
Henri Alekan (1909-2001), directeur de la photographie
Brigitte Bardot
« L’ami Fritz » par Jacques de Baroncelli
Léon Barsacq (1906-1969) : « Maquettes de décors de films »
« Un ami viendra ce soir » de Raymond Bernard
« L’ami Fritz » par Jacques de Baroncelli
Léon Barsacq (1906-1969) : « Maquettes de décors de films »
« Un ami viendra ce soir » de Raymond Bernard
Zabou Breitman, comédienne, scénariste et réalisatrice
Les Enfants du Paradis, l’exposition
Sami Frey
Serge Gainsbourg (1928-1991)
Diane Kurys
Jean-Pierre Mocky (1929-2019)
Bernard Natan (1886-1942)
« Charles Pathé et Léon Gaumont. Premiers géants du cinéma » par Emmanuelle Nobecourt
Les Enfants du Paradis, l’exposition
Sami Frey
Serge Gainsbourg (1928-1991)
Diane Kurys
Jean-Pierre Mocky (1929-2019)
Bernard Natan (1886-1942)
« Charles Pathé et Léon Gaumont. Premiers géants du cinéma » par Emmanuelle Nobecourt
Sami Frey est né en 1937 à Paris dans une famille juive polonaise.
Durant la Deuxième Guerre mondiale, il survit car ses parents, avant d'être arrêtés, l'ont caché dans un panier à linge, et en enfant caché avec des membres de sa famille à Saint-Avit-les-Guespières (Eure-et-Loir), puis à Rodez. Ses parents sont déportés et assassinés dans un camp nazi.
Claude Lanzmann a brossé un portrait de l'acteur en 1962 : « Jusqu’à l’âge de 6 ans, il n’a parlé que la langue de ses pères, le yiddish. Puis, pendant deux ans, on lui a ordonné de se taire, sous peine de mort. Sa voix l’aurait trahi. Il s’est tu donc et depuis, la communication lui est douleur. »
Rescapé de la Shoah, Sami Frey doit mettre un terme à sa scolarité à 13 ans.
Il est élève au Cours Simon.
En 1970, Clouzot fait passer des essais pour "La Vérité" à Jean-Paul Belmondo, Hugues Aufray et Sami Frey. Il choisit Hugues Aufray qui ne s'entend pas avec le réalisateur. Et Sami Frey obtient le rôle masculin principal face à la vedette Brigitte Bardot. Rompant avec sa compagne Pascale Audret, Sami Frey vit une histoire d'amour avec Brigitte Bardot, alors mariée à Jacques Charrier.
Ce comédien exigeant, à la voix douce, mène de front une carrière au cinéma en France – Franju (Thérèse Desqueyroux, en 1962), Michel Deville (L'Appartement des filles, 1963), Jean-Luc Godard (Bande à part, 1964), Jean-Daniel Pollet (Une balle au cœur, 1965), William Klein (Qui êtes-vous, Polly Maggoo ?, 1966), Rappeneau (Les Mariés de l'an II, 1970), Charles Belmont (L'Écume des Jours, 1968, Rak, 1972), Claude Sautet (César et Rosalie, 1972), Adam (M comme Mathieu, 1973), Marguerite Duras (Jaune le soleil), Coline Serreau (Pourquoi pas !, 1977), Miller (Mortelle Randonnée, 1983, avec Isabelle Adjani), Jacques Doillon (La Vie de famille, 1985), Jacques Rouffio (L'État de grâce, 1986), Michel Drach (Sauve-toi, Lola), Sanders-Brahms (Laputa, 1987), André Delvaux (L’Œuvre au noir, 1988), Margarethe von Trotta (L'Africana, 1990), Steve Suissa (Mensch, 2009). -, et aux Etats-Unis : La Veuve noire de Bob Rafelson (1986).
