Le 12 juin 2014, trois adolescents Juifs israéliens ont été assassinés par le Hamas. Tsahal a éliminé leurs meurtriers. En juillet 2014, les médias internationaux ont titré sur l'assassinat de l'adolescent palestinien Mohammed Abu Khdeir. La police israélienne a arrêté trois individus soupçonnés d'avoir commis ce meurtre. Le 30 novembre 2015, un tribunal israélien a reconnu coupables deux d'entre eux, et attend le rapport de l'expert psychiatre pour statuer sur le troisième. La présentation de cette condamnation par l'AFP est choquante.
Le 1er juillet 2014, ont été enterrés au cimetière de Modi’in les trois adolescents israéliens magnifiques (z''l) - Naftali Frenkel, âgé de 16 ans, Gilad Shaer, âgé de 16 ans, et Eyal Yifrach, âgé de 19 ans - kidnappés le 12 juin 2014 vers 22 h, au carrefour du Gush EtZion (Zone C), alors qu'ils avaient quitté les yeshivot (écoles talmudiques) où ils étudiaient pour rentrer à leur domicile, et assassinés peu après leur rapt. Des actes salués et revendiqués par le Hamas. Le 22 septembre 2014, les forces de sécurité israélienne ont éliminé à Hebron, Marwan Qawasmeh et Amer Abou Eisheh, assassins de ces trois jeunes israéliens.
Le 1er juillet 2014, ont été enterrés au cimetière de Modi’in les trois adolescents israéliens magnifiques (z''l) - Naftali Frenkel, âgé de 16 ans, Gilad Shaer, âgé de 16 ans, et Eyal Yifrach, âgé de 19 ans - kidnappés le 12 juin 2014 vers 22 h, au carrefour du Gush EtZion (Zone C), alors qu'ils avaient quitté les yeshivot (écoles talmudiques) où ils étudiaient pour rentrer à leur domicile, et assassinés peu après leur rapt. Des actes salués et revendiqués par le Hamas. Le 22 septembre 2014, les forces de sécurité israélienne ont éliminé à Hebron, Marwan Qawasmeh et Amer Abou Eisheh, assassins de ces trois jeunes israéliens.
Deux poids, deux mesures
Dès le 2 juillet 2014, la Une des médias internationaux se focalisait sur le cadavre de Mohammed Abu Khdeir, Arabe palestinien âgé de 16 ans, découvert dans une forêt de Jérusalem.
Dans cette photographie circulant sur Internet à partir du 6 juillet 2014, on voit semble-t-il ce jeune Palestinien, vêtu du keffieh, se réjouissant, par ses trois doigts debout, que ces trois jeunes Israéliens aient été kidnappés et tués. Un cliché non diffusé par les Palestiniens et non repris par les médias internationaux, car il n'aurait pas suscité la compassion instrumentalisée contre Israël et il aurait montré ce Palestinien haineux à l'égard des Israéliens et sans aucun sens moral. Bref, le résultat de l'éducation à la haine antisémite distillée par l'Autorité palestinienne et au sein de sa famille.
Une couverture médiatique inversement proportionnelle à celle accordée à l'enlèvement de ces trois jeunes Juifs, pardon Israéliens, qualifiés souvent à tort de "colons", selon parfois un "choix éditorial" (France 2).
Or, ces trois jeunes vivaient dans des villes reconnues internationalement comme relevant de la souveraineté israélienne : Eyal Yifrach vivait à Elad, et Naftali Frenkel, américano-israélien, à Nof Ayalon - "quartier orthodoxe de Nof Ayalon, à Modiin" -, deux villes situées à l'intérieur de la Ligne verte, en "territoire israélien internationalement reconnu" ; Gilad Shaer habitait à Tamon, située en Zone C, reconnue par les Accords d’Oslo acceptés par l'Autorité palestinienne comme sous souveraineté israélienne. Tous trois ont été kidnappés ensemble dans cette zone C. Par ailleurs, tous ces lieux se trouvent dans le territoire alloué au peuple Juif dès les accords de San Remo, puis par la Société des Nations et la charte des Nations unies.
Dans cette photographie circulant sur Internet à partir du 6 juillet 2014, on voit semble-t-il ce jeune Palestinien, vêtu du keffieh, se réjouissant, par ses trois doigts debout, que ces trois jeunes Israéliens aient été kidnappés et tués. Un cliché non diffusé par les Palestiniens et non repris par les médias internationaux, car il n'aurait pas suscité la compassion instrumentalisée contre Israël et il aurait montré ce Palestinien haineux à l'égard des Israéliens et sans aucun sens moral. Bref, le résultat de l'éducation à la haine antisémite distillée par l'Autorité palestinienne et au sein de sa famille.
