vendredi 20 septembre 2024

Les éoliennes

Installées sur terre ou en mer à la faveur de la "transition écologique", les éoliennes représentent plus d'inconvénients que d'avantages : 
énorme quantité de béton armé et de terres rares extraites en Chine sans respect de l'environnement, inutilité en l'absence de vent, arrêt en temps de grand froid, pales se détachant parfois de son support, meurtrières pour les oiseaux, faible rendement énergétique, gaspillage d'argent public, problèmes de santé pour les riverains, etc. Arte diffusera le 21 septembre 2024 à 22 h 25 « Les éoliennes en mer. Quelle cohabitation avec la nature ? » de Susanne Brahms.

« OGM - Mensonges et vérités » de Frédéric Castaignède 

Au nom de la "transition écologique" et des "énergies vertes", motivés par une idéologie écologique infondée, encouragés par l'Union européenne (UE), influencés par des lobbys anti-nucléaires, des gouvernements européens ont multiplié les installations d'éoliennes, souvent fabriquées en Chine, sur terre et en pleine mer.

Et ce, malgré les effets dommageables : énorme quantité de béton armé et de terres rares extraites en Chine sans respect de l'environnement - le socle demeurera après la fin d'exploitation des éoliennes -, inutilité en l'absence de vent, pales se détachant parfois de son support et meurtrières pour les oiseaux, nécessitant l'intervention d'un hélicoptère pour les dégivrer - bilan carbone très élevé -, faible rendement énergétique, gaspillage d'argent public (subventions), problèmes de santé pour les riverains, pollution sonore, etc.

"La facture de l’éolien c’est 72 à 90 milliards d’euros : c’est l’équivalent de ce qu’on a mis dans le parc nucléaire historique français. L'éolien sera amené à produire tout au plus 15% de notre électricité, alors que le nucléaire en fournit lui 71,7% !", a déclaré Julien Aubert, Président d'Oser la France, le 19 février 2020 sur RTL.

Fabien Bouglé
En 2019, les éditions du Rocher ont publié « Eoliennes : la face noire de la transition écologique » de Fabien Bouglé, expert en politique énergétique, "porte-parole du réseau national ULYSSE qui réunit de nombreuses associations s'opposant en France à des projets de construction de centrales éoliennes". 

« Elles sont partout, incarnant le symbole de la transition écologique : sur les sites internet institutionnels, dans les livres scolaires, les publicités, les films, les médias… Les éoliennes ont envahi les campagnes et les littoraux et sont devenues dans le monde entier, par une propagande systématique, le symbole de l'écologie et de la lutte pour le climat. »

« Et pourtant, derrière cette image verte… Pollution, émissions de CO2, atteintes à la santé et à la biodiversité, détournement de fonds publics, augmentation du prix de l'électricité, conflits d'intérêt, mafia : découvrez ce que le lobby du vent vous cache sur les éoliennes. »