Au théâtre, Sami Frey joue dans Les Amours de Don Perlimplín avec Belise en son jardin de Federico García Lorca - mise en scène Bernard Jenny (1957) -, La Bête dans la jungle d'Henry James - adaptation de Marguerite Duras, mise en scène Alfredo Arias, avec Delphine Seyrig, et réalisée pour la télévision par de Benoît Jacquot -, C'était hier d'Harold Pinter - mise en scène Sami Frey (1992), L'Ecclésiaste (1995), Nathan le Sage de Gotthold Ephraïm Lessing - mise en scène Denis Marleau (1997) - Je me souviens d'après Georges Perec créé en 1988 - mise en scène Sami Frey (2003), Premier Amour de Samuel Beckett (2019).
En 1974, Sami Frey réalise le Making of de Jeanne Dielman, 23, quai du commerce, 1080 Bruxelles, film de Chantal Akerman avec Delphine Seyrig, actrice engagée. Celle-ci et Sami Frey contribuent à faire connaitre le dramaturge britannique Harold Pinter au public français. Ils vivent ensemble jusqu'au décès de la comédienne en 1990.
"Au théâtre, je peux faire le silence. Je peux arrêter la marche du monde pendant un instant. (...) J'ai évidemment la possibilité de m'abstraire, le théâtre est un endroit où le silence peut être magnifique... La voix, c'est probablement le résultat d'un long processus. On s'exprime par la voix, c'est avec la voix qu'on communique avec les autres. Je travaille plus ma mémoire que ma voix. Elle est le résultat d'une vie. Quand je m'enregistre et quand je travaille, ça m'arrive de m'endormir ! Il faut pas trop s'écouter non plus parce que ça devient lassant", a déclaré Sami Frey sur France Culture.
Discret sur sa vie privée, Sami Frey a mis son talent, sa présence et son charme au service d'auteurs dont il a dit avec sensibilité et humilité les textes. Aux personnages interprétés, il restitue leur fougue, leur colère, leur audace, leur autorité, leur idéalisme, leur fragilité...
"Je pense qu’entre la vie publique et privée, l’une est tout de même le reflet de l’autre. La vie publique est le résultat d’un cheminement privé. Il y a une harmonie entre ces deux aspects, mais qui n’est pas forcément transparente... Dans le film "Le nez dans le ruisseau" de Christophe Chevalier, une chose importante est dite : le savoir permet de se forger sa propre pensée, donc de choisir sa propre liberté... Je ne suis pas croyant, mais je considère qu’il faut tout faire pour protéger la vie. Je pense que tout est à vivre", a confié Sami Frey.
« La vérité » Durant la Deuxième Guerre mondiale, il survit car ses parents, avant d'être arrêtés, l'ont caché dans un panier à linge, et en enfant caché avec des membres de sa famille à Saint-Avit-les-Guespières (Eure-et-Loir), puis à Rodez. Ses parents sont déportés et assassinés dans un camp nazi.
Claude Lanzmann a brossé un portrait de l'acteur en 1962 : « Jusqu’à l’âge de 6 ans, il n’a parlé que la langue de ses pères, le yiddish. Puis, pendant deux ans, on lui a ordonné de se taire, sous peine de mort. Sa voix l’aurait trahi. Il s’est tu donc et depuis, la communication lui est douleur. »
Rescapé de la Shoah, Sami Frey doit mettre un terme à sa scolarité à 13 ans.
Il est élève au Cours Simon.
En 1970, Clouzot fait passer des essais pour "La Vérité" à Jean-Paul Belmondo, Hugues Aufray et Sami Frey. Il choisit Hugues Aufray qui ne s'entend pas avec le réalisateur. Et Sami Frey obtient le rôle masculin principal face à la vedette Brigitte Bardot. Rompant avec sa compagne Pascale Audret, Sami Frey vit une histoire d'amour avec Brigitte Bardot, alors mariée à Jacques Charrier.