Une couverture médiatique inversement proportionnelle à celle accordée à l'enlèvement de ces trois jeunes Juifs, pardon Israéliens, qualifiés souvent à tort de "colons", selon parfois un "choix éditorial" (France 2).
Or, ces trois jeunes vivaient dans des villes reconnues internationalement comme relevant de la souveraineté israélienne : Eyal Yifrach vivait à Elad, et Naftali Frenkel, américano-israélien, à Nof Ayalon - "quartier orthodoxe de Nof Ayalon, à Modiin" -, deux villes situées à l'intérieur de la Ligne verte, en "territoire israélien internationalement reconnu" ; Gilad Shaer habitait à Tamon, située en Zone C, reconnue par les Accords d’Oslo acceptés par l'Autorité palestinienne comme sous souveraineté israélienne. Tous trois ont été kidnappés ensemble dans cette zone C. Par ailleurs, tous ces lieux se trouvent dans le territoire alloué au peuple Juif dès les accords de San Remo, puis par la Société des Nations et la charte des Nations unies.
Et la plupart de ces médias, reprenant les allégations des Palestiniens, et sans aucune preuve, désignaient des Israéliens Juifs comme auteurs présumés du meurtre de Mohammed Abu Khdeir. Parmi les médias communautaires, Michel Zerbib, rédacteur en chef de Radio J, a été l'un des rares à inviter sur Facebook à la prudence en évitant d'imputer sans fondement ce meurtre à des "vengeurs" israéliens.
Or, ce même 2 juillet 2014, on apprenait le meurtre de Omaima Jaradat âgée de 15 ans, poignardée par un de ses oncles à Kfar Sair, village au nord de Hébron.
Cet assassinat n'a suscité aucune réaction des dirigeants occidentaux ou arabes. Même pas un communiqué de presse des droitsdel'hommistes ou des féministes. Seuls HNN, relayé par The Jewish Press, ont informé sur ce meurtre. Pourquoi ce silence politique et médiatique ? Est-ce parce qu'une fille, même palestinienne, assassinée par sa parentèle - "crime d'honneur" ? - n'intéresse personne ? Est-ce parce que nul Juif, pardon nul Israélien, ne peut être accusé de cet assassinat ? Selon un Tweet du journaliste Arabe israélien Khaled Abu Toameh, Omaima Jaradat "a apparemment surpris son oncle en train de voler".
Cette attention sur le seul meurtre de Mohammed Abu Khdeir me parait suspecte : c'est un moyen pour l'Autorité palestinienne d'exiger du Premier ministre israélien Benjamin Netanyahu une condamnation déjà exprimée, de victimiser les Palestiniens - donc "Halte aux opérations israéliennes" -, de solliciter de la communauté internationale des pressions sur Israël pour qu'il mette un terme à ses recherches et actions défensives, de divertir l'attention loin du monstrueux assassinat des trois jeunes Israéliens, d'occulter sa responsabilité dans la haine et l'assassinat des Juifs - la "condamnation" de Mahmoud Abbas (Abou Mazen) n'est pas satisfaisante en raison du parallèle entre l'enlèvement des trois jeunes Israéliens et les opérations israéliennes - ainsi que son énième alliance avec le Hamas, de faire oublier la joie de la "rue palestinienne" apprenant ce rapt et ces trois assassinats, et de ternir l'image d'Israël et des Israéliens Juifs. En outre, condamner le Hamas ne coûtait guère à Abbas : c'était le minimum pour maintenir sa place à la direction de l'Autorité palestinienne et les avantages, notamment financiers, liés. Et c'était se démarquer d'un rival affaibli dans les territoires disputés. Et, il y a la volonté évidente de montrer que les Juifs, pardon, les Israéliens, eux aussi commettraient des actes criminels, et de forger un autre blood libel... Ce meurtre sert aussi de prétexte aux Palestiniens pour déclencher "spontanément" des violences contre les Israéliens et en imputer la responsabilité à l'Etat Juif. Ainsi que le rappelle Lee Kaplan, l'Intifada II a été soigneusement planifiée par l'Autorité palestinienne, en particulier par Arafat dès son retour des négociations à Camp David, et non provoquée par la visite d'Ariel Sharon sur le mont du Temple en 2000. De même, le Hamas verse, de l'aveu même d'un de ses membres Mahmoud Toameh, un salaire mensuel de 1 150 $-1 440 $/mois à des membres du Mouvement islamique pour qu'ils fomentent des émeutes "spontanées", harcèlent les Juifs en leur jetant des pierres et les empêchent de prier sur le mont du Temple à Jérusalem.
Pour certains politiciens israéliens, c'est une instrumentalisation visant à discréditer des opposants Juifs religieux alors que l'enquête policière n'est pas encore achevée.