Fabien Bouglé a expliqué dans Conflits (13 juin 2020) : 
"Le gouvernement, profitant de la crise sanitaire, [a décidé] l’installation de 12 000 éoliennes supplémentaires en France d’ici à 2028. (NDLR : à ce jour 8 000 éoliennes sont installées en France).
La France est d’abord et avant tout un pays dont la production d’électricité est à 90 % décarbonée par le nucléaire et l’hydroélectrique. Notre pays est donc l’un des meilleurs élèves au monde en termes de décarbonation. Installer des éoliennes c’est diminuer une production nucléaire décarbonée par une production électrique intermittente. Or, le facteur de charge des éoliennes n’étant que de 22 %, lorsqu’elles ne tournent pas, EDF doit faire fonctionner des usines au gaz ou au pétrole fortement émetteurs de gaz à effet de serre. Cet aspect a été rappelé par la commission de régulation de l’énergie lors de la commission d’enquête parlementaire créée par le député Julien Aubert en 2019...
Non seulement les éoliennes n’augmentent pas la décarbonation de notre pays qui est déjà exceptionnelle, mais en plus elle contribue à l’augmentation des émissions des gaz à effet de serre par l’utilisation d’usines aux énergies fossiles lorsqu’elles ne tournent pas. En Allemagne, ce sont les usines au charbon qui sont couplées aux éoliennes. La cour fédérale allemande a dénoncé en 2019 le fait que, malgré 500 milliards d’euros consacrés aux énergies renouvelables, dont l’éolien, elle n’a pas connu de baisse de ses émissions des gaz à effet de serre. La politique éolienne germanique est un échec retentissant et on voudrait prendre ce pays en modèle.
En outre les matériaux utilisés par les constructeurs éoliens sont soit non recyclables soit négatifs pour l’environnement. Les pales d’éoliennes sont en fibre de verre ou de carbone non recyclable. Les fumées produites par leur incinération sont cancérigènes. Lors de leur démantèlement, les pales d’éoliennes doivent être enfouies dans des décharges. Depuis la sortie de mon livre où j’évoque ce sujet, Bloomberg a réalisé un reportage très intéressant en mettant en avant des photographies spectaculaires de décharges d’éoliennes aux États-Unis.
Par ailleurs, les mécanismes des nacelles d’éoliennes contiennent des terres rares en quantité, en particulier le néodyme, dont l’extraction est réalisée en Chine notamment à Baotou. Selon les chiffres du Bureau de recherches géologiques et minières et le ministère de l’Écologie, il faut 200 kilos de terres rares pour une petite éolienne et une tonne pour une éolienne en mer. Ces métaux nécessitent 10 bains d’acide sulfurique et oxalique et les déchets contiennent des éléments hautement radioactifs. On est loin de l’image idyllique des éoliennes assimilées par l’ONG Greenpeace à de jolies fleurs dans les paysages pour sauver la planète.
Les études internationales sérieuses et universitaires sur les conséquences des éoliennes sur le monde animal sont édifiantes. Nouveau-Mexique, Inde, île de Man, France, Australie, partout dans le monde, les spécialistes de la biodiversité alertent sur leurs conséquences désastreuses sur la nature : diminution des populations d’oiseaux marins par deux ou trois au large de l’île de Man, pertes importantes des rapaces et en particulier du milan royal relevées en Inde, en Suisse ou au Luxembourg, échouages de baleines à proximité de centrales éoliennes au large du Rhode Island ou en mer du Nord en Europe, mortalité inexpliquée de vaches dans différentes exploitations en France, décès de visons au Danemark, et hécatombe mondiale de chauves-souris pourtant essentielles à nos écosystèmes.
Les études se multiplient sur l’impact en particulier des infrasons produits par les éoliennes sur les animaux et malgré cela les ONG environnementales ou de défense des oiseaux (WWF, LPO, FNE, GreenPeace, etc.) font la sourde oreille, se rendant complices de ce massacre.
Leurs sources de financement expliquent en grande partie leur silence voire leur approbation à cette atteinte à la biodiversité sous prétexte de sauver la planète. On assiste là à une véritable négation du projet écologique par les associations qui s’érigent en gardiennes morales de l’environnement et des animaux. Aujourd’hui, les soi-disant associations écologistes se sont placées du côté des industriels qui détruisent la nature sous prétexte d’écologie. Il y a un mois Mickael Moore a sorti un documentaire très intéressant – déjà vu 8,5 millions de fois –, Planet for Human, qui fait ce constat aux États-Unis. La prise de conscience que l’écologie est tuée par de soi-disant écologistes devient un phénomène mondial.
Là encore, de nombreuses institutions ont alerté sur le coût astronomique des éoliennes. La Commission de régulation de l’énergie, la cour des comptes en 2018, la commission des finances de l’assemblée nationale en 2019, toutes ont évalué le coût futur de la politique des éoliennes (en mer et sur terre) entre 80 et 120 milliards d’euros pour les prochaines années sans compter les dépenses passées qui se chiffrent en dizaines de milliards d’euros. À cela, il convient d’ajouter le coût de modification des réseaux électriques évalué par RTE à environ 35 milliards d’euros.
Toutes ces dépenses sont payées par les consommateurs sur leur facture d’électricité ou sur leur facture d’essence via la taxe carbone. Des taxes servent à payer les subventions des promoteurs éoliens qui touchent 83 euros le mégawattheure pour les éoliennes sur terre et environ 180 euros le mégawattheure pour les 6 projets d’éoliennes en mer alors que le prix de marché est de l’ordre de 40 euros le mégawattheure. Avec la crise du covid, ce prix de marché s’est même effondré : il était fixé à 18 euros le jeudi 27 mai.
Avec la crise sanitaire, les promoteurs éoliens qui bénéficient d’un prix garanti voient leurs subventions fortement augmenter puisque la différence entre le prix garanti et le prix de marché est beaucoup plus forte, cela risque de faire augmenter d’autant la masse financière considérable que doivent payer les français en particulier sur leur facture d’essence.
En effet, la Commission de régulation de l’énergie a expliqué il y a un an que ces subventions aux promoteurs éoliens étaient financées par un compte d’affectation spéciale (CAS) alimenté par la taxe carbone dont l’augmentation est à l’origine de la crise des gilets jaunes. Il y a un lien très étroit entre la politique éolienne de notre pays et la crise des gilets jaunes…
Ce qu’il faut retenir c’est que les milliards d’euros ponctionnés aux Français servent en réalité à alimenter les profits considérables des fonds de pension étrangers propriétaires de ces centrales éoliennes. En fait, l’argent des Français sert à financer la retraite des pays étrangers. C’est un incroyable constat, mais c’est la pure vérité, car une grande partie des centrales éoliennes n’appartiennent pas à des groupes énergétiques français.
Par des réformes successives, le gouvernement et en particulier les différents ministres de l’écologie ont dans le domaine éolien supprimé des voies de recours, testé la suppression des commissaires enquêteurs, supprimé le premier degré de juridiction, supprimé les avis préalables du conseil national de la protection de la nature, et diminué le pouvoir décisionnel des élus et maires …
Bref toutes ces mesures ont été prises pour accélérer les installations des éoliennes en dépit des résistances citoyennes ou même des élus. Cela rend la situation intenable et effectivement les élus mêmes dans la majorité ont bien du mal à lutter contre les projets éoliens qui leur sont imposés avec la complicité des préfets aux ordres.
Nous sommes dans une situation que j’ai nommée dans mon livre de « dictature verte ». La décision doit s’imposer coûte que coûte et la population n’a plus son mot à dire. Sur le terrain, cela devient insupportable et cela explique la radicalisation du monde rural de plus en plus remonté contre les éoliennes.
Les terres rares constituent l’élément de fabrication de l’éolienne ayant le plus d’enjeux géostratégiques à l’échelle mondiale. En effet, la chine a conquis un quasi-monopole mondial de l’extraction de terres rares. Les seules mines de Baotou en Mongolie réalisent à elles seules 70 % de la production mondiale de terres rares. Ces métaux sont d’ailleurs au cœur du conflit commercial opposant les États-Unis et la Chine qui profite de sa position monopolistique pour s’affirmer sur la scène politique et commerciale mondiale.