Au théâtre, Sami Frey joue dans Les Amours de Don Perlimplín avec Belise en son jardin de Federico García Lorca - mise en scène Bernard Jenny (1957) -, La Bête dans la jungle d'Henry James - adaptation de Marguerite Duras, mise en scène Alfredo Arias, avec Delphine Seyrig, et réalisée pour la télévision par de Benoît Jacquot -, C'était hier d'Harold Pinter - mise en scène Sami Frey (1992), L'Ecclésiaste (1995), Nathan le Sage de Gotthold Ephraïm Lessing - mise en scène Denis Marleau (1997) - Je me souviens d'après Georges Perec créé en 1988 - mise en scène Sami Frey (2003), Premier Amour de Samuel Beckett (2019).


Discret sur sa vie privée, Sami Frey a mis son talent, sa présence et son charme au service d'auteurs dont il a dit avec sensibilité et humilité les textes. Aux personnages interprétés, il restitue leur fougue, leur colère, leur audace, leur autorité, leur idéalisme, leur fragilité...
"Je pense qu’entre la vie publique et privée, l’une est tout de même le reflet de l’autre. La vie publique est le résultat d’un cheminement privé. Il y a une harmonie entre ces deux aspects, mais qui n’est pas forcément transparente... Dans le film "Le nez dans le ruisseau" de Christophe Chevalier, une chose importante est dite : le savoir permet de se forger sa propre pensée, donc de choisir sa propre liberté... Je ne suis pas croyant, mais je considère qu’il faut tout faire pour protéger la vie. Je pense que tout est à vivre", a confié Sami Frey.

« Dominique Marceau, jeune femme au charme dévastateur, passe en cour d'assises. Accusée d'avoir assassiné son amant Gilbert Tellier, elle clame désespérément qu'il s'agit d'un crime passionnel. Mais nul ne la croit. Son avocat a lui-même abandonné l'idée de la sortir des griffes du défenseur de la partie civile. Avec la complicité du président du tribunal, ce dernier revient sur la vie débauchée de la jeune femme pour en dessiner un portrait peu flatteur : égoïste, instable, provocatrice et oisive, Dominique aurait volé le petit ami de sa sœur Annie par pure jalousie… »
« Il souffle ici comme un petit vent de Nouvelle Vague. S'entourant de ses grands acteurs habituels – Paul Meurisse, parfait en avocat cynique et cruel, Charles Vanel et sa dérision savoureuse, et l'excellent Louis Seignier –, Clouzot fait aussi appel à la jeune génération : Sami Frey, dans l'un de ses meilleurs rôles, Jacques Perrin et, surtout, l'icône Brigitte Bardot, fraîchement auréolée de son triomphe dans Et Dieu créa la femme, qui se révèle une époustouflante tragédienne. Car, s'il joue de sa sensualité déjà légendaire (comment résister à cette séquence de danse endiablée sous les draps ?), le cinéaste parvient à tirer avec maestria l'actrice vers le registre dramatique. Côté réalisation, Henri-Georges Clouzot s'émancipe. À la mise en scène "théâtrale" du procès, réglée avec une précision d'orfèvre – et émaillée de joutes oratoires incisives, tantôt noires, tantôt cocasses –, il juxtapose en un montage judicieux des flash-back de la vie de l'héroïne. Tournées dans le Quartier latin en décor réel, ces scènes révèlent le quotidien d'une jeunesse bohème, éprise de liberté et provocatrice. Une génération porteuse des bouleversements à venir, qui s'oppose aux codes moraux bourgeois et rigides des aînés. De quoi faire taire les railleries de la Nouvelle Vague qui, à l'époque, voulait rejeter le cinéaste à l'arrière-garde. »
La Vérité (1960) de Henri-Georges Clouzot est un « suspense judiciaire autour du procès d’une jeune femme accusée du meurtre de son amant. Clouzot le terrible, fidèle à sa réputation, réalise un film d’une noirceur extrême et tyrannise la pauvre Brigitte Bardot, forcée d’abandonner ses pitreries pour jouer dans un registre paroxystique. Avec le temps, le film a gagné en étrangeté. La vulgarité du film et les poncifs qu’il véhicule sur la jeunesse sont datés, mais la mise en scène ne manque pas de force et Bardot est assez géniale", a analysé Olivier Père.
Et de conclure : "A travers le procès de cette jeune femme trop désirable, libre et amorale, coupable d’avoir trop aimé et provoqué l’amour, on peut voir celui de son actrice, star et symbole sexuel dont la vie privée passionnelle et scandaleuse faisait couler davantage d’encre que ses performances à l’écran, dans une France pudibonde et conservatrice. Il s’agirait alors d’une mise en abyme cruelle, et même sadique, typique des systèmes de domination des acteurs instaurés par Clouzot sur ses tournages, mais au résultat remarquable sur le plan dramatique. Précipité de misanthropie, La Vérité brille par la qualité de son interprétation : Paul Meurisse et Charles Vanel sont impressionnants en ténors du barreau, Sami Frey est parfait en beau ténébreux. La diffusion de La Vérité permet de saluer la mémoire de l’actrice Marie-José Nat, disparue le 10 octobre 2019. Clouzot lui offre le deuxième rôle important de sa jeune carrière après Rue des prairies de Denys de La Patellière : celui de la rivale de B.B. auprès de son amant interprété par Sami Frey. Quant à Brigitte Bardot, elle suscite l’admiration et parvient à s’imposer à l’écran en véritable tragédienne, dans ce qui restera le sommet de sa filmographie, avec Le Mépris de Jean-Luc Godard, trois ans plus tard ».
La Vérité (1960) de Henri-Georges Clouzot est un « suspense judiciaire autour du procès d’une jeune femme accusée du meurtre de son amant. Clouzot le terrible, fidèle à sa réputation, réalise un film d’une noirceur extrême et tyrannise la pauvre Brigitte Bardot, forcée d’abandonner ses pitreries pour jouer dans un registre paroxystique. Avec le temps, le film a gagné en étrangeté. La vulgarité du film et les poncifs qu’il véhicule sur la jeunesse sont datés, mais la mise en scène ne manque pas de force et Bardot est assez géniale", a analysé Olivier Père.

