouvé dans des domiciles gazaouis, etc.
Il importe de souligner aussi que des Juifs de Tunisie se sont engagés dans les armées alliées et ont combattu en Italie, en France, en Allemagne - un de mes grands oncles a été blessé en Forêt noire -, en Autriche, etc. et ont découvert les camps nazis d'extermination.
Environ un million de Juifs ont été contraints de quitter des pays arabes, l’Iran, la Turquie, la vieille ville de Jérusalem, la Judée, la Samarie - trois territoires occupés par la (Trans)Jordanie -, etc., essentiellement des années 1940 aux années 1970 et en direction d'Israël, de l'Europe et de l'Amérique du nord.
La valeur de leurs biens abandonnés est évaluée à 150-300 milliards de dollars. La superficie des biens dont ils ont été spoliés (100 000 km²) est cinq fois supérieure à celle de l'Etat d'Israël.
Cet exil est, avec la dhimmitude, l'un des différends qui doivent être résolus. Les négociations pour la paix entre Israéliens et "Palestiniens" ont intégré ce thème.
En 2014, la Knesset a choisi le 30 novembre comme Journée commémorant "l'exode oublié" ou plutôt « l'exil et l'expulsion des Juifs des États arabes et de l'Iran ». Soit le lendemain de l'adoption le 29 novembre 1947, par le vote de la résolution 181 de l'Assemblée générale de l'ONU, du plan de partage de la Palestine mandataire entre un Etat Juif, un Etat arabe et une zone internationalisée intégrant Jérusalem,et le jour du début de la réaction violente annoncée d'Etats musulmans contre "leurs" Juifs ("Une guerre d'extermination et un massacre capital", avait menacé Abdul Rahman Azzam Pasha, premier Secrétaire général de la Ligue arabe, au quotidien égyptien Akhbar al Yom le 11 octobre 1947).
Lors de l'office du chabbat du 30 novembre 2024, de nombreuses synagogues ont rappelé cet exode et un kaddish y a été dit.
L'association AMUSSEF (Amis du Musée du Monde Sépharade) est très dynamique.
David Dahan, directeur de l'Observatoire des Juifs Réfugiés des Pays Arabes (OJRPA), a lancé la pétition "Reconnaissance par l’ONU du statut de réfugiés pour les juifs expulsés de pays arabes", rédigée en français, en anglais, en hébreu et en arabe.
Conformité au "politiquement correct" lié au "vivre ensemble" ? Aucune des principales organisations juives françaises - CRIF (Conseil représentatif des organisations juives françaises), Consistoires, FSJU (Fonds social juif unifié) - n'a évoqué publiquement cet évènement, ni organisé le moindre évènement.
Boycotts étatiques d'Israël
Le droit français - l’article 24 alinéa 7 de la loi sur la presse du 29 juillet 1881 et l’article 225-2 du code pénal (un an d’emprisonnement et 45 000 euros d’amende) - punit le boycott.
En 2020, la Cour européenne des droits de l'homme (CEDH) autorise certains boycotts au nom de la liberté d"’expression politique et militante" et s'ils concernent "un sujet d’intérêt général" (CEDH, 2020, Baldassi, Akbar et autres).
En 2024, le Président de la République Emmanuel Macron a imposé le boycott d'entreprises israéliennes lors de deux salons internationaux majeurs de la défense - Eurosatory et Euronaval - au cours desquels sont présentées des innovations technologiques militaires, sont signés et annoncés des contrats, etc.
Bisannuel, organisé par le GIGAT (Groupement des Industries Françaises de Défense et de Sécurité Terrestres et Aéroterrestres) adhérent de France Industrie, Eurosatory est le Salon international consacré à la défense et à la sécurité terrestres et aéroterrestres (17-20 juin 2024) à Villepinte, dans la banlieue au nord de Paris, près de l'aéroport international de Paris. A la différence du salon du Bourget, il n'est ouvert qu'aux professionnels et à la presse, et pas au public.