Nos sociétés écologiquement correctes sont très dépendantes de ces terres rares qui causent, nous l’avons vu par ailleurs, de véritables désastres environnementaux. C’est la raison pour laquelle nos sociétés occidentales ont préféré délocaliser la pollution générée par ces terres rares loin en Chine. La fabrication des voitures électriques, des ordinateurs, des téléphones et bien sûr des éoliennes est, comme je l’ai dit précédemment, très consommatrice de terres rares. Contrôlant le marché des terres rares, la Chine peut évidemment imposer ces éoliennes manufacturées dans ces usines.
À cet égard on remarquera que la France subventionne une industrie qui lui a totalement échappé. En effet, notre pays ne dispose d’aucun, je ne dis bien d’aucun constructeur d’éoliennes. Si bien que pour installer nos centrales éoliennes, il nous faut utiliser des éoliennes danoises (Vestas), hispano-allemandes (Siemens-Gamesa), ou chinoises (Godwind). En France nous nous contentons juste de mettre en place des chaînes d’assemblage comme un pays sous-traitant.
Là encore cela pose d’énormes problèmes de balance commerciale puisque nous subventionnons une filière dont les retombées industrielles ne bénéficient qu’à la marge à notre pays. Cet aspect commence à être dévoilé, mais constitue une importante « anomalie » dont les représentants de l’État ont peine à se rendre compte. Nous finançons à fonds perdu l’industrie étrangère et cela devient très grave.
Partout où les éoliennes sont installées, on assiste à une multiplication des résistances populaires. Les décisions prises à Paris de multiplier les éoliennes ont créé une rupture sociologique entre le monde rural ou littoral qui subit de plein fouet les conséquences dramatiques de l’installation des centrales éoliennes et le monde urbain et en particulier parisien qui rêve d’une société écologique, mais laisse aux ruraux le soin de subir les conséquences d’une telle politique.
Les éoliennes sur terres peuvent faire jusqu’à 240 mètres de haut pales comprises et la distance d’implantation est d’au minimum 500 mètres. Dans les campagnes, il y a des ruraux en situation de détresse, des suicides, des dépressions. Le monde des pêcheurs doit laisser la place au promoteur éolien et cela de manière autoritaire. Du Tréport à Saint-Brieuc et jusqu’à Noirmoutier, la pêche traditionnelle est en grand danger. Partout où les éoliennes ont été installées, le tourisme baisse. Là encore des études détaillées ont montré que les touristes ne veulent pas s’installer dans un lieu de villégiature qui donne directement sur une centrale éolienne.
Un projet de 22 éoliennes est prévu sur la montagne Sainte-Victoire, emblématique de l’œuvre du peintre Cézanne. Les promoteurs éoliens, avec la complicité d’un état aveuglé, sont prêts à tout détruire pour imposer leurs machines infernales. La tension est à son comble dans les campagnes et sur les côtes.
L’Allemagne a intérêt à voir réduire en France notre parc nucléaire non seulement dans la mesure où elle profite du marché des éoliennes dont elle est un des leaders mondiaux, mais aussi parce que, en accroissant le coût de notre électricité, elle permet de baisser la compétitivité de notre industrie. Ne parlons pas des États-Unis qui ont toujours en sous-main œuvré pour la destruction de notre avancée technologique dans le domaine du nucléaire. Bref, certains pays ont tout intérêt à nous affaiblir économiquement en nous vendant des solutions électriques archaïques et polluantes avec les éoliennes tout en détruisant notre nucléaire qui constitue un élément phare de notre souveraineté électrique.
Ce n’est pas étonnant dans ce contexte que l’Allemagne ait réussi à installer au sein même des locaux du ministère de l’Écologie un organisme de lobbying de droit allemand, l’OFATE (Office Franco-Allemands pour la transition écologique), ayant pour vocation notamment de développer la filière éolienne. Une véritable hiérarchie parallèle s’est ainsi créée au sein même de nos institutions. Alors, oui, nous sommes en guerre, mais encore une fois nos gouvernants n’en ont pas encore conscience ou font semblant de ne pas le voir."
« Les éoliennes en mer, quelle cohabitation avec la nature ? »
Arte diffusera le 21 septembre 2024 à 22 h 25 « Les éoliennes en mer. Quelle cohabitation avec la nature ? » de Susanne Brahms.

