Né dans une famille juive bourgeoise à Montréal (Canada), Leonard Cohen (1934-2016) était un chanteur, compositeur, romancier, parolier, guitariste folk, poète et peintre canadien. Arte diffusera le 20 septembre 2024 à 22 h 30 « Hallelujah" : Leonard Cohen. La musique de nos vies » de Dayna Goldfine et Dan Geller, puis le 21 septembre 2024 à 00 h 20, dans le cadre d’« Icônes pop », « Leonard Cohen : Live in London » d’Edward Sanders.
« Félix & Meira » par Maxime Giroux
« Inch’Allah » d’Anaïs Barbeau-Lavalette
« Jean Ziegler, l’optimisme de la volonté » par Nicolas Wadimoff
« Inch’Allah » d’Anaïs Barbeau-Lavalette
« Jean Ziegler, l’optimisme de la volonté » par Nicolas Wadimoff
Leonard Cohen est né dans une famille juive orthodoxe, bourgeoise, vivant dans une banlieue anglophone de Montréal dans la « belle province » du Québec (Canada) en 1934. Sa mère Marsha Klonitsku est la fille de Rabbi Solomon Klonitsky-Kline, écrivain talmudique d’origine lituanienne. Immigré de Pologne, son grand-père paternel Luon Cohen a fondé le Canadian Jewish Congress qu’il a présidé.
Âgé de neuf ans, Leonard Cohen devient orphelin de père.
Il bénéficie d’une éducation juive, et s’intéresse à la musique, à la poésie, à la photographie.
Il apprend à jouer de la guitare acoustique et constitue un groupe de musique country-folk, les Buckskin Boys.
Dans les années 1950 et 1960, il acquiert la célébrité comme poète et romancier.
En 1960, Leonard Cohen rencontre la norvégienne Marianne Ihlen, sa muse à qui il dédie So Long, Marianne (1968), et Bird on the Wire (1969).
En 1960, Leonard Cohen rencontre la norvégienne Marianne Ihlen, sa muse à qui il dédie So Long, Marianne (1968), et Bird on the Wire (1969).
Puis vers 1967, ce trentenaire se lance dans une carrière musicale.
En 1984, sort son album Various Positions, qui contient deux chansons devenues très célèbres : Danse me to the end of love et Hallelujah. L'album est bien accueilli, par le public et par la critique, en Europe, mais la firme Columbia ne le sort pas aux États-Unis, où le succès de Leonard Cohen y est moins important.
En 1994, Leonard Cohen se retire dans un monastère bouddhiste, près de Los Angeles. Deux ans plus tard, il est ordonné prêtre bouddhiste.
En 2004, Leonard Cohen prend conscience que Kelley Lynch, son ancienne manager, l'avait escroqué en détournant à son profit 50 millions de dollars. Kelley Lynch est condamnée, mais, insolvable, ne restituera pas cette fortune à Leonard Cohen.
En 1984, sort son album Various Positions, qui contient deux chansons devenues très célèbres : Danse me to the end of love et Hallelujah. L'album est bien accueilli, par le public et par la critique, en Europe, mais la firme Columbia ne le sort pas aux États-Unis, où le succès de Leonard Cohen y est moins important.
En 1994, Leonard Cohen se retire dans un monastère bouddhiste, près de Los Angeles. Deux ans plus tard, il est ordonné prêtre bouddhiste.
En 2004, Leonard Cohen prend conscience que Kelley Lynch, son ancienne manager, l'avait escroqué en détournant à son profit 50 millions de dollars. Kelley Lynch est condamnée, mais, insolvable, ne restituera pas cette fortune à Leonard Cohen.
"Bird on a Wire"
Arte diffusa le 3 novembre 2017 à 23 h 10 « Leonard Cohen - Bird on a Wire », documentaire de Tony Palmer. « Il y a un an disparaissait l'immense songwriter Leonard Cohen. ARTE lui rend à nouveau hommage avec ce documentaire du réalisateur Tony Palmer, qui l'avait suivi durant toute sa tournée européenne de 1972 ».
« À l'origine, il s'agissait d'un documentaire promotionnel, commandé pour dynamiser les ventes de Leonard Cohen. Alors jeune réalisateur, Tony Palmer – un passionné de musique – avait suivi l'artiste canadien durant toute sa tournée européenne de 1972, immortalisant les concerts comme les coulisses de l'événement ».
« Mécontent du film, l'entourage de Leonard Cohen l'avait fait remonter, pour un résultat très vite oublié ».
« En 2009, les rushes originels sont retrouvés dans un entrepôt hollywoodien et réexpédiés au réalisateur, qui décide de monter une nouvelle version de son documentaire. »
« Les pellicules de 16 mm montrent l'artiste sans artifice, dans les moments les plus enflammés (des versions live de « Famous Blue Raincoat », « So Long, Marianne » ou « The Partisan ») comme les plus routiniers de sa tournée de 1972 ».
« Véritable ode à la vie sur la route dans les seventies, le remontage final tient du poème visuel, avec une approche intimiste de l'homme et de l'artiste que fut Leonard Cohen. Un inestimable témoignage sur le chanteur poète disparu le 7 novembre 2016 ».