Évoquant l'émotion des ses coreligionnaires lors de ce triple kidnapping et de son tragique dénouement, l'essayiste Alain Finkielkraut a déclaré sur RCJ, le 6 juillet 2014 : "Les Juifs français ont pu mesurer leur solitude... L'horreur de ce massacre [des trois jeunes Israéliens] inexcusable aurait du être soulignée... Cette réalité - ces trois jeunes étaient en Cisjordanie - a inhibé la compassion... Ce crime échappe au schéma appliqué paresseusement sur la réalité. L'inintelligence reste façonnée par une phrase de la préface de Sartre au livre "Les Damnés de la Terre" de Frantz Fanon : "Le colon n'a qu'un recours : la force, quand il lui en teste ; l'indigène n'a qu'un choix : la servitude ou la souveraineté". Notre époque invoque sans cesse Camus, mais reste profondément sartrienne. Ces trois jeunes viennent du Gush Etsion. Il y avait un bloc Etsion dans le Yichouv, ce bloc de kibboutzim a été attaqué par la Légion arabe, et 150 personnes - hommes, femmes, enfants - y ont été abattus au cri de Deir Yassin, au nom de ce crime... Le 14 mai 1948, de nouveaux massacres se sont produits... Les maisons, le kibboutz, tout a été arasé {par les Arabes]... La barbarie est contagieuse. La stratégie du prix à payer demandée par des colons extrémistes, des appels à la vengeance ne cessent de retentir. Jamais le compromis n'a été aussi urgent. Il faut trouver les moyens d'une désintrication".
Le "crime" de Deir Yassin n'existe pas - c'est un élément de la propagande arabe et "palestinienne" -; et les "colons" non plus. QG. Des dirigeants palestiniens ont démenti le « massacre de Deir Yassin », en réalité une bataille rude (9-10 avril 1948) - 60 morts Arabes palestiniens - dans un village situé à un lieu stratégique que les indépendantistes Juifs voulaient gagner - la Hagana a préparé cette bataille avec l'Irgoun et le Lehi - pour alléger le blocus par les forces militaires arabes de Jérusalem et de ses environs et ravitailler les Juifs qui y crevaient de faim, etc.
Quant aux récentes victimes israéliennes d'actes terroristes, dont la jeune Shelley Dadon âgée de 19 ans, commis en 2014 par des Palestiniens, elles ne suscitent aucune compassion de la part de ces "belles âmes", même Juives comme JewPop.
Jugement israélien
Le 30 novembre 2015, le tribunal de district de Jérusalem (Israël) a reconnu coupables du meurtre d'Abu Khdeirle 2 juillet 2014 deux Israéliens mineurs, et attend le rapport de la commission psychiatrique pour statuer sur le troisième, Yosef Haïm Ben David, âgé de 31 ans, et apparaissant comme l'instigateur et exécutant. Les juges Yaakov Tsaban, Rafi Carmel et Rivka Friedman-Feldman se prononceront le 20 décembre 2015 sur la question de l'éventuelle irresponsabilité pénale et le 13 janvier 2016 sur la peine affligée aux meurtriers. La présentation de cette condamnation par l'AFP est choquante. Les trois prévenus avaient reconnu leur crime, et étaient présents lors de la reconstitution.
Le quotidien français Le Figaro a co-signé avec l'AFP un article intitulé "Palestinien brûlé vif: 2 Israéliens reconnus coupables" : "Un tribunal de Jérusalem a déclaré aujourd'hui deux juifs israéliens coupables d'avoir enlevé et brûlé vif un adolescent palestinien en 2014, mais a suspendu son jugement contre un troisième, le meneur du groupe, dans l'attente d'une expertise mentale. Dans son jugement, le tribunal dit que les trois accusés, un adulte et deux mineurs, ont bien enlevé et assassiné Mohammad Abou Khdeir en juillet 2014. Mais il ne prononce pas encore de peine et dit que, dans le cas de l'adulte, une expertise médicale devra déterminer s'il est ou pas pénalement responsable".
On n'a pas souvenir de dépêches de l'AFP ou d'articles du Figaro présentant des assassins français, ou belges, en évoquant leur religion chrétienne ou islamique. Les terroristes sont dénommés "assaillants", "jeunes Français", etc.
Quant à i24news, son site Internet ne cite qu'un commentaire, celui d'un politicien gauchiste : "le député Esawi Frej du part Meretz (gauche progressiste)".