« Au cœur de la transition énergétique, les parcs éoliens en mer ont une incidence sur la biodiversité. Entre refuge pour certaines espèces et danger pour d'autres, un panorama des études menées en Europe pour mesurer leur impact et réduire leurs risques pour la faune et la flore. »

« Si le premier parc éolien offshore a été installé au Danemark en 1991, l'Europe parie aujourd'hui massivement sur cette solution renouvelable pour réduire sa dépendance aux énergies fossiles, à l'heure du changement climatique et de la guerre en Ukraine. »

« Mais ces impressionnantes turbines qui déchirent l'horizon ne risquent-elles pas de menacer l'écosystème où elles sont implantées ? »

« Des études menées en mer du Nord et dans la Baltique, dont les biotopes sont déjà affectés par l'activité humaine, présentent un bilan contrasté. »

« En Belgique, une équipe de scientifiques a montré que certaines espèces – anémones, bivalves, crabes dormeurs, homards… – colonisaient l'enrochement des mâts, tandis que les cabillauds y trouvaient refuge. »

« À l'inverse, les mammifères marins, comme les marsouins, en déclin inquiétant, souffrent des multiples pollutions sonores provoquées par les éoliennes – explosions, construction, maintenance – qui endommagent gravement leur système auditif, essentiel à leur écholocalisation et à leur survie. »

« Dans le ciel, alors que les populations d'oiseaux marins ont chuté de 70 % dans le monde entre 1960 et 2010, les chercheurs remarquent aussi que les parcs éoliens offrent des escales reposantes à des migrateurs, tout en menaçant certaines espèces de collisions. »

« De la Belgique à la Norvège en passant par l'Allemagne et le Danemark, ce documentaire analyse l'impact des parcs éoliens en mer sur l'environnement et présente des pistes pour réduire leurs nuisances sur la faune et la flore. »

« Des chercheurs ont ainsi noté que, en peignant une pale en noir pour plus de visibilité ou en stoppant quelques nuits par an les turbines en période de migration, les risques d'accidents mortels pour les oiseaux se réduisaient drastiquement. »

« Les bivalves s'accrochant aux fondations des mâts, la réintroduction en milieu naturel de l'huître plate quelques nuits par an capable de filtrer quelque 240 litres d'eau par jour quelques nuits par an, permettrait aussi d'associer parcs éoliens, aquaculture et restauration écologique. »

« Par ailleurs, si l'éolien a le vent en poupe, les installations solaires flottantes pourraient constituer une solution complémentaire pour produire de l'électricité avec une incidence limitée sur la biodiversité. »
« Autant de perspectives prometteuses pour une exploitation raisonnée de la mer, dont les humains ne seraient plus les seuls à profiter. »

« Eolien-solaire : une révolution ? »
Arte diffuse sur son site Internet, dans le cadre de la série « Le dessous des cartes », « Eolien-solaire : une révolution ? »

« Dans un monde où le dérèglement climatique s’accélère, l’éolien et le solaire semblent plus que jamais être des énergies d’avenir. »

« Cette semaine, "Le dessous des cartes" vous fait découvrir comment ces ressources utilisées depuis des millénaires sont remises au goût du jour par le XXIe siècle. »

« De l’Inde au Danemark, en passant par la Chine et les États-Unis, les projets d’envergure concernant les énergies renouvelables se multiplient. »

« Résultat, la part de l’éolien et du solaire dans le mix électrique mondial a explosé ces dernières années. »

« D’autant plus que les coûts des éoliennes et autres panneaux solaires se sont considérablement réduits, notamment parce que la Chine a investi massivement dans cette industrie, parvenant à casser les prix et à vendre au monde entier ses composants. »

« De quoi faire des énergies renouvelables un enjeu écologique d’abord, géopolitique ensuite, pour le meilleur et pour le pire. »


Allemagne, 2024, 52 mn
Coproduction : blindCat Documentary, ARTE/NDR
Sur Arte les 21 septembre 2024 à 22 h 25, 29 septembre 2024 à 7 h 15
Disponible à partir du 21/09/2024
Sur arte.tv du 21/09/2024 au 19/12/2024
Visuels : © Susanne Brahms

France, 2023, 13 min
Présentation : Émilie Aubry
Émission du 31/08/2024
Disponible jusqu'au 17/07/2031



Du 24 février au 22 septembre 2024
Au Musée de l’image ville d’Epinal 
42, quai de Dogneville. 88000 Épinal 
Tél : 03.29.81.48.30 
Visuels 


Posés au fond des  

Aucun commentaire:

Enregistrer un commentaire