Leonard Cohen a été distingué par le Canadian Music Hall of Fame, le Canadian Songwriters Hall of Fame, et le Rock and Roll Hall of Fame.
Il a été Compagnon de l’Order of Canada, la plus haute distinction civile canadienne.
En 2011, Cohen a reçu un des Prince of Asturias Awards pour la Littérature et le neuvième Glenn Gould Prize.
"Hineni"
Fin octobre 2016, est sorti l'album mystique, quasi-testament de Leonard Cohen, octogénaire : "You want It Darker". Ce 14e album de l'artiste contient en particulier cette chanson : "Hineni, hineni / Je suis prêt mon Dieu". Hineni signifie en hébreu :"Me voici", et apparaît à plusieurs reprises dans la Bible hébraïque.
Âgé de 82 ans, Leonard Cohen décède dans la nuit du 7 au 8 novembre 2016, trois mois après Marianne Ihlen, sa muse norvégienne rencontrée en 1960.
Le 10 novembre 2016, il est inhumé à Montréal, dans le cimetière juif de la congrégation Shaar Hashomayim où reposent des membres de sa famille.
Hommages
Le 26 octobre 2017, lors du premier gala de l'Association québécoise de l'industrie du disque, du spectacle et de la vidéo (ADISQ), un hommage a été rendu à Leonard Cohen. Peter Gabriel a loué ce "grand poète". Dans un des rares moments touchants de la soirée, on a rendu un hommage posthume à Leonard Cohen par un montage de bouts d’entrevues, collés à ses chansons, Toute la salle s'est levée pour interpréter a capella le refrain Hallelujah. Adam Cohen, fils de l'artiste, a reçu le Félix d'honneur.
Très ému, il a déclaré : "Mon père aurait été très touché par cette expression de reconnaissance. Il y a une trentaine d'années, on a essayé de lui donner un Prix, le Governor General Award qu'il a refusé car il trouvait qu'il correspondait un peu plus à l'ouest du pays. Mais celui-là, il l’accepterait volontiers. Il aurait aimé que je vous dise bien sûr merci, et deux choses : un de ses grands regrets à la fin de sa vie a été de ne pas avoir pu revenir passer ses derniers jours à Montréal et se prononcer sur un débat un peu chaud au Québec : le smoked meat du Schwartz's ou celui du Main ? Il préférait celui du Main".
Pour ce premier anniversaire du décès de Leonard Cohen, de nombreux événements ont eu lieu ou sont prévus sur les rives du Saint-Laurent, à Montréal.
"Elvis Costello, Feist, Sting, Courtney Love... De nombreuses personnalités du monde de la musique ont célébré, le 6 novembre 2017, le chanteur canadien disparu à travers un concert réunissant 15.000 personnes. Le premier ministre Justin Trudeau est même monté sur scène pour réciter I'm Your man. Sting a ouvert le bal en jouant Dance me to the End of Love devant une assistance émue. Même le premier ministre canadien Justin Trudeau, malgré les récentes révélations des Paradise Papers, avait fait le déplacement et, accompagné de son épouse Sophie Grégoire, a récité la chanson I'm Your man sur scène. Il faut dire que son père, Pierre Elliott Trudeau, premier ministre du Canada de 1968 à 1979 puis de 1980 à 1984, était un ami proche de Leonard Cohen. Le chanteur fit d'ailleurs partie des hommes qui portèrent son cercueil le jour de ses funérailles nationales, le 3 octobre 2000".
"Maître d'œuvre de l'organisation de cette soirée spéciale, Adam Cohen, fils du chanteur disparu et lui-même musicien, a interprété le chef-d'œuvre de son père : So long Marianne. Lors de la présentation du concert hommage, il avait révélé les dernières instructions de l'artiste: « Mets-moi dans une boîte en pin près de ma mère et mon père [...] Si tu veux faire un événement public, fais-le à Montréal. » Soulignant la modestie de son père, Adam Cohen a expliqué à l'AFP : «Je pense qu'il aurait préféré être tenu à l'écart d'un tel événement ou aurait essayé de nous décourager d'en faire quelque chose d'aussi marquant. »
"Rappelant l'attachement de sa famille à la ville de Montréal, Adam Cohen s'est également lui-même décrit comme appartenant à la « diaspora montréalaise ». «Montréal a quelque chose de mythique pour nous et nous sommes des ambassadeurs de Montréal quel que soit l'endroit où nous allons», a-t-il ajouté".
"Mais les hommages à l'enfant du pays ne s'arrêteront pas en si bon chemin. Cinq autres concerts sont prévus sur cinq mois et d'autres artistes y interpréteront des titres de cinq des quatorze albums du Montréalais. De plus, la semaine d'hommages lancée ce 6 novembre 2017 est aussi marquée par l'inauguration de deux énormes fresques murales à l'effigie de l'artiste installées dans la ville (voir ci-dessous) ou encore par la tenue de soirées poétiques".
