vendredi 1 mars 2024

Giuseppe Arcimboldo (1526-1593)

Giuseppe Arcimboldo (vers 1527-1593) est un peintre milanais maniériste, renommé pour ses portraits intrigants, composés bizarrement de légumes, de fruits, d'animaux ou d'objets. Il a suscité l'admiration des surréalistes. Arte rediffusera le 3 mars 2024 à 17 h 45 « 
Arcimboldo, portrait d'un audacieux » (Arcimboldo - Malergenie des Manierismus) de Benoît Felici. 

Giuseppe Arcimboldo, Arcimboldi, ou Arcimboldus (vers 1527-1593) est un peintre milanais maniériste, renommé pour ses portraits intrigants, composés d'un assemblage de légumes, de fruits, d'animaux ou d'objets. Après des siècles d'oubli, il est découvert par des surréalistes admiratifs.

« Arcimboldo, fruit d’un Milan exalté »
Arte diffuse sur son site Internet, dans le cadre de « Invitation au voyage « Arcimboldo, fruit d’un Milan exalté ».

« Des femmes en fleurs de la racine des cheveux jusqu’aux tétons. Des hommes aussi mûrs que les fruits d’automne qui composent leur intriguant profil. L’art du peintre italien Giuseppe Arcimboldo ne laisse personne indifférent. Ce poète du trompe-l’œil est le produit exalté de la société de son temps. Un Milan riche d’une industrie du luxe et de somptueuses fêtes carnavalesques. »

« Arcimboldo, portrait d'un audacieux »
Arte diffusera le 3 mars 2024 à 17 h 45 « Arcimboldo, portrait d'un audacieux » (Arcimboldo - Malergenie des Manierismus) de Benoît Felici.

« Derrière leur étrangeté, les toiles facétieuses de Giuseppe Arcimboldo (1526-1593), maître du maniérisme, se révèlent extraordinairement modernes. Exploration des secrets d’une oeuvre "surréaliste" avant l’heure. »

« Si Giuseppe Arcimboldo (1526-1593) n’a peint qu’une trentaine de tableaux, il a profondément marqué notre imaginaire collectif ». 

« Chacun connaît ses étonnants portraits composés d’un assemblage d’éléments disparates – fleurs, fruits, animaux, viandes ou objets du quotidien… –, qui suscitent un sentiment d’étrangeté ou de fascination ». 

« Formé à Milan puis invité comme portraitiste à la cour de Vienne, où il développe l’astuce visuelle qui fera sa renommée, le jeune Arcimboldo incarne toute l’audace et la vivacité du maniérisme de la Renaissance finissante – ce courant qui, en réaction au classicisme d’un Léonard de Vinci, substitue à la perfection mathématique la fantaisie de l’artiste, et se délecte des trompe-l’œil, des jeux érudits et des énigmes ». 

« Longtemps considérée comme anecdotique, naïve ou frivole, l'œuvre d’Arcimboldo, pourtant révolutionnaire de son vivant, est tombée dans l’oubli après sa mort, pour n’être redécouverte qu'avec l’avènement de l’art moderne. »

« Dans les années 1920, les surréalistes – Salvador Dalí et sa technique de "paranoïa critique", ou encore l’artiste et écrivaine Meret Oppenheim – le portent aux nues, se réappropriant avec bonheur son esthétique du collage et son goût pour l’onirisme et le symbole. Tandis que certaines de ses toiles, comme l’extraordinaire Bibliothécaire, semblent anticiper l’esthétique cubiste… »

« Grâce aux passionnants éclairages d’historiens de l’art, mais aussi d’artistes contemporains comme Maurizio Cattelan, Jan Svankmajer ou Iris Schieferstein, ce documentaire fait dialoguer les époques pour explorer les mystères et la subtilité de ce peintre moderne avant l’heure ». 

« En mêlant le beau et le laid, le vivant et le mort pour former de singulières chimères, Arcimboldo semble aussi s’inscrire dans une réflexion on ne peut plus actuelle : penser la place de l’humain dans l’ordre de la nature. » 


Musée du Luxembourg
« Célèbre pour ses têtes anthropomorphes composées à partir de plantes, de fruits, d’animaux et autres éléments, Giuseppe Arcimboldo (1526-1593) reste un peintre encore mystérieux. »