En mai 2024, sous la Présidence d'Emmanuel Macron et le gouvernement du Premier ministre Gabriel Attal, la France décidait d'interdire les stands d'Israël, un rival de l'industrie de la défense française, à Eurosatory. Aucun élu ou candidat de la majorité présidentielle n'avait exprimé d'indignation face à ce boycott antisémite.
Le 14 juin 2024, le Tribunal de Bobigny a élargi l'interdiction à l'entrée de tout Israélien représentant l'armement israélien, et à ses intermédiaires, à ce Salon. Une ordonnance cassée par la Cour d'appel le 18 juin 2024. Saisi en référé d’heure à heure par la Chambre de commerce France Israël, le Président du Tribunal de commerce de Paris a jugé le 18 juin 2024 que la mesure d’exclusion des société israéliennes de Eurosatory est discriminatoire".
De nouveau, un boycott étatique antisémite a visé le salon Euronaval (4-7 novembre 2024) à Villepinte, "rendez-vous mondial consacré à la défense navale", et une procédure judiciaire a donné raison aux victimes du boycott. Le 30 octobre 2024, "le tribunal de commerce de Paris a annulé, en référé (procédure d’urgence), la décision du Conseil de défense et de sécurité nationale (CDSN) qui avait interdit aux entreprises israéliennes d’exposer au salon militaire Euronaval... Il a considéré que « la perte des investissements mobilisés par les demanderesses ainsi que les bénéfices escomptés de leur exposition se produira si la situation dénoncée perdure». En d’autres termes le tribunal a estimé que cette interdiction d’exposer porte un préjudice commercial et financier aux entreprises concernées. « On ne boycotte pas les entreprises américaines dont les équipements sont utilisés à Gaza ou au sud Liban. Or l’armée israélienne utilise essentiellement des équipements américains. Cette interdiction est absurde et discriminatoire... Nous constatons que l’Etat de droit prévaut face à la manifestation de la volonté de l’Etat au plus haut niveau, afin de faire cesser une situation discriminante », a indiqué l’avocat des entreprises israéliennes et de la Chambre de commerce France-Israël Patrick Klugman. Sollicités par Libération, ni le ministère de la Défense ni la société organisatrice du salon Euronaval n’ont réagi à cette décision".
L'Etat d'Israël et des entreprises israéliennes d'armement ou de défense solliciteront-ils en justice l'indemnisation de leurs préjudices ?
"Malgré les revers juridiques, le gouvernement français ne compte pas en rester là. Le préfet de Paris a saisi le tribunal des conflits pour statuer sur la compétence du tribunal de commerce dans ce type de décisions. Selon les autorités, ces questions relèvent de la politique étrangère, non du droit commercial. Cette démarche vise également à prévenir une nouvelle participation des entreprises israéliennes au prestigieux Salon de l’aéronautique et de l’espace, prévu en 2025 au Bourget. L’avocat Me Patrick Klugman a souligné l’aspect inédit de la situation. Selon lui, la saisie du tribunal des conflits est une tentative de « valider a posteriori » les actions du gouvernement. Son commentaire sur « un match qui continue » illustre bien la dynamique actuelle de confrontation."
Ces décisions de boycott émanent du Président Emmanuel Macron qui a choisi l'escalade d'actes hostiles répétés, publics, envers l'Etat d'Israël et les juifs. Pourquoi ? Volonté d'exclure un concurrent aux produits "combat proven", c'est-à-dire offrant la preuve opérationnelle (utilisation lors de batailles) ? Vexation du refus israélien d'obéir à ses exhortations au cessez-le-feu ? Conscience de sa faiblesse et de son isolement diplomatique mondial, notamment dans une zone d'influence traditionnelle de la France ? Dépit de constater la victoire militaire brillante, mais coûteuse en termes humains, d'Israël contre des mouvements terroristes islamistes alors que le Chef de l'Etat s'est ridiculisé en déclarant l'état de guerre contre un coronavirus peu dangereux ? Crainte que les citoyens français ne réclament de leur Président et de son gouvernement qu'ils agissent comme Israël contre les terroristes et les narcotrafiquants sur le territoire national ? Refus ou incapacité à accepter des Juifs qui se défendent, qui combattent pour leur Etat-nation, qui se tiennent droit malgré un monde hostile, patriotes fiers de leur identité juive et israélienne, contrairement aux clichés antisémites du juif victime passive ? Antisémitisme personnel ?