"Une exposition au Musée des arts contemporains (MAC) de Montréal a ouvert le 8 novembre 2017 avant de s'exporter, plus tard, ailleurs dans le monde. Intitulée « Une brèche en toute chose », elle présente les dessins et enregistrements revenant sur plus de 50 ans de carrière ainsi que des œuvres dédiées à la mémoire du chanteur et poète canadien. Une exposition dotée, annonce-t-on au MAC, « d'environnements multimédias novateurs ». Des artistes comme le producteur new-yorkais Moby, le pianiste canadien Chilly Gonzales ou encore la chanteuse française Lou Doillon participent à ce projet".
"Pour Adam Cohen, qui fut aussi le producteur de You Want it Darker, le dernier album de son père, occasion est ici donnée de montrer au monde « l'étendue de l'influence » de Leonard Cohen et de permettre à la ville de Montréal de célébrer comme il se doit sa légende".
"Leonard Cohen : Une brèche en toute chose/A Crack in Everything"
"En plus des œuvres qui seront créées spécialement pour Leonard Cohen – Une brèche en toute chose / A Crack in Everything, l’exposition comprendra des environnements multimédias novateurs dans lesquels seront reprises et interprétées les chansons de Cohen, et seront examinés ses documents d’archives (écrits, dessins et enregistrements produits sur une période de cinquante ans). Six salles sont consacrées à la célébration critique, à l’hommage affectueux et, un an après son décès, à la commémoration paisible d’une grande réussite artistique et d’une vie inspirante. Romancier, poète et auteur-compositeur-interprète montréalais de réputation internationale qui a inspiré des générations d’écrivains, de musiciens et d’artistes, Cohen est un extraordinaire poète de la tristesse et de la condition humaine qui a exprimé ce que signifie le fait d’être vraiment sensible aux complexités et aux désirs à la fois du corps et de l’esprit".
"La pensée, l’écriture et la musique de Leonard Cohen sont aussi belles que désespérantes. Pendant des décennies, le romancier, poète et auteur-compositeur-interprète nous a livré un monde de mélancolie mais aussi des observations profondes sur l’état du cœur humain. Avec autant de gravité que de grâce, il s’est forgé un langage remarquablement inventif et singulier, manifestant à la fois une spiritualité exaltée et une sexualité toute terrestre. À l’instrument émoussé qu’était son illustre voix — « une corne de brume en velours », profonde et caverneuse — et plus récemment, aux chuchotements râpeux proches de la psalmodie, il a donné de belles mélodies et des arrangements simples qui trahissent une grande intelligence musicale. Son entrelacement du sacré et du profane, du mystère et de l’accessibilité, a été une combinaison si formidable qu’elle s’est gravée dans notre mémoire."
Il a été Compagnon de l’Order of Canada, la plus haute distinction civile canadienne.
En 2011, Cohen a reçu un des Prince of Asturias Awards pour la Littérature et le neuvième Glenn Gould Prize.
"Hineni"
Fin octobre 2016, est sorti l'album mystique, quasi-testament de Leonard Cohen, octogénaire : "You want It Darker". Ce 14e album de l'artiste contient en particulier cette chanson : "Hineni, hineni / Je suis prêt mon Dieu". Hineni signifie en hébreu :"Me voici", et apparaît à plusieurs reprises dans la Bible hébraïque.
Âgé de 82 ans, Leonard Cohen décède dans la nuit du 7 au 8 novembre 2016, trois mois après Marianne Ihlen, sa muse norvégienne rencontrée en 1960.
Le 10 novembre 2016, il est inhumé à Montréal, dans le cimetière juif de la congrégation Shaar Hashomayim où reposent des membres de sa famille.
Hommages
Le 26 octobre 2017, lors du premier gala de l'Association québécoise de l'industrie du disque, du spectacle et de la vidéo (ADISQ), un hommage a été rendu à Leonard Cohen. Peter Gabriel a loué ce "grand poète". Dans un des rares moments touchants de la soirée, on a rendu un hommage posthume à Leonard Cohen par un montage de bouts d’entrevues, collés à ses chansons, Toute la salle s'est levée pour interpréter a capella le refrain Hallelujah. Adam Cohen, fils de l'artiste, a reçu le Félix d'honneur.
Très ému, il a déclaré : "Mon père aurait été très touché par cette expression de reconnaissance. Il y a une trentaine d'années, on a essayé de lui donner un Prix, le Governor General Award qu'il a refusé car il trouvait qu'il correspondait un peu plus à l'ouest du pays. Mais celui-là, il l’accepterait volontiers. Il aurait aimé que je vous dise bien sûr merci, et deux choses : un de ses grands regrets à la fin de sa vie a été de ne pas avoir pu revenir passer ses derniers jours à Montréal et se prononcer sur un débat un peu chaud au Québec : le smoked meat du Schwartz's ou celui du Main ? Il préférait celui du Main".
Pour ce premier anniversaire du décès de Leonard Cohen, de nombreux événements ont eu lieu ou sont prévus sur les rives du Saint-Laurent, à Montréal.