En 2007-2008, « Madame Sylvia Ferino, conservateur de la Peinture italienne Renaissance au Kunsthistorisches Museum, Vienne, a conçu pour le Musée du Luxembourg la première exposition monographique consacrée à cet artiste. Véritable événement, elle révéla des aspects inconnus de la personnalité et de l’oeuvre d’Arcimboldo, tels que ses portraits de facture classique ou ses projets de costumes et décors pour diverses festivités à la cour des Habsbourg. Elle leur permis de découvrir, à l’aune du contexte culturel dans lequel il a oeuvré, les multiples facettes de cet esprit, un des plus fertiles et talentueux de l’époque maniériste. »

« Né en 1526 dans une famille de peintre, Arcimboldo est répertorié pour la première fois en tant que peintre en 1549, à l’occasion de la réalisation de cartons de vitraux pour la cathédrale de Milan. Appelé à Vienne par son fils, Maximilien de Habsbourg, il restera au service de la cour impériale des Habsbourg pendant 25 ans, de 1562 à 1587, et sera comblé de tous les honneurs. Ferdinand Ier, Maximilien II puis Rodolphe II, qui tous admirent son érudition, son inventivité et sa sensibilité, lui confient de nombreuses charges. En effet, en parallèle de son activité de portraitiste de la famille impériale (aujourd’hui méconnue en raison des difficultés d’identification et d’attribution de ces tableaux de facture classique), il réalise plusieurs séries qui suscitent l’engouement de ses contemporains: les Quatre Saisons, les Quatre Eléments et les Métiers ainsi que quelques natures mortes réversibles. Doué de multiples talents, il est également dessinateur de costumes et décors pour les innombrables manifestations et cérémonies qui ponctuent la vie à la cour, à Vienne comme à Prague mais aussi inventeur de jeux d’eau, conseiller artistique! et illustrateur de la faune et de la flore pour le compte de grands scientifiques. »

« Adulé de son vivant, Arcimboldo tombe dans l’oubli après sa mort en 1593. Sans doute ses œuvres étranges et extravagantes, dont peu d’originaux subsistent, furent-elles mal comprises. Redécouvertes au début du XXe siècle par les surréalistes qui considérèrent ce créateur de «!bizarreries plastiques!» comme un des précurseurs de l’art moderne, elles provoquent depuis une vingtaine d’année l'intérêt des historiens d’art comme du grand public, consacré, avec brio, par cette grande exposition. »

« L’exposition comprenait une centaine d’oeuvres. Outre la présentation des célèbres têtes composées issues de collections privées et muséales du monde entier, un important ensemble de tableaux (dont de nombreux portraits inédits), de tapisseries, et d'oeuvres graphiques rend hommage à l’étendue de l’extraordinaire univers pictural de l’artiste, d’une richesse allégorique et formelle inégalée. Quelques oeuvres de comparaison, dont des d'objets d'art provenant du célèbre Kunstkammer des Habsbourg et des ouvrages illustrés en lien direct avec l'artiste, permettaient d'appréhender le contexte socio-culturel de l’époque et de la cour des Habsbourg, en particulier pour une meilleure compréhension de sa production. Cette exposition, placée sous la commissariat de Madame Sylvia Ferino, conservateur de la Peinture italienne Renaissance au Kunsthistorisches Museum, était co-organisée par le Musée du Luxembourg et le Kunsthistorisches Museum, Vienne, où elle a été présentée du 11 février au 1er juin 2008 ».

« Le nom d’Arcimboldo reste à ce jour intimement associé à ses oeuvres étranges, capricci, scherzi ou grilli, autant d’inventions fantastiques de têtes anthropomorphes composées à partir de plantes, fruits, animaux et autres éléments. D’un prime abord, simples représentations des saisons et des éléments, elles incarnaient également des personnalités telles que l’empereur Rodolphe II en Vertumne (Château de Skokloster, Suède). Elles pouvaient aussi représenter des membres de la cour, comme le Juriste ou le Bibliothécaire, compositions élaborées à partir d’ouvrages et de liasses de documents, ou le Cuisinier ou l’Homme-potager, à partir de plats et de légumes », a analysé Dr Sylvia Ferino, commissaire de l'exposition, Conservateur de la Peinture italienne Renaissance, Kunsthistorisches Museum, Vienne.

Et Sylvia Ferino de poursuivre : « Ces créations ont donné lieu à d’abondantes interprétations, allégoriques, métaphoriques et politiques, qui ont mis en valeur l’érudition et l’esprit des mécènes du peintre, ainsi que celui de leur entourage sophistiqué à la cour. Elles constituent, comme le souligne de récentes études, une des nombreuses facettes du caractère excentrique de la culture maniériste de cour ».