Ces boycotts correspondent à la stratégie de Durban (Afrique du Sud) qui en 2001 a décidé d'affaiblir et d'ostraciser l'Etat d'Israël afin de l'anéantir par des BDS (Boycotts Désinvestissements Sanctions) dans tous les domaines : économique, scientifique, diplomatique, culturel, universitaire, sportif, etc.
Sammy Ghozlan (1942-2023)
En 2023, Guimel Edition a publié « Un commissaire atypique », autobiographie posthume du commissaire de police divisionnaire Sammy Ghozlan (1942-2023).
L'auteur évoque son enfance heureuse dans une famille juive traditionnaliste à Constantine (Algérie), son départ d'Algérie durant le djihad, sa carrière dans la police, les entraves à sa promotion professionnelle émanant de dirigeants communautaires, comme chef d'orchestre oriental, son combat contre l'antisémitisme nourri par le "palestinisme" - création du BNVCA (Bureau national de vigilance contre l'antisémitisme), des Communautés juives d'Ile-de-France, etc. -, le terrorisme islamique, son aliyah. Il y déplore la soumission de dirigeants d'organisations juives françaises au pouvoir politique et au "politiquement correct" occultant l'antisémitisme islamique, la rareté du soutien des musulmans aux juifs victimes depuis le déclenchement de l'Intifada II par Arafat de la recrudescence du nombre d'actes antisémites, dont des assassinats, émanant généralement de la population musulmane.
Le dîner républicain des CCJ
Au début des années 2000, Sammy Ghozlan avait créé les Conseils départementaux des communautés juives d'Ile-de-France, instances de dialogue avec les pouvoirs locaux : préfets, conseils municipaux.
Le 3 décembre 2024, le Conseil des Communautés juives du Val-de-Marne (CCJ 94) et l'Union des Collectivités du Val-d'Oise (UCJ 95), leurs Présidents Gérard Uzan et René Taieb, les communautés et associations du Val-de-Marne, du Val-d'Oise et d'Ile-de-France ont organisé leur diner républicain annuel au Pavillon Baltard (Nogent-sur-Marne) sous la Présidence d'honneur de Jacques J.P. Martin, maire de Nogent-sur-Marne, en présence d'élus locaux, de représentants du corps préfectoral, de l'ambassade d'Israël, de responsables de communautés, d'institutions et d'associations, laïques, juives ou chrétiennes franciliennes. Un écran affichait les visages des otages, dont deux franco-israéliens, dans la bande de Gaza.
Devant une salle pleine d'environ 650 convives, les orateurs ont exprimé leur solidarité avec Israël dans sa guerre existentielle, leur combat contre l'antisémitisme et la désinformation, et ont alerté sur l'implantation des réseaux islamistes.
2 documentaires sur l'agression djihadiste en Israël du 7 octobre 2023
"Un crime sans nom" de José Ainouz et "Pogrom(s)" de Pierre Rehov sont deux documentaires refusés de diffusion par des chaînes de TV car non anti-israéliens.
Le documentariste "Un crime sans nom" de José Ainouz a recueilli, sur plusieurs mois, les témoignages bouleversants de rescapés israéliens de l'agression djihadiste du 7 octobre 2023, de secouristes de Hatzalah, les analyses de psys, historien et sociologue.
On mesure l'écart entre la civilisation juive et la barbarie djihadiste, la profondeur des traumatismes chez ces rescapés, l'union militante d'une nation pour obtenir la libération de ses membres otages et que cette agression djihadiste n'a pas dessillé les yeux de certains militants du "camp de la paix".