"Elvis Costello, Feist, Sting, Courtney Love... De nombreuses personnalités du monde de la musique ont célébré, le 6 novembre 2017, le chanteur canadien disparu à travers un concert réunissant 15.000 personnes. Le premier ministre Justin Trudeau est même monté sur scène pour réciter I'm Your man. Sting a ouvert le bal en jouant Dance me to the End of Love devant une assistance émue. Même le premier ministre canadien Justin Trudeau, malgré les récentes révélations des Paradise Papers, avait fait le déplacement et, accompagné de son épouse Sophie Grégoire, a récité la chanson I'm Your man sur scène. Il faut dire que son père, Pierre Elliott Trudeau, premier ministre du Canada de 1968 à 1979 puis de 1980 à 1984, était un ami proche de Leonard Cohen. Le chanteur fit d'ailleurs partie des hommes qui portèrent son cercueil le jour de ses funérailles nationales, le 3 octobre 2000".
"Maître d'œuvre de l'organisation de cette soirée spéciale, Adam Cohen, fils du chanteur disparu et lui-même musicien, a interprété le chef-d'œuvre de son père : So long Marianne. Lors de la présentation du concert hommage, il avait révélé les dernières instructions de l'artiste: « Mets-moi dans une boîte en pin près de ma mère et mon père [...] Si tu veux faire un événement public, fais-le à Montréal. » Soulignant la modestie de son père, Adam Cohen a expliqué à l'AFP : «Je pense qu'il aurait préféré être tenu à l'écart d'un tel événement ou aurait essayé de nous décourager d'en faire quelque chose d'aussi marquant. »
"Rappelant l'attachement de sa famille à la ville de Montréal, Adam Cohen s'est également lui-même décrit comme appartenant à la « diaspora montréalaise ». «Montréal a quelque chose de mythique pour nous et nous sommes des ambassadeurs de Montréal quel que soit l'endroit où nous allons», a-t-il ajouté".
"Mais les hommages à l'enfant du pays ne s'arrêteront pas en si bon chemin. Cinq autres concerts sont prévus sur cinq mois et d'autres artistes y interpréteront des titres de cinq des quatorze albums du Montréalais. De plus, la semaine d'hommages lancée ce 6 novembre 2017 est aussi marquée par l'inauguration de deux énormes fresques murales à l'effigie de l'artiste installées dans la ville (voir ci-dessous) ou encore par la tenue de soirées poétiques".
"Une exposition au Musée des arts contemporains (MAC) de Montréal a ouvert le 8 novembre 2017 avant de s'exporter, plus tard, ailleurs dans le monde. Intitulée « Une brèche en toute chose », elle présente les dessins et enregistrements revenant sur plus de 50 ans de carrière ainsi que des œuvres dédiées à la mémoire du chanteur et poète canadien. Une exposition dotée, annonce-t-on au MAC, « d'environnements multimédias novateurs ». Des artistes comme le producteur new-yorkais Moby, le pianiste canadien Chilly Gonzales ou encore la chanteuse française Lou Doillon participent à ce projet".
"Pour Adam Cohen, qui fut aussi le producteur de You Want it Darker, le dernier album de son père, occasion est ici donnée de montrer au monde « l'étendue de l'influence » de Leonard Cohen et de permettre à la ville de Montréal de célébrer comme il se doit sa légende".
"Leonard Cohen : Une brèche en toute chose/A Crack in Everything"
L’exposition "Leonard Cohen : Une brèche en toute chose/A Crack in Everything" a attiré plus de 280 000 visiteurs au MACM à Montréal. "Véritable exposition multidisciplinaire où se mélangent arts visuels, réalité virtuelle, installations, performances, musique et écriture, Leonard Cohen – Une brèche en toute chose / A Crack in Everything propose au public des oeuvres inédites expressément commandées par le MAC, et conçues par des artistes locaux et internationaux qui se sont inspirés de la vie de Leonard Cohen, de son oeuvre et de son héritage artistique."
"En plus des œuvres qui seront créées spécialement pour Leonard Cohen – Une brèche en toute chose / A Crack in Everything, l’exposition comprendra des environnements multimédias novateurs dans lesquels seront reprises et interprétées les chansons de Cohen, et seront examinés ses documents d’archives (écrits, dessins et enregistrements produits sur une période de cinquante ans). Six salles sont consacrées à la célébration critique, à l’hommage affectueux et, un an après son décès, à la commémoration paisible d’une grande réussite artistique et d’une vie inspirante. Romancier, poète et auteur-compositeur-interprète montréalais de réputation internationale qui a inspiré des générations d’écrivains, de musiciens et d’artistes, Cohen est un extraordinaire poète de la tristesse et de la condition humaine qui a exprimé ce que signifie le fait d’être vraiment sensible aux complexités et aux désirs à la fois du corps et de l’esprit".
"La pensée, l’écriture et la musique de Leonard Cohen sont aussi belles que désespérantes. Pendant des décennies, le romancier, poète et auteur-compositeur-interprète nous a livré un monde de mélancolie mais aussi des observations profondes sur l’état du cœur humain. Avec autant de gravité que de grâce, il s’est forgé un langage remarquablement inventif et singulier, manifestant à la fois une spiritualité exaltée et une sexualité toute terrestre. À l’instrument émoussé qu’était son illustre voix — « une corne de brume en velours », profonde et caverneuse — et plus récemment, aux chuchotements râpeux proches de la psalmodie, il a donné de belles mélodies et des arrangements simples qui trahissent une grande intelligence musicale. Son entrelacement du sacré et du profane, du mystère et de l’accessibilité, a été une combinaison si formidable qu’elle s’est gravée dans notre mémoire."
