Née en 1933, Dame Joan Collins est une actrice, femme de lettres et philanthrope britannique dont le père était juif. Dès 1955, elle tourne à Hollywood : La Fille sur la balançoire (1955) de Richard Fleischer, Une île au soleil (1957) de Robert Rossen, avec James Mason, Stephen Boyd et Harry Belafonte, La Brune brûlante (1958) de Leo McCarey, Esther de Raoul Walsh. Après une éclipse, elle est distinguée pour son rôle dans le feuilleton télévisé Dynasty. Arte diffusera le 2 juin 2023 à 22 h 30 « Dame Joan Collins. Une actrice glamour mais sans fard » de Clare Beavan.
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Née en 1933, Dame Joan Collins est une actrice et femme de lettres britannique dont le père, agent artistique, était juif et la mère, professeure de danse anglicane.
Dès 1955, elle tourne à Hollywood : The Woman's Angle de Leslie Arliss (1952), La Terre des pharaons de Howard Hawks (1954), La Fille sur la balançoire (1955) de Richard Fleischer, Une île au soleil (1957) de Robert Rossen, avec James Mason, Stephen Boyd et Harry Belafonte, La Brune brûlante (1958) de Leo McCarey, Esther et le Roi (1960) de Raoul Walsh et Mario Bava, Les Sept Voleurs de Henry Hathaway (1960), Cent millions ont disparu d'Ettore Scola (1965), Le Grand Sommeil de Michael Winner (1978)...
Après une éclipse, elle est distinguée pour son rôle dans le feuilleton télévisé américain Dynasty.
Fervente monarchiste, Joan Collins a soutenu la Première ministre conservatrice Margaret Thatcher, et le Brexit en 2013.
« Dame Joan Collins. Une actrice glamour mais sans fard »
Arte diffusera le 2 juin 2023 à 22 h 30 « Dame Joan Collins. Une actrice glamour mais sans fard » (This is Joan Collins), documentaire de Clare Beavan.
« De Londres à Hollywood, raconté avec humour par la star elle-même, le parcours semé d’embûches de Joan Collins, fringante octogénaire et inoubliable visage de la série "Dynastie".
« Enfant, elle collectionnait les images de stars, en rêvant de brûler les planches des théâtres du West End à Londres. »
« Repérée par le cinéma à 16 ans, Joan Collins, née en 1933, fuit le désastre d’un mariage précoce, quand Howard Hawks la convoque dans la Rome de la dolce vita pour le tournage de La terre des pharaons. »
Le péplum propulse la petite Anglaise dans un Hollywood au crépuscule de son âge d’or. Starlette des gazettes, l’"Elizabeth Taylor des pauvres", comme la surnomment les mauvaises langues, y croise des producteurs prédateurs, dont Darryl F. Zanuck, et des icônes du septième art, comme la féroce Bette Davis, à qui elle donne la réplique dans The Virgin Queen, ou encore l’irrésistible Warren Beatty, auquel elle succombe ».
« La douce Marilyn Monroe, elle, lui dispense des conseils pour "survivre", un art pourtant où l’actrice de La fille sur la balançoire de Richard Fleischer (1955) excelle déjà. »
« Au fil des décennies, féministe et amoureuse, l’insolente Joan Collins enchaîne les mariages – cinq au total – et des films oubliables de la Fox, tout en élevant trois enfants. »
« Mais alors que la comédienne disparaît peu à peu des radars du cinéma, la série Dynastie la hisse, au début des années 1980, au sommet de la célébrité planétaire. »
« Dans ce documentaire en forme d’autoportrait nourri d’archives, Dame Joan Collins – elle a été anoblie en 2015 – déroule non sans humour le parcours semé d’embûches d’une star de série B, entre Londres et Hollywood. »
« Femme d’affaires et femme de cœur, l’actrice, adepte revendiquée du glamour, évoque ses combats pour s’imposer dans la vie comme à la scène. »
« À l’aube des "années fric", c’est la télévision, s’amuse-t-elle, qui lui offre, avec le rôle de la redoutable Alexis de Dynastie, robes à épaulettes et coiffures kitsch comprises, la gloire tardive (récompensée d’un Golden Globe) que le cinéma lui refusait. »
« Mais derrière l’exercice bien huilé de la professionnelle des talk-shows télévisés, avec formules dignes de publicités et anecdotes croustillantes, perce la lucidité d’une fringante octogénaire, ravie d’avoir profité du système du show-biz qui croyait l'exploiter. »
« Dame Joan Collins. Une actrice glamour mais sans fard » de Clare Beavan
Royaume-Uni, 2022, 54 mn
Production : Abacus media rights, Salon Picture
Sur Arte les 2 juin 2023 à 22 h 30, 17 juin 2023 à 5 h 10
Sur arte.tv du 31/05/2023 au 30/08/2023
Visuels :
© SWR/Salon Escobar/Sophie Müller
© SWR/Salon Escobar/Joan Collins Privatarchiv
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