Le réalisateur montre la prise de conscience progressive des Israéliens, en cette journée tragique, de l'ampleur d'un évènement d'une nature imprévue, qui rappelle par des aspects la Shoah - juifs brûlés, irruption des djihadistes en véhicules motorisés, volonté de détruire tout le peuple Juif, etc. - et l'adaptation des secouristes pour soigner les blessés au bord de la route.
"Pogrom(s)" est un documentaire produit et réalisé par Pierre Rehov sur l'agression djihadiste du 7 octobre 2023 dans le sud d'Israël par environ 6 000 Gazaouis armés - 3 800 terroristes islamistes, notamment du Hamas, et 2 200 civils -.
Aux souvenirs des secouristes israéliens et aux confessions d’auteurs de ce djihad, aux images filmées par des djihadistes sont jointes des analyses d’universitaires ou de militants pour la paix ou les droits de l’homme afin de comprendre l’enchainement de faits ayant abouti à cette guerre particulièrement cruelle et les évènements postérieurs (recrudescence de l’antisémitisme, manifestations de la « rue arabe » et de ses alliés).
Images à l'appui des rappels historiques d'universitaires, Pierre Rehov montre la propagande haineuse antisémite de l'Union soviétique et des nazis, la création d'un narratif faux incarné par un Yasser Arafat relooké en révolutionnaire laïc du "peuple palestinien", le rôle d'Etats finançant le terrorisme - Iran, Qatar -, la partialité de l'ONU, notamment via l'UNRWA, et d'ONG.
Le réalisateur insiste sur la négation et la contextualisation de cette agression, et ce, dès le 8 octobre 2023.
Deux expositions immigrationnistes
L'idéologie immigrationniste dans deux expositions à Paris : "Chaque vie est une histoire" au musée de l'immigration et l'Homme et "Migrations, une Odyssée humaine" au musée de l'Homme. Ces expositions partiales et culpabilisatrices soulèvent des questionnements sur l'endoctrinement des visiteurs scolaires, le financement public, l'omission de faits (délinquance, enjeux démocratiques, etc.).
Lors du vernissage presse de "Chaque vie est une histoire" au musée de l'immigration, Taysir Batniji a évoqué « Naplouse en Palestine d’où je viens ». Le photographe Gilles Delmas a enchainé : « Il y a 20 ans, j’étais dans la bande de Gaza. Ce qui se passe à Gaza ne me surprend pas ». « Et le 7 octobre 2023, cela ne vous a rien fait ? ». « Oui », a-t-il répondu.
Le Musée de l'Homme propose l’exposition politique, historico-botanico-archéologico-géographico-gastronomico-artistiques immigrationniste et partiale « Migrations, une odyssée humaine ». Sans respect de la chronologie, l'exposition multiplie les carences de ce phénomène - enjeux démocratiques, heurts de civilisations, surreprésentation d'immigrés dans la délinquance, instrumentalisation d'institutions dont la justice, etc. - pour présenter une vision quasi-morale de l'accueil des migrants, en éludant toute voix discordante. Quid du djihad et des invasions ? Quid du rôle des migrants dans les attentats de Paris (2015) et de Bruxelles (2016) ? Quid des "gouvernements des juges" qui entravent toute politique migratoire, notamment en matière d'expulsions ? Quid des mafias organisant ces trafics humains ? Quid des ONG dont le chiffre d'affaires et le train de vie fastueux de leurs dirigeants ?
Centrée sur les êtres humains, l'exposition évoque aussi les migrations de... fruits et légumes.
Biographie d'Alain Kleinmann
Est publiée la biographie du peintre et sculpteur Alain Kleinmann, représentant la génération de juifs nés de rescapés de la Shoah, par Brigitte Haus, qui analyse une oeuvre centrée sur la mémoire.
"Brigitte Haus signe avec cet ouvrage de plus de 490 pages la monographie de référence sur l’œuvre d’Alain Kleinmann. L’autrice est psychologue, docteure en histoire de l’art contemporain et spécialiste de l’art juif du XXe siècle."
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