« Ces incomparables inventions d’Arcimboldo ont donné lieu à une mémorable exposition intitulée L’Effet Arcimboldo, présentée au Palazzo Grassi à Venise en 1987. Elle examinait l’influence à court puis à long terme de l’oeuvre du peintre sur les générations d’artistes qui l’ont suivi, plutôt que le peintre lui-même! : sa formation et, d’une manière générale, sa biographie n’y était abordées qu’à titre d’introduction », a observé Sylvia Ferino.

« Jusqu'à présent, de rares études seulement concernaient sa formation artistique, l’atelier de son père, ses premières réalisations et possibles projets pour des vitraux et tapisseries. Ce n’est que récemment que de nouvelles hypothèses ont été émises, notamment sur sa participation active à l’illustration d’ouvrages scientifiques contemporains et sa possible contribution à l’illustration de la faune et de la flore des ouvrages du scientifique bolognais Ulisse Aldrovandi. Il n’existe toutefois pas d’indications claires quant à l’origine de son intérêt particulier pour la nature, s’il y a été introduit dans sa jeunesse en Lombardie ou, plus tard, à la cour de Habsbourg », a constaté Sylvia Ferino.

« Il convient par ailleurs de se pencher sur l’existence de nombreux versements pour des portraits réalisés durant les 25 ans qu’il a servi à la cour des Habsbourg, de 1562, date à laquelle il a été appelé à Vienne par Maximilien de Habsbourg sous le règne de son père l’empereur Ferdinand Ier, à 1587, date à laquelle il quitta le service de l’empereur Rodolphe II pour se retirer à Milan, sa ville natale. Jusqu’à présent, seul le portrait de Maximilien II et de sa famille (conservé au Kunsthistorisches Museum, Gemäldegalerie, Vienne) lui était attribué », a décrit Sylvia Ferino.

« Il est donc essentiel de souligner que la production de bizarries et de grilli - oeuvres pour lesquelles il est si célèbre aujourd’hui - ne constitue qu’une petite partie des commissions qu’il a réalisées en tant qu’artiste de cour. Ainsi, parmi les 150 dessins qu’il a présenté à l’empereur Rodolphe II en 1585 (conservés à la Galleria degli Uffizi, Florence), certains étaient des projets pour des fêtes éphémères (couronnements, mariages, etc.), tandis que d’autres des études d’après nature », a insisté Sylvia Ferino.

« Quant à la série de dessins documentant la production de la soie (aujourd’hui au Museum of Fine Arts, Boston), elle est particulièrement importante non seulement dans le cadre du débat sur la signification du grotesque mais aussi au regard de celui concernant la supériorité des avancées de l’âge moderne sur l’Antiquité », a précisé Sylvia Ferino.

Et Sylvia Ferino de conclure : « Compte tenu de la diversité de la production artistique d'Arcimboldo, une biographie actualisée de l'artiste explorant ses entreprises personnelles et professionnelles s'impose : une exposition monographique est donc l'occasion de combler les lacunes dans notre connaissance de l'homme ('persona') qui a réussi à se dissimuler derrière le bizarre et le grotesque, avec tant d'habilité. »

Centre Pompidou-Metz
Vous qui allez, errant à travers le monde,
Curieux d’y voir hautes et stupéfiantes merveilles,
Venez-ci, où vous trouverez des...

« Cette inscription destinée aux promeneurs du jardin de sculptures fantastiques de Bomarzo pouvait tout aussi bien accueillir les visiteurs de l’exposition Face à Arcimboldo présentée au Centre Pompidou-Metz, du 29 mai au 22 novembre 2021 ».

« Née d’un dialogue entre l’artiste Maurizio Cattelan et Chiara Parisi, directrice du Centre Pompidou-Metz et commissaire de l’exposition avec Anne Horvath, l’exposition Face à Arcimboldo propose une visite inédite, à rebours de toute chronologie, dans les méandres de la pensée de ce peintre mystérieux du XVIe siècle, pour percer l’actualité de son vocabulaire ».