Le 30 novembre 2015, le quotidien Le Parisien publie l'article Deux Israéliens reconnus coupables du meurtre ayant mené à la guerre de Gaza. Or, ce sont les tirs de roquettes par le Hamas à partir de la bande de Gaza et l'assassinat de ces trois adolescents qui ont incité finalement l'Etat d'Israël à lancer l'opération militaire Bordure protectrice. Cette inversion induit en erreur le lecteur et rend coupable les victimes du terrorisme islamiste palestinien.Notons que, dans le corps de l'article, ce journal nuance son titre : "Leur crime avait contribué à l'escalade des violences menant à la guerre de Gaza à l'été 2014". Et ce n'est que vers la fin de l'article que le contexte est rappelé ! "Cet assassinat avait provoqué de violentes manifestations. Au même moment se multipliaient les tirs de roquettes de la bande de Gaza sur Israël et les raids israéliens sur le territoire gouverné par le Hamas, tenu par Israël pour responsable de la mort des trois adolescents israéliens trois semaines auparavant. Peu après commençait la plus dévastatrice des trois guerres qu'a connu la bande de Gaza en six ans". Ces attaques du Hamas sont occultées par l'expression "spirale de violences".
Évoquant l'émotion des ses coreligionnaires lors de ce triple kidnapping et de son tragique dénouement, l'essayiste Alain Finkielkraut a déclaré sur RCJ, le 6 juillet 2014 : "Les Juifs français ont pu mesurer leur solitude... L'horreur de ce massacre [des trois jeunes Israéliens] inexcusable aurait du être soulignée... Cette réalité - ces trois jeunes étaient en Cisjordanie - a inhibé la compassion... Ce crime échappe au schéma appliqué paresseusement sur la réalité. L'inintelligence reste façonnée par une phrase de la préface de Sartre au livre "Les Damnés de la Terre" de Frantz Fanon : "Le colon n'a qu'un recours : la force, quand il lui en teste ; l'indigène n'a qu'un choix : la servitude ou la souveraineté". Notre époque invoque sans cesse Camus, mais reste profondément sartrienne. Ces trois jeunes viennent du Gush Etsion. Il y avait un bloc Etsion dans le Yichouv, ce bloc de kibboutzim a été attaqué par la Légion arabe, et 150 personnes - hommes, femmes, enfants - y ont été abattus au cri de Deir Yassin, au nom de ce crime... Le 14 mai 1948, de nouveaux massacres se sont produits... Les maisons, le kibboutz, tout a été arasé {par les Arabes]... La barbarie est contagieuse. La stratégie du prix à payer demandée par des colons extrémistes, des appels à la vengeance ne cessent de retentir. Jamais le compromis n'a été aussi urgent. Il faut trouver les moyens d'une désintrication".
Le "crime" de Deir Yassin n'existe pas - c'est un élément de la propagande arabe et "palestinienne" -; et les "colons" non plus. QG. Des dirigeants palestiniens ont démenti le « massacre de Deir Yassin », en réalité une bataille rude (9-10 avril 1948) - 60 morts Arabes palestiniens - dans un village situé à un lieu stratégique que les indépendantistes Juifs voulaient gagner - la Hagana a préparé cette bataille avec l'Irgoun et le Lehi - pour alléger le blocus par les forces militaires arabes de Jérusalem et de ses environs et ravitailler les Juifs qui y crevaient de faim, etc.
Quant aux récentes victimes israéliennes d'actes terroristes, dont la jeune Shelley Dadon âgée de 19 ans, commis en 2014 par des Palestiniens, elles ne suscitent aucune compassion de la part de ces "belles âmes", même Juives comme JewPop.
Jugement israélien
Le 30 novembre 2015, le tribunal de district de Jérusalem (Israël) a reconnu coupables du meurtre d'Abu Khdeirle 2 juillet 2014 deux Israéliens mineurs, et attend le rapport de la commission psychiatrique pour statuer sur le troisième, Yosef Haïm Ben David, âgé de 31 ans, et apparaissant comme l'instigateur et exécutant. Les juges Yaakov Tsaban, Rafi Carmel et Rivka Friedman-Feldman se prononceront le 20 décembre 2015 sur la question de l'éventuelle irresponsabilité pénale et le 13 janvier 2016 sur la peine affligée aux meurtriers. La présentation de cette condamnation par l'AFP est choquante. Les trois prévenus avaient reconnu leur crime, et étaient présents lors de la reconstitution.
Le quotidien français Le Figaro a co-signé avec l'AFP un article intitulé "Palestinien brûlé vif: 2 Israéliens reconnus coupables" : "Un tribunal de Jérusalem a déclaré aujourd'hui deux juifs israéliens coupables d'avoir enlevé et brûlé vif un adolescent palestinien en 2014, mais a suspendu son jugement contre un troisième, le meneur du groupe, dans l'attente d'une expertise mentale. Dans son jugement, le tribunal dit que les trois accusés, un adulