Arnold Schwarzenegger est un culturiste, acteur, réalisateur, gouverneur républicain américain et homme d’affaires né en Autriche le 30 juillet 1947. Arte rediffusera le 16 août 2020 « La fabrique d'Arnold Schwarzenegger » par Jérôme Momcilovic et Camille Juza.
Né en Autriche, Arnold Schwarzenegger incarne une facette du « rêve américain ». Du culturisme à Hollywood, il a gravi tous les échelons jusqu’à devenir champion dans sa discipline et star.
Entré dans la famille démocrate Kennedy par son mariage avec la journaliste Maria Shriver, il choisit l’étiquette républicaine pour se présenter aux élections de gouverneur en Californie. Élu à ce poste en 2003, il est réélu en 2006. En mai 2004, il a effectué sa première visite officielle comme gouverneur en Israël. Le 14 novembre 2006, Arnold Schwarzenegger a signé un Memorandum of Understanding avec le ministre israélien du tourisme, alors Isaac Herzog, afin de développer cette activité entre la Californie et l'Etat d'Israël. Arnold Schwarzenegger termine son second mandat en 2011.
Depuis les années 2000, il a affronté les révélations sur le passé nazi de son père, ses infidélités conjugales et son enfant adultérin, etc.
Parallèlement à son métier d'acteur, Arnold Schwarzenegger s'est engagé dans la défense de l'environnement. En 2010, il a fondé l'ONG R20 pour contribuer au combat contre le changement climatique. En 2012, il a co-créé avec l'université de Californie du Sud (USC) à Los Angeles, le think tank « USC Schwarzenegger : Institute for State and Global Policy ».
Durant l’opération israélienne défensive « Protective Edge » (Bordure protectrice, 8 juillet-26 août 2014) contre le mouvement terroriste islamiste Hamas dans la bande de Gaza, Arnold Schwarzenegger a co-signé une tribune rédigée par Creative Community for Peace (Communauté créatrice pour la paix) publiée par The New York Times en soutien à l'Etat d'Israël, contre le BDS et le Hamas. Les signataires s'opposaient à la lettre anti-israélienne signée notamment par les acteurs Penelope Cruz et Javier Badem, ainsi que par le réalisateur Pedro Almodovar.
En décembre 2015, participant à la COP 21, Arnold Schwarzenegger s'était recueilli devant le Bataclan à la mémoire des victimes de l'attentat terroriste islamiste le 13 novembre 2015 dans cette salle de spectacles. Il a assisté à l'allumage des bougies pour la fête juive de Hanoucca, dite fête des Lumières. Il a déclaré devant un public ravi : « Lorsque j’étais gouverneur de l’État de Californie, chaque année, le lendemain de l’illumination de l’arbre de Noël, à Sacramento, nous procédions également à l’éclairage de la Menorah, alors je suis heureux de pouvoir le faire aussi avec vous à Paris. La menorah signifie pour moi la Lumière et il est très important que la Lumière l’emporte sur les ténèbres et que le bien prévale sur le mal, ensemble nous vaincrons ». Le 6 décembre 2015, il a twitté : "Happy Hanukkah from Paris! Light will always overcome darkness." ("Joyeuse Hanoucca de Paris ! La lumière vaincra toujours sur l'obscurité")
Entré dans la famille démocrate Kennedy par son mariage avec la journaliste Maria Shriver, il choisit l’étiquette républicaine pour se présenter aux élections de gouverneur en Californie. Élu à ce poste en 2003, il est réélu en 2006. En mai 2004, il a effectué sa première visite officielle comme gouverneur en Israël. Le 14 novembre 2006, Arnold Schwarzenegger a signé un Memorandum of Understanding avec le ministre israélien du tourisme, alors Isaac Herzog, afin de développer cette activité entre la Californie et l'Etat d'Israël. Arnold Schwarzenegger termine son second mandat en 2011.
Depuis les années 2000, il a affronté les révélations sur le passé nazi de son père, ses infidélités conjugales et son enfant adultérin, etc.
Parallèlement à son métier d'acteur, Arnold Schwarzenegger s'est engagé dans la défense de l'environnement. En 2010, il a fondé l'ONG R20 pour contribuer au combat contre le changement climatique. En 2012, il a co-créé avec l'université de Californie du Sud (USC) à Los Angeles, le think tank « USC Schwarzenegger : Institute for State and Global Policy ».
Durant l’opération israélienne défensive « Protective Edge » (Bordure protectrice, 8 juillet-26 août 2014) contre le mouvement terroriste islamiste Hamas dans la bande de Gaza, Arnold Schwarzenegger a co-signé une tribune rédigée par Creative Community for Peace (Communauté créatrice pour la paix) publiée par The New York Times en soutien à l'Etat d'Israël, contre le BDS et le Hamas. Les signataires s'opposaient à la lettre anti-israélienne signée notamment par les acteurs Penelope Cruz et Javier Badem, ainsi que par le réalisateur Pedro Almodovar.
En décembre 2015, participant à la COP 21, Arnold Schwarzenegger s'était recueilli devant le Bataclan à la mémoire des victimes de l'attentat terroriste islamiste le 13 novembre 2015 dans cette salle de spectacles. Il a assisté à l'allumage des bougies pour la fête juive de Hanoucca, dite fête des Lumières. Il a déclaré devant un public ravi : « Lorsque j’étais gouverneur de l’État de Californie, chaque année, le lendemain de l’illumination de l’arbre de Noël, à Sacramento, nous procédions également à l’éclairage de la Menorah, alors je suis heureux de pouvoir le faire aussi avec vous à Paris. La menorah signifie pour moi la Lumière et il est très important que la Lumière l’emporte sur les ténèbres et que le bien prévale sur le mal, ensemble nous vaincrons ». Le 6 décembre 2015, il a twitté : "Happy Hanukkah from Paris! Light will always overcome darkness." ("Joyeuse Hanoucca de Paris ! La lumière vaincra toujours sur l'obscurité")
« Un robot Terminator de dernière génération est envoyé dans le passé pour éliminer John Connor enfant, avant que celui-ci ne prenne la tête de la résistance... Chef-d’oeuvre de la science-fiction porté par Arnold Schwarzenegger, "Terminator 2" demeure le volet le plus culte d’une saga dont l’épisode 6 sortira l’automne prochain.
« Tandis que la "guerre du jugement dernier" fait rage entre les machines et les survivants du grand incendie nucléaire de 2029, Skynet, l’ordinateur central, s’emploie à éliminer John Connor, le chef de la résistance humaine. Envoyé par ses soins dans le passé, en 1994 à Los Angeles, un robot Terminator de dernière génération, le T-1000, a pour mission d’assassiner John, alors âgé de 10 ans. Mais ce dernier va bénéficier de la protection d’un Terminator plus ancien, le T-800, qui avait pourtant tenté de tuer sa mère, Sarah Connor. Déguisé en policier, le T-1000 parvient à retrouver la trace de John dans un centre commercial. Une course-poursuite haletante s’engage alors... »
« Avant de découvrir à l’automne prochain le sixième volet de la saga Terminator, signé Tim Miller, rien de tel qu’une piqûre de rappel. Le nouvel opus se situe dans la continuité de ce cultissime épisode 2, faisant abstraction des trois films suivants. Tourné en 1991, Terminator 2, chef-d’œuvre de James Cameron, n’a pas pris une ride. Encensé au moment de sa sortie pour ses époustouflants effets spéciaux, notamment le morphing, le film fut récompensé par quatre Oscars techniques et reçut un accueil critique et public inouï. Plus apprécié encore que le premier épisode, il inscrit définitivement Arnold Schwarzenegger dans le cœur des spectateurs. Les courses-poursuites d’anthologie en camion, moto et auto, notamment dans les spectaculaires réservoirs de Los Angeles, et les métamorphoses du méchant Terminator, constitué de métal liquide, sont entrées dans la légende du cinéma ».
Arte introduisit ce film par « Trois bonnes raisons de voir "Terminator 2 - Le jugement dernier". "Terminator 2 - Le jugement dernier" de James Cameron est le second opus de la série. Le film demeure fidèle aux obsessions du réalisateur sur le caractère auto destructeur de l'homme, mais les personnages ont évolué. Quant aux effets spéciaux, ils ont - par leur novation - marqué leur époque. Ils sont utilisés avec parcimonie et mêlés à des trucages plus traditionnels ».
« La fabrique d'Arnold Schwarzenegger »
« La fabrique d'Arnold Schwarzenegger »
« La fabrique d'Arnold Schwarzenegger » (Arnold Schwarzenegger. Die Verkörperung des American Dream) est un documentaire réalisé par Jérôme Momcilovic et Camille Juza. « De l’Autriche de l’après-guerre à l'arène politique américaine en passant par Hollywood, la "success story" hors norme du "Governator" symbolise le mythe américain du XXIe siècle, entre rêve et cauchemar ».
Arnold Schwarzenegger, « ou le self made surhomme. Comment l'adolescent gracile qui grandit dans l'Autriche post Seconde Guerre mondiale est-il devenu le Terminator aux muscles hypertrophiés qui s'apprête pour la sixième fois à conquérir les écrans du monde, et en 2003, puis 2006, le "Governator" républicain adulé de l'État le plus peuplé d'Amérique, la Californie ? Au début des années 1980, quand le bodybuilder, grâce à Conan le barbare, puis au premier Terminator, se hisse au sommet du box-office, on s’étonne encore de son physique aberrant, de son accent brutal et du patronyme imprononçable qu’il a choisi de garder contre l’avis des studios. Près de quarante ans après, la planète entière a appris à dire "Arnold Schwarzenegger", ce nom représentant "le rêve américain en cuir et en os", comme "Schwarzie" lui-même aime à le rappeler. Mais celui qui a remporté cinq titres de Mister Univers, dont le premier à 21 ans, a fait davantage que réinventer son propre corps : il a su, à force de patience et de détermination, sculpter le réel à l’image de son rêve d’enfant ».
« Avec d'abondantes archives, dont nombre d'interviews hautes en couleur de l'intéressé, ce documentaire retrace l'irrésistible ascension d'Arnold Schwarzenegger à la lumière d'une séduisante hypothèse : comme Terminator, ce robot si humain qu'il ne cesse de faire revivre, la star incarnerait notre futur en gestation. Alors que les médias n’en finissent plus d’annoncer notre devenir cyborg, Donald Trump siège à la Maison-Blanche et la réalité semble avoir basculé pour de bon dans le spectacle. L'histoire de cet indestructible septuagénaire est aussi celle d’une époque gouvernée par la loi des images, fascinée comme jamais par le culte de la volonté, pressée d’en finir avec l’humanité pour lui substituer le règne des machines. Jérôme Momcilovic et Camille Juza décortiquent avec talent la fabrication de ce mythe qui a tant à dire sur nos rêves, et sur nos cauchemars.
"Des hommes, des vrais"
"Des culturistes autrichiens fans de Rambo et de "Schwarzie", des cow-boys californiens gardant toute leur affection au héros de leur enfance, John Wayne, un jeune émule de James Bond… Invariablement doté de force, d'assurance, de courage et d'une ténacité à toute épreuve, l'archétype du "vrai homme", qu'on pourrait croire totalement daté, garde une étonnante efficacité. Interrogeant la construction du mythe à la racine, auprès de représentants de l'industrie contemporaine du cinéma, et sondant son effet sur les individus, ce documentaire recueille avec une distance amusée les confidences, entre autres, de l'acteur australien George Lazenby, qui a joué une fois 007 (en 1969), de Fred Williamson, alias "le Marteau", un temps héros de films musclés de la Blaxploitation, et de Michael Dudikoff, ex-ninja des années 1980 à la célébrité éphémère".
"Des hommes, des vrais" par Hasko Baumann
Allemagne, 2018
Sur Arte le 29 décembre 2019 à 23 h. Disponible du 29/12/2019 au 04/01/2020
Visuels : © Mario Hötschl
« Terminator 2 - Le jugement dernier » par James Cameron
Visuels : © Mario Hötschl
« Terminator 2 - Le jugement dernier » par James Cameron
Scénario : James Cameron et William Wisher
Producteur/-trice : James Cameron, Stephanie Austin, B.J. Rack
Montage : Conrad Buff
Musique : Brad Fiedel
Avec Arnold Schwarzenegger, Linda Hamilton, Edward Furlong, Robert Patrick, Earl Boen, Joe Morton
Etats-Unis, 1991
Sur Arte le 10 février 2019 à 20 h 55
Visuels :
Edward Furlong (John Connor) à gauche et Arnold Schwarzenegger(Terminator, T-800) à droite.
Arnold Schwarzenegger(Terminator, T-800)
Credit : © 1991 STUDIOCANAL All rights r
Visuels :
Edward Furlong (John Connor) à gauche et Arnold Schwarzenegger(Terminator, T-800) à droite.
Arnold Schwarzenegger(Terminator, T-800)
Credit : © 1991 STUDIOCANAL All rights r
France,
2018, 2 min
« La fabrique d'Arnold Schwarzenegger » par Jérôme Momcilovic et Camille Juza
France, 2018, 51 min
Sur Arte les 10 février 2019 à 23 h 10 et 16 août 2020 à 23 h 15
Disponible du 09/08/2020 au 19/09/2020
Visuels :
Disponible du 09/08/2020 au 19/09/2020
Visuels :
ARNOLD SCHWARZENEGGER faisant le 1ère de couverture du magazine américain "MrAmerica" n°3, en 1971.Photo retirée de la diffusion presse à la demande du réalisateur. le 01/02/19
Credit : © DR
16 septembre 1983 au Hollywood Auditorium, Californie : l'acteur et culturiste Arnold Schwarzenegger montre ses nouveaux papiers de citoyenneté américaine. A sa gauche sa femme à l'époque, Maria Shriver, fille de Sargent et Eunice Shriver.
Credit : ©Wally Fong/1983 AP/Sipa
Arnold Schwarzenegger lors de la première journée de sa tournée de campagne à travers la Californie.
Credit : © Orjan F. Ellingvag/Corbis vi
Credit : © DR
16 septembre 1983 au Hollywood Auditorium, Californie : l'acteur et culturiste Arnold Schwarzenegger montre ses nouveaux papiers de citoyenneté américaine. A sa gauche sa femme à l'époque, Maria Shriver, fille de Sargent et Eunice Shriver.
Credit : ©Wally Fong/1983 AP/Sipa
Arnold Schwarzenegger lors de la première journée de sa tournée de campagne à travers la Californie.
Credit : © Orjan F. Ellingvag/Corbis vi
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Les citations sont d'Arte. Cet article a été publié le 7 février 2019, puis le 30 décembre 2019.
Les citations sont d'Arte. Cet article a été publié le 7 février 2019, puis le 30 décembre 2019.
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