Véronique Chemla: Daniel Libeskind, architecte

Né dans une famille juive en 1946 à Łódź (Pologne), Daniel Libeskind fait son aliyah familiale en 1957 et étudie la musique en Israël. S'installant aux Etats-Unis, il y étudie l'architecture et est naturalisé en 1965. Cet architecte remporte en 1985 gagne le premier Prix Leone di Petra à la Biennale de Venise. Il a conçu le Musée juif de Berlin (1993-1998), la maison de Felix Nussbaum (Felix-Nussbaum-Haus) à Osnabrück (Allemagne), la reconstruction du World Trade Center à New York... Arte diffuse sur son site Internet « Daniel Libeskind Le magicien des émotions » (Daniel LibeskindMagier der Emotionen) d’Axel Fuhrmann.

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Les Rothschild en France au XIXe siècle
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L’esprit du Bauhaus
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Frank Lloyd Wright (1867-1959)

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Le Corbusier (1887-1965)

Lucien Hervé (1910-2007)

Daniel Libeskind, architecte

Né dans une famille juive en 1946 à Łódź (Pologne), Daniel Libeskind fait son aliyah familiale en 1957 et étudie la musique en Israël.

S'installant aux Etats-Unis, il y étudie l'architecture et est naturalisé en 1965.

Il remporte en 1985 gagne le premier Prix Leone di Petra à la Biennale de Venise.

En 1988, il participe à l'exposition d'architectes déconstructivistes au Museum of Modern Art de New York.

Il a conçu le Musée juif de Berlin (1993-1998), la maison de Felix Nussbaum (Felix-Nussbaum-Haus) à Osnabrück (Allemagne), la reconstruction du World Trade Center à New York.

En 2017, il a été choisi avec l'architecte toulousain Francis Cardete, par la mairie de Toulouse et la SNCF, pour construire le premier gratte-ciel de la cité, l'Occitanie Tower.

Membre de l'Académie des arts de Berlin en 1994, professeur dans diverses universités, il a aussi imaginé en 2019 un élément de mobilier : en acier et cuir, la chaise Boaz, disponible en chaise de bureau ou de bar, fonctionnelle, élégante, confortable et sophistiquée. Elle est fabriquée par Wilde + Spieth.

En 2019, sur les rives du lac Turkana, près de Nairobi (Kenya), le studio Libeskind a conçu Ngaren, musée d' l'Humanité qui retrace lhistoire de l'être humain sur près de deux millions d'années. L'initiative du musée revient au paléoanthropologue Richard Leakey. Un immeuble en verticalité - comme une stalactite - et à la ligne simple inspirée des instruments primitifs façonnés à la main par l'homme préhistorique. Le musée devrait ouvrir en 2024.

« Daniel Libeskind Le magicien des émotions »

Arte diffuse sur son site Internet « Daniel Libeskind Le magicien des émotions » (Daniel LibeskindMagier der Emotionen), documentaire allemand d’Axel Fuhrmann (2021).

« Célèbre pour ses constructions complexes, dont les lignes brisées évoquent tantôt des éclats de verre, tantôt des formes organiques, l’architecte star Daniel Libeskind insuffle dans les villes poésie et sensualité, marquées par son goût prononcé pour la musique. »

« Né en Pologne en 1946 avant d’émigrer avec sa famille en Israël puis aux États-Unis, cet accordéoniste passionné s’oriente très vite vers l’architecture, et se distingue dès les années 1980 comme un pionnier du mouvement déconstructiviste ».

« Qu’il s’agisse du Musée juif de Berlin – dont il dessine les plans sur du papier à musique –, de l’Imperial War Museum de Manchester ou de son projet pour Ground Zero à New York, Libeskind cultive à merveille l’art du contrepoint et de l’harmonie vibratoire ».

« À travers des entretiens avec ce bâtisseur et plusieurs de ses collaborateurs, ce documentaire propose une passionnante exploration de son œuvre complexe et inspirée. »

« One day in life »

Arte diffuse sur son site Internet « One day in life » de Bernhard Fleischer.

« Faire entendre de la musique dans des lieux où elle n’a d’habitude pas sa place : un pari réussi de l'architecte Daniel Libeskind. »

« À Francfort, avec l'aide d'une salle de concert prestigieuse, l'Alte Oper, le "vieil opéra" de la ville, l'architecte Daniel Libeskind, qui a étudié la musique en Israël et à New York, a mené à bien "One day in life", un projet original étendu à plusieurs sites."

"Parmi eux, un centre de boxe, un stade, une piscine couverte et un tramway ont ainsi transformé la cité en une immense caisse de résonance. »

« Le film suit le pianiste Pierre-Laurent Aimard interprétant la Sonate pour piano n° 31 de Beethoven près d’un ring de boxe ainsi que la violoniste Carolin Widmann foulant le gazon du grand stade de Francfort en jouant des œuvres de Bach, Bartók et Widmann. »