"César et Rosalie"

"La belle Rosalie vit sous l'aile protectrice de César, un homme issu du peuple, exubérant et charmeur, que son entreprise de récupération de métaux a rendu fort riche. César considère sans façon que Rosalie lui appartient, et celle-ci s'en amuse, jusqu'au jour où elle retrouve dans une réception un amour de jeunesse, David, un homme doux et calme."


"Avec un tact plein de justesse dans l’analyse des comportements, Claude Sautet se livre après Les choses de la vie à une nouvelle exploration du couple. Porté par un magnifique trio d'acteurs – Sami Frey, Yves Montand et Romy Schneider, parfaite d'indécision au centre de leur triangle amoureux –, son film nous touche."

"Avec César et Rosalie, Claude Sautet signe un drame gai devenu un classique du cinéma français des années 70. Romy Schneider y retrouve pour la troisième fois celui qui l’avait dirigée dans Max et les ferrailleurs et Les choses de la vie. Elle est magnifique dans le rôle de Rosalie, personnage bovarien partagé entre deux hommes qui se disputent son amour", indique Olivier Père pour Arte.
Et Olivier Père d'analyser : "Deux images de la masculinité s’affrontent dans César et Rosalie, au travers de personnages et d’acteurs au charme opposé : César, un entrepreneur dynamique et macho interprété par Yves Montand ; David, un artiste sensible et romantique auquel Sami Frey prête sa beauté ténébreuse. On aurait tort de résumer le cinéma de Sautet à sa dimension sociologique comme ce fut longtemps le cas. Les films de Sautet se caractérisent par leur perfectionnisme, leur stylisation invisible mais aussi par une forme de romanesque fiévreux, dans lequel des caractères bien ancrés dans la société française comme celui de César laissent soudainement exploser une violence incontrôlable. Malaises, crises, dérapages, effondrements… Sautet excelle à représenter des figures masculines déficientes ou débordées par leurs sentiments et leurs pulsions intimes (passion, jalousie, désir sexuel)".

"La fille de d'Artagnan"
"La fille de d'Artagnan" (D'Artagnans Tochter) de Bertrand Tavernier (1994) est librement inspiré de romans d'Alexandre Dumas. "Digne héritière de son père, Éloïse d'Artagnan est résolue à déjouer le complot qui se trame contre Louis XIV... Signé Bertrand Tavernier, un spectacle virevoltant mariant action, humour et romance. Avec un casting relevé : Sophie Marceau, Philippe Noiret, Claude Rich et Sami Frey."

"Si le film repose largement sur les épaules de Sophie Marceau, qui déploie une énergie remarquable pour habiter son personnage de jeune effrontée maniant l’épée, d’irrésistibles seconds rôles s’animent à ses côtés dans des scènes de chevauchées et de duels acharnés. Ranimés par la fougue d’Éloïse, le capitaine gascon et ses fidèles amis, héros d’antan bougons et engourdis, repartent ainsi à l’aventure contre le vil Crassac. Un spectacle virevoltant mariant action, humour et romance."

France, Italie, 1960, 123 minutes
Scénario : Henri-Georges Clouzot, Véra Clouzot, Simone Drieu, Jérôme Géronimi, Michèle Perrein et Christiane Rochefort
Production : CELAP, Iéna Productions
Producteur/-trice : Roger Debelmas et Raoul Lévy
Image : Armand Thirard
Montage : Albert Jurgenson
Musique : Igor Strawinski et Ludwig van Beethoven
Avec Brigitte Bardot, Charles Vanel, Sami Frey, Paul Meurisse, Marie-José Nat
Sur Arte le 23 mars 2020 à 20 h 55
"César et Rosalie" réalisé par Claude Sautet
France, Allemagne, Italie, 1972
Production : Fildebroc, Mega Film, Paramount-Orion Filmproduktion
Productrice : Michelle de Broca
Scénario : Jean-Loup Dabadie, Claude Sautet, Claude Néron
Image : Jean Boffety
Montage : Jacqueline Thiédot
Musique : Philippe Sarde
Acteurs : Yves Montand, Romy Schneider, Sami Frey, Isabelle Huppert, Bernard Le Coq, Umberto Orsini, Eva Maria Meineke
Sur Arte les 16 septembre 2018 à 20 h 50, 27 novembre 2022 à 13 h 30, 02 décembre 2022 à 15 h 05
Visuels :
Rosalie (Romy Schneider, Mi.), César (Yves Montand), Lucie (Eva Maria Meinecke, li.), David (Sami Frey
César (Yves Montand, re.) Rosalie (Romy Schneider, Mi.) David (Sami Frey, li.) ©
© Centerpoint
Yves Montand et Romy Schneider
© 1972 FIL DE BROC.
"La fille de d'Artagnan"de Bertrand Tavernie
France, 1994, 125 min
Scénario :Bertrand Tavernier, Jean Cosmos, Michel Léviant
Production : Ciby 2000, Little Bear, TF 1 Films Productions, BNP Images, Canal+
Producteur/-trice : Véronique Bourboulon
Image : Patrick Blossier
Montage : Ariane Boeglin
Musique : Philippe Sarde
Avec Sophie Marceau, Philippe Noiret, Sami Frey, Jean-Luc Bideau, Raoul Billerey, Nils Tavernier, Claude Rich, Charlotte Kady
Sur Arte le 26 avril 2020 à 20 h 55
Visuels :
Claude Rich (Herzog von Crassac), Charlotte Kady (Eglantine de Rochefort) et Sophie Marceau (Héloïse D' Artagnan) dans le film de Bertrand Tavernier " La fille de D' Artagnan"
© Etienne George / SYGMA
Visuels :
Rosalie (Romy Schneider, Mi.), César (Yves Montand), Lucie (Eva Maria Meinecke, li.), David (Sami Frey
César (Yves Montand, re.) Rosalie (Romy Schneider, Mi.) David (Sami Frey, li.) ©
© Centerpoint
Yves Montand et Romy Schneider
© 1972 FIL DE BROC.
"La fille de d'Artagnan"de Bertrand Tavernie
France, 1994, 125 min
Scénario :Bertrand Tavernier, Jean Cosmos, Michel Léviant
Production : Ciby 2000, Little Bear, TF 1 Films Productions, BNP Images, Canal+
Producteur/-trice : Véronique Bourboulon
Image : Patrick Blossier
Montage : Ariane Boeglin
Musique : Philippe Sarde
Avec Sophie Marceau, Philippe Noiret, Sami Frey, Jean-Luc Bideau, Raoul Billerey, Nils Tavernier, Claude Rich, Charlotte Kady
Sur Arte le 26 avril 2020 à 20 h 55
Visuels :
Raoul Billerey (Porthos), Philippe Noiret (D' Artagnan), Sophie Marceau (Héloïse D' Artagnan), Jean-Luc Bidault (Athos) et Samy Frey (Aramis) dans le film de Bertrand Tavernier " La fille de D' Artagnan"
© Etienne George / SYGMA
Claude Rich (Herzog von Crassac), Charlotte Kady (Eglantine de Rochefort) et Sophie Marceau (Héloïse D' Artagnan) dans le film de Bertrand Tavernier " La fille de D' Artagnan"
© Etienne George / SYGMA
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Les citations sont d'Arte. Cet article a été publié le 23 mars 2020
Remarquable cheminement d'acteur .
RépondreSupprimerIntensité et sensualité en demi teintes.
Résilient ,il puise dans ses archives empiriques pour offrir des performances ressenties à un point aigû