« Si les portraits composites d’Arcimboldo sont aujourd’hui universellement connus, la richesse et la diversité de son œuvre restent à découvrir. Giuseppe Arcimboldo (1526-1593) est un inventeur et un penseur dont les réflexions et les travaux dépassent la question de la représentation du visage dans la peinture. L’exposition montre combien son œuvre irrigue l’histoire de l’art depuis cinq siècles et vient éclairer nombre de débats philosophiques et politiques actuels. »

« Outre le caractère exceptionnel de la présentation des célèbres Saisons du musée du Louvre et de la Real Academia de Bellas Artes de San Fernando à Madrid, l’accent est mis sur ses œuvres les plus surprenantes : les vitraux qu’il a créés au tout début de sa carrière à la Cathédrale de Milan, les dessins à la plume et au lavis bleu de la Galerie des Offices pour les fêtes et les tournois de la cour des Habsbourg, ainsi que Le Bibliothécaire, qui frappe le regard par son langage profondément conceptuel. »

« Inaugurant la programmation de Chiara Parisi, à la tête de l’institution depuis décembre 2019, Face à Arcimboldo a été imaginée dans la lignée de la première exposition consacrée à l’artiste en Italie, au Palazzo Grassi à Venise en 1987, L’Effet Arcimboldo. Les transformations du visage au XVIe siècle et au XXe siècle conçue par Pontus Hultén, premier directeur du Centre Pompidou, avec Yasha David. »

« Face à Arcimboldo incarne l’actualité artistique à travers le regard de 130 artistes, dont le choix a été guidé par l’influence – assumée, inconsciente ou fantasmée – qu’exerce le maître lombard sur leur pensée et leur art. Chacune des 250 œuvres de l’exposition porte l’empreinte de la liberté créative d’Arcimboldo et suit un fil rouge qui traverse les siècles jusqu’à nos jours. »

« Conçue en béton cellulaire, la scénographie des architectes Berger&Berger suggère la cartographie d’une citadelle dans laquelle les générations, les géographies et les médiums s’entrechoquent. »

« Dès l’entrée de la Grande Nef du Centre Pompidou-Metz, le visiteur se confronte à l’expérience de l’installation de Mario Merz, recomposée avec ses trois parties pour la première fois depuis 1987 – l’Hommage à Arcimboldo, Cono et la Table de Chagny – où se succéderont, au rythme des jours, fruits et légumes. Head VI (1949) de Francis Bacon avoisine les collages d’Hannah Höch, Anders (Brighton Arcimboldo) (2005) de Wolfgang Tillmans jouxte l’Étude dans les catacombes de Palerme (1924) d’Otto Dix, Untitled (#155) (1985) de Cindy Sherman dialogue avec La Poupée (1935-1936) d’Hans Bellmer. Ailleurs, les fresques de Pompéi viennent illuminer les masques de la boutique dans laquelle James Ensor a passé sa vie. »

« Avec ses amples ouvertures, le parcours architectonique permet de croiser les nouvelles créations de Fernando et Humberto Campana, la monumentale fontaine phosphorescente Hills and Clouds (2014) de Lynda Benglis, l’impressionnant Gardien du jardin (XVIIe siècle), unique sculpture arcimboldesque existante, ou encore le cabinet secret de Prague du légendaire cinéaste surréaliste contemporain Jan Švankmajer. Plus loin, le portrait d’Antonietta Gonzalez (1594-1595) par Lavinia Fontana, du château royal de Blois, la vidéo de Pierre Huyghe, Untitled (Human mask) (2014) et les portraits de Zoe Leonard autour de la femme à barbe du Musée Orfila (1991) se côtoient. »

« À l’instar des Surréalistes qui avaient reconnu en la figure d’Arcimboldo une source inépuisable d’inspiration, et qui sont présents dans l’exposition avec une sélection de chefs-d’œuvre, issus notamment des collections du Centre Pompidou, ce face-à-face avec Arcimboldo est également porté par la scène contemporaine. Les oeuvres de Kerstin Brästch, Felix Gonzàlez-Torres, Rashid Johnson, Ewa Juszkiewicz, Cally Spooner, Hans-Peter Feldmann ou Ed Ruscha, témoignent à leur tour de l’importance de la vision d’Arcimboldo dans la formation de générations d’artistes, du passé comme du présent. »

« Dans le Forum du Centre Pompidou-Metz, l’installation Le désir attrapé par le masque, créée spécialement pour l’exposition par Annette Messager, se déploie sous la forme d’une farandole d’animaux masqués qui manifeste le bizarre et l’inconnu, l’affreux et le séduisant, et ouvre une réflexion sur l’hybridation. »

« Dans sa déambulation au rythme de confrontations inattendues, le visiteur est invité à faire l’expérience, de manière intuitive, des paradoxes entre l’être humain et l’animal, le végétal et le minéral, le naturel et l’artificiel, la brutalité et le raffinement, l’invention et la nostalgie, l’enracinement et le désir de départ. Des extrêmes qui apparaissent aujourd’hui plus que jamais nécessaires, comme l’est l’esprit d’Arcimboldo, pour pouvoir naviguer dans l’univers complexe de la création artistique.

Giuseppe Arcimboldo, Ulisse Aldrovandi, Francis Bacon, Enrico Baj, Hans Bellmer, Lynda Benglis, Cezary Bodzianowski, Alighiero Boetti, Denis Boutemie, René Boyvin, Giovanni Battista Bracelli, Kerstin Brätsch, Victor Brauner, Glenn Brown, Cadavres exquis [Yves Tanguy, André Masson] [Yves Tanguy, Marcel Duhamel, Max Morise, André Breton] [Koo Jeong A, Ian Cheng, Philippe Parreno] [Marlene Dumas, Virgil Abloh, Rem Koolhaas] [Alex Israel, Norman M. Klein, Henry Taylor] [Paul McCarthy, Luchita Hurtado, Patrick Staff] [Tobias Rehberger, Rirkrit Tiravanija, Mathias Augustyniak] [Peter Saville, Liam Gillick, Philippe Parreno] [Yu Hong, Liu Xiaodong, Liu Wa], Miriam Cahn, Fernando et Humberto Campana, Maurizio Cattelan, Jake & Dinos Chapman, Giorgio de Chirico, Gregorio Comanini, Gustave Courbet, Roberto Cuoghi, David Czupryn, Daft Punk, Salvador Dalí, Otto Dix, Enrico Donati, Marcel Duchamp, Albrecht Dürer, Carl August Ehrensvärd, James Ensor, Max Ernst, Hans-Peter Feldmann, Lavinia Fontana, Llyn Foulkes, Daniel Fröschl, Giambologna, Gilbert & George, Felix Gonzàlez-Torres, Grandville, Francesco Guardi, Cornelis Norbertus Gysbrechts, Heide Hatry, Robert Heinecken, Hannah Höch, Pierre Huyghe, Rashid Johnson, Christoph Jamnitzer, Ewa Juszkiewicz, Tetsumi Kudo, Claude Lalanne, Nicolas II de Larmessin, Zoe Leonard, Roy Lichtenstein, Giovan Paolo Lomazzo, Ghérasim Luca, Maître du Bacchus, Maître lombard du Custode dell’orto, Maître strasbourgeois des Quatre Saisons, Maître de la Tête de satyre (Paolo Giovio), René Magritte, Man Ray, Alberto Martini, Matthäus Merian, Mario Merz, Marisa Merz, Annette Messager, Tomio Miki, Patrick Neu, M/M (Paris), Tim Noble & Sue Webster, Luigi Ontani, Meret Oppenheim, Bernard Palissy, Peintre d’Herculanum, Peintre du Plafond au bestiaire, Peintre de Pompéi, Francis Picabia, Pablo Picasso, Louis Poyet, Markus Raetz, André Raffray, Antonio Rasio, Auguste Rodin, Medardo Rosso, Ed Ruscha, Niki de Saint Phalle, Chéri Samba, Alberto Savinio, Iris Schieferstein, Arnold Schönberg, Cindy Sherman, Penny Slinger, Il Sodoma, Daniel Spoerri, Cally Spooner, Jacopo Strada, Jindřich Štyrský, Jan Švankmajer, Alina Szapocznikow, Wolfgang Tillmans, Jean Tinguely, Toyen, Rosemarie Trockel, Francesco Zucchi. »



France, 2022, 14 min
Disponible du 09/11/2022 au 09/11/2024

« Arcimboldo, portrait d'un audacieux » de Benoît Felici
France, 2021, 53 min
Coproduction : ARTE France, Compagnie des Phares et Balises 
Sur Arte les 20 mars 2022 à 17 h 50 et 07 avril 2022 à 6 h 15, 3 mars 2024 à 17 h 45
Disponible du 13/03/2022 au 15/10/2022, du 14/12/2023 au 30/07/2024
Visuels :
En constante métamorphose, profondément audacieux, parfois subversif et effrayant, l'art d' Arcimboldo a désorienté ses contemporains et continue d' intriguer le regardeur
© CPB FILMS

Du 29 mai au 22 novembre 2021
1, parvis des Droits-de-l’Homme
CS 90490
57020 Metz Cedex 1
Tél : +33 (0)3 87 15 39 39
Du lundi au vendredi de 9 h à 12 h et de 14 h à 17 h

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