Le Jewish Museum présenta l'exposition "Leonard Cohen: A Crack in Everything". "Featuring 14 artists and 18 musicians from 10 countries, this exhibition offers a deep and rich exploration of the beloved global icon through the lens of contemporary art". Un livret pour enfants est disponible.
Citons ce refrain d'“Anthem,” de l'album "The Future" véhiculant un message d'espoir émergeant de l'obscurité :
"Ring the bells that still can ring
Forget your perfect offering
There is a crack, a crack in everything
That’s how the light gets in."
—Leonard Cohen
"Sonnez les cloches qui peuvent encore sonner
Oubliez votre offre parfaite.
Il y a une fissure, une fissure dans toute chose.
C'est ainsi qu'entre la lumière"
"A world-renowned novelist, poet, and singer/songwriter who inspired generations of writers, musicians, and artists, Leonard Cohen (1934-2016) was an extraordinary poet of the imperfection of the human condition, giving voice to what it means to be fully alert to the complexities and desires of both body and soul. For decades, he tenaciously supplied the world with melancholy and urgent observations on the state of the human heart, in songs such as “Suzanne,” “Bird on a Wire,” and “Hallelujah.” With equal parts gravitas and grace, Cohen teased out a startlingly inventive and singular language, depicting both an exalted spirituality and an earthly sexuality. His interweaving of the sacred and the profane, of mystery and accessibility, was such a compelling combination it became seared into memory."
Leonard Cohen: A Crack in Everything is the first exhibition entirely devoted to the imagination and legacy of the influential singer/songwriter, man of letters, and global icon from Montréal, Canada. The exhibition includes commissioned works by a range of international artists who have been inspired by Cohen’s style and recurring themes in his work, a video projection showcasing Cohen’s own drawings, and an innovative multimedia gallery where visitors can hear covers of Cohen’s songs by musicians such as Lou Doillon; Feist; Moby; and The National with Sufjan Stevens, Ragnar Kjartansson, and Richard Reed Parry, among others."
"Participating Artists:
Kara Blake
Candice Breitz
Janet Cardiff & George Bures Miller
Christophe Chassol
Daily Tous Les Jours
Tacita Dean
Kota Ezawa
George Fok
Ari Folman
Jon Rafman
Taryn Simon"
"Organized by the Musée d’art contemporain de Montréal (MAC), the exhibition is curated by John Zeppetelli, Director and Chief Curator at the MAC, and Victor Shiffman, Co-Curator. The New York presentation is coordinated for the Jewish Museum by Kelly Taxter, Barnett and Annalee Newman Curator of Contemporary Art, and Ruth Beesch, Senior Deputy Director, Programs & Strategic Initiatives. The exhibition is designed by New Affiliates LLC (Jaffer Kolb, Ivi Diamantopoulou). Acoustic consulting by ARUP. Exhibition graphics designed by Topos Graphics."
"The presentation of Leonard Cohen: A Crack in Everything at the Jewish Museum is made possible by Audrey and Zygi Wilf, Jane and Mark Wilf, the Blavatnik Family Foundation, The Goldie and David Blanksteen Foundation, The TD Charitable Foundation, The Jaharis Family Foundation, Inc., Jane and Reuben Leibowitz, Nili Lotan, Rita and Charles Bronfman, Wendy Fisher, Goldman Sonnenfeldt Foundation, Brice and Helen Marden, Wexler Dermatology PC, and other generous donors. Additional support is provided through The Skirball Fund for American Jewish Life Exhibitions, the Melva Bucksbaum Fund for Contemporary Art, and the Joan Rosenbaum Exhibition Endowment."
The Musée d’art contemporain de Montréal (MAC), "a state corporation funded by the Gouvernement du Québec, thanks Leonard Cohen for his support of this exhibition. Robert Kory, Adam Cohen, and Lorca Cohen provided invaluable assistance in the successful organization of this project. The MAC also acknowledges the support of CBC/Radio-Canada and the National Film Board of Canada, as well as Sony Music and Sony ATV. For the exhibition’s presentation in New York, the MAC extends its thanks to the ministère de la Culture et des Communications du Québec, the Canada Council for the Arts, and the Foundation Azrieli."
Following its New York showing, the exhibition will tour to Kunstforeningen GL STRAND and Nikolaj Kunsthal, Copenhagen, Denmark (October 23, 2019 – March 8, 2020) and the Contemporary Jewish Museum, San Francisco (September 17, 2020 – January 3, 2021)."
Citons ce refrain d'“Anthem,” de l'album "The Future" véhiculant un message d'espoir émergeant de l'obscurité :
"Ring the bells that still can ring
Forget your perfect offering
There is a crack, a crack in everything
That’s how the light gets in."
—Leonard Cohen
"Sonnez les cloches qui peuvent encore sonner
Oubliez votre offre parfaite.
Il y a une fissure, une fissure dans toute chose.
C'est ainsi qu'entre la lumière"
"A world-renowned novelist, poet, and singer/songwriter who inspired generations of writers, musicians, and artists, Leonard Cohen (1934-2016) was an extraordinary poet of the imperfection of the human condition, giving voice to what it means to be fully alert to the complexities and desires of both body and soul. For decades, he tenaciously supplied the world with melancholy and urgent observations on the state of the human heart, in songs such as “Suzanne,” “Bird on a Wire,” and “Hallelujah.” With equal parts gravitas and grace, Cohen teased out a startlingly inventive and singular language, depicting both an exalted spirituality and an earthly sexuality. His interweaving of the sacred and the profane, of mystery and accessibility, was such a compelling combination it became seared into memory."
Leonard Cohen: A Crack in Everything is the first exhibition entirely devoted to the imagination and legacy of the influential singer/songwriter, man of letters, and global icon from Montréal, Canada. The exhibition includes commissioned works by a range of international artists who have been inspired by Cohen’s style and recurring themes in his work, a video projection showcasing Cohen’s own drawings, and an innovative multimedia gallery where visitors can hear covers of Cohen’s songs by musicians such as Lou Doillon; Feist; Moby; and The National with Sufjan Stevens, Ragnar Kjartansson, and Richard Reed Parry, among others."
"Participating Artists:
Kara Blake
Candice Breitz
Janet Cardiff & George Bures Miller
Christophe Chassol
Daily Tous Les Jours
Tacita Dean
Kota Ezawa
George Fok
Ari Folman
Jon Rafman
Taryn Simon"
"Organized by the Musée d’art contemporain de Montréal (MAC), the exhibition is curated by John Zeppetelli, Director and Chief Curator at the MAC, and Victor Shiffman, Co-Curator. The New York presentation is coordinated for the Jewish Museum by Kelly Taxter, Barnett and Annalee Newman Curator of Contemporary Art, and Ruth Beesch, Senior Deputy Director, Programs & Strategic Initiatives. The exhibition is designed by New Affiliates LLC (Jaffer Kolb, Ivi Diamantopoulou). Acoustic consulting by ARUP. Exhibition graphics designed by Topos Graphics."
"The presentation of Leonard Cohen: A Crack in Everything at the Jewish Museum is made possible by Audrey and Zygi Wilf, Jane and Mark Wilf, the Blavatnik Family Foundation, The Goldie and David Blanksteen Foundation, The TD Charitable Foundation, The Jaharis Family Foundation, Inc., Jane and Reuben Leibowitz, Nili Lotan, Rita and Charles Bronfman, Wendy Fisher, Goldman Sonnenfeldt Foundation, Brice and Helen Marden, Wexler Dermatology PC, and other generous donors. Additional support is provided through The Skirball Fund for American Jewish Life Exhibitions, the Melva Bucksbaum Fund for Contemporary Art, and the Joan Rosenbaum Exhibition Endowment."
The Musée d’art contemporain de Montréal (MAC), "a state corporation funded by the Gouvernement du Québec, thanks Leonard Cohen for his support of this exhibition. Robert Kory, Adam Cohen, and Lorca Cohen provided invaluable assistance in the successful organization of this project. The MAC also acknowledges the support of CBC/Radio-Canada and the National Film Board of Canada, as well as Sony Music and Sony ATV. For the exhibition’s presentation in New York, the MAC extends its thanks to the ministère de la Culture et des Communications du Québec, the Canada Council for the Arts, and the Foundation Azrieli."
Dans ce cadre, a eu lieu le 12 juin 2019, de 18 h 30 à 20 h, au Scheuer Auditorium du Jewish Museum de New York, "Dialogue and Discourse. I'm Your Man: Authors Roundtable". "Hear about Leonard Cohen's relationship to place, text, and spirituality in this discussion with Cohen biographers Sylvie Simmons (I'm Your Man: The Life of Leonard Cohen); Alan Light (The Holy or the Broken: Leonard Cohen, Jeff Buckley, and the Unlikely Ascent of "Hallelujah"); Chantal Ringuet (Les révolutions de Leonard Cohen); and music producer John Lissauer."
"Suzanne", l’amour made in Montréal de Leonard Cohen"
Arte diffusa le 23 octobre 2018, dans le cadre d'"Invitation au voyage" (Stadt Land Kunst), "Leonard Cohen à Montréal / Luther / Barcelone" (Leonard Cohens Montreal / Luther / Barcelona), par Fabrice Michelin. "Linda Lorin nous emmène à la découverte de trois lieux de notre patrimoine artistique, culturel et naturel. Dans ce numéro : "Suzanne", l’amour made in Montréal de Leonard Cohen - Quand Luther a converti l’Allemagne - L’incontournable : à Barcelone, une étoile est née..."
A Montréal, Leonard Cohen fréquente la Congrégation Shaar Hashomayim. Dans la synagogue orthodoxe ashkénaze où des portraits de ses aïeuls ornent des murs, il y fait sa bar-mitzva, acte par lequel il atteint la majorité religieuse à 13 ans. Le chœur de la synagogue a joué dans l'album You Want It Darker.
"Dans les années 1960, en rupture avec sa famille bourgeoise, le jeune Leonard Cohen s’évade en arpentant les rues de Montréal. Son premier succès, "Suzanne", est une lettre d’amour à sa ville natale." "Son premier roman est un acte de rébellion sociale mais aussi spirituelle. Il y critique ouvertement la religion juive".
"À Hydra, Leonard Cohen se fait pâtre grec"
Du 12 avril au 8 septembre 2019
Au Jewish Museum
1109 5th Ave at 92nd St
New York, NY 10128
Tel.: 212.423.3200
Samedi et dimanche de 10 h à 17 h 45, lundi, mardi et vendredi de 11 h à 17 h 45, jeudi de 11 h à 20 h
"Leonard Cohen: A Crack in Everything"
Le 12 juin 2019, Le Jewish Museum présentera, dans le cadre de l'exposition "Leonard Cohen: A Crack in Everything", "Dialogue and Discourse. I'm Your Man: Authors Roundtable".
"Leonard Cohen à Montréal / Luther / Barcelone" par Fabrice Michelin
France, 2018, 38 min
A Montréal, Leonard Cohen fréquente la Congrégation Shaar Hashomayim. Dans la synagogue orthodoxe ashkénaze où des portraits de ses aïeuls ornent des murs, il y fait sa bar-mitzva, acte par lequel il atteint la majorité religieuse à 13 ans. Le chœur de la synagogue a joué dans l'album You Want It Darker.
"Dans les années 1960, en rupture avec sa famille bourgeoise, le jeune Leonard Cohen s’évade en arpentant les rues de Montréal. Son premier succès, "Suzanne", est une lettre d’amour à sa ville natale." "Son premier roman est un acte de rébellion sociale mais aussi spirituelle. Il y critique ouvertement la religion juive".
"À Hydra, Leonard Cohen se fait pâtre grec"
Arte diffusa le 20 janvier 2023 à 17 h 25, dans le cadre d"Invitation au voyage" (Stadt Land Kunst), "Leonard Cohen à Hydra" (Leonard Cohens Hydra) de Fabrice Michelin.
"Linda Lorin nous emmène à la découverte de notre patrimoine artistique, culturel et naturel."
"À Hydra, Leonard Cohen se fait pâtre grec". "L’île d’Hydra, à moins de deux heures d’Athènes, est depuis les années 1940 la résidence d’été prisée des cercles artistiques grecs et étrangers. En 1960, le jeune Leonard Cohen, qui fait ses armes parmi l'avant-garde littéraire canadienne, prend le large en direction de la mer Égée pour terminer un manuscrit. Loin de son Montréal natal, l’aspirant écrivain s’épanouit et joue les premières notes d’une carrière à la texture sombre et profonde, mais nimbée pour toujours de la lumière grecque."
« Leonard Cohen : Live in London »
« Icônes pop. Ces artistes ont écrit l'histoire et sont restés gravés dans notre mémoire collective. ARTE célèbre les grandes icônes de la culture pop ! »
Arte diffusera le 21 septembre 2024 à 00 h 20, dans le cadre d’« Icônes pop », « Leonard Cohen : Live in London » d’Edward Sanders.
« Le 21 septembre 2024, Leonard Cohen aurait fêté ses 90 ans. Pour marquer le souvenir du chantre de la pop, voici un concert légendaire, donné à Londres en juillet 2008, après quinze ans d'absence scénique. Le poète y interprète ses compositions les plus connues : "Suzanne", "Hallelujah" et "Dance me to the End of Love".
« En juillet 2008, Leonard Cohen revient sur scène à l'O2-Arena à Londres, après quinze ans d'absence scénique, pour interpréter ses compositions les plus connues : "Suzanne", "Hallelujah" et "Dance me to the End of Love".
« Poète avant tout, ses textes sombres et empreints de sa quête perpétuelle de spiritualité ont marqué des générations et ont été repris maintes fois, comptant parmi les classiques de l'histoire de la pop. »
« Des ballades rock aux ballades folk, un concert légendaire rediffusé à l'occasion des 90 ans, que l'artiste aurait célébrés le 21 septembre 2024. »
« De purs instants de grâce portés par son inimitable voix profonde dans une ambiance intimiste et feutrée, un concert triomphal qui signera également la sortie de son quatrième album en public. »
Chapitres
0:55
Dance Me to the End of Love
7:11
Suzanne
11:00
Hallelujah
19:27
Democracy
26:10
So Long, Marianne
31:38
First We Take Manhattan
38:08
If It Be Your Will
42:32
Closing Time
49:06
I Tried to Leave You
57:41
Whither Thou Goest
« Hallelujah" : Leonard Cohen. La musique de nos vies »
Arte diffusera le 20 septembre 2024 à 22 h 30 « Hallelujah" : Leonard Cohen . La musique de nos vies » de Dayna Goldfine et Dan Geller
« Leonard Cohen a mis des années à écrire sa chanson "Hallelujah", dont la destinée a connu de multiples rebondissements. Retour sur la vie et l'oeuvre du chanteur poète, à la lumière de cet hymne devenu universel. »
« La genèse d'"Hallelujah", chanson la plus populaire de Leonard Cohen, est unique à plus d'un titre. D'abord parce qu'il lui fallut cinq ans pour en mûrir le texte, dont les couplets n'ont cessé d'être réécrits. Ensuite parce que Cohen en a interprété deux versions aux sens totalement opposés : la première, aux accents religieux, qui figure sur l'album studio ; et la seconde, au romantisme profane, qu'il lui a finalement préférée sur scène. »
« D'abord rejeté par le label Columbia qui, pour des raisons obscures, refusa de distribuer le disque, "Hallelujah" a trouvé le chemin du succès à travers les reprises de Bob Dylan, de John Cale et bien sûr de Jeff Buckley, qui en fit un hymne vibrant et mélancolique. »
« Avant que Leonard Cohen ne se la réapproprie au cours d'un come-back triomphal, la chanson avait même gagné un nouveau public grâce à un intermédiaire inattendu : le dessin animé Shrek ! »
« Une chanson comme porte d'entrée dans une vie : c'est l'angle choisi par les réalisateurs Dan Geller et Dayna Goldfine pour brosser ce portrait de Leonard Cohen, incomparable troubadour canadien débarqué tardivement sur la scène musicale après des débuts dans la littérature. »
« Miroir de son âme paradoxale, "Hallelujah" apparaît comme l'emblème achevé d'une œuvre qui réunit sensualité et spiritualité dans des textes à la poésie d'apparence spontanée, dont le mystère est toujours opérant. Une riche et émouvante exploration de l'univers de Cohen qui se déploie à travers des archives rares et des extraits de concerts, commentés par des proches et des collaborateurs clés. »
« Hallelujah, les mots de Leonard Cohen »
« Hallelujah, les mots de Leonard Cohen » est un documentaire réalisé par Daniel Geller et Dayna Goldfine.
« Un documentaire émouvant qui explore à la fois la biographie de l’artiste et le destin de la plus culte de ses chansons. »
« Il a créé une des chansons les plus mythiques de l’histoire. À la fin des années 60, Leonard Cohen signe, comme Bob Dylan, chez Columbia, et devient une légende. Mais sa carrière prendra un tournant inattendu. Découvrez l’histoire qui l’amènera à se reconstruire et à s’affirmer comme l’un des artistes les plus importants de notre époque. Une inoubliable balade à travers la chanson qui a marqué nos vies. »
« Leonard Cohen : Live in London » d’Edward Sanders
Etats-Unis, 2010, 60 min
Disponible à partir du 19/09/2024
Sur Arte le 21 septembre 2024 à 00 h 20
« Hallelujah" : Leonard Cohen. La musique de nos vies » de Dayna Goldfine et Dan Geller
Etats-Unis, 2021, 111 min
Production : Keller/Goldfine Productions
Sur Arte les 20 septembre 2024 à 22 h 30, 28 septembre 2024 à 5 h 10, 06 octobre 2024 à 11 h 35
Sur arte.tv du 20/09/2024 au 19/10/2024
Disponible à partir du 20/09/2024
« Hallelujah, les mots de Leonard Cohen » de Daniel Geller, Dayna Goldfine
Etats-Unis, 2022, 01 h 53
"À Hydra, Leonard Cohen se fait pâtre grec" de Fabrice Michelin
France, 2023, 13 min sur 46 min
Coproduction : ARTE France, Éléphant Doc
Sur Arte le 20 janvier 2023 à 17 h 25
Disponible du 13/01/2023 au 19/04/2023
Visuel :
À moins de deux heures en bateau de la capitale grecque, Hydra est un éden sans voiture où l’on vit au rythme des mules et du chant des oiseaux
© Elephant Doc
Au Jewish Museum
1109 5th Ave at 92nd St
New York, NY 10128
Tel.: 212.423.3200
Samedi et dimanche de 10 h à 17 h 45, lundi, mardi et vendredi de 11 h à 17 h 45, jeudi de 11 h à 20 h
"Leonard Cohen: A Crack in Everything"
Le 12 juin 2019, Le Jewish Museum présentera, dans le cadre de l'exposition "Leonard Cohen: A Crack in Everything", "Dialogue and Discourse. I'm Your Man: Authors Roundtable".
"Leonard Cohen à Montréal / Luther / Barcelone" par Fabrice Michelin
France, 2018, 38 min
Sur Arte le 23 octobre 2018 à 16 h 30
« Leonard Cohen - Bird on a Wire » de Tony Palmer
Etats-Unis, 2010, 106 min
Sur Arte le 3 novembre 2017 à 23 h 10
Visuels
Portrait du chanteur Léonard Cohen
Léonard Cohen en concert
© ZDF
A lire sur ce blog :
Articles in English
Les citations sur le documentaire sont d'Arte. Cet article a été publié le 3 novembre 2017, puis les 9 avril et 23 octobre 2018, 12 juin 2019, 13 janvier 2023.
Les citations sur le documentaire sont d'Arte. Cet article a été publié le 3 novembre 2017, puis les 9 avril et 23 octobre 2018, 12 juin 2019, 13 janvier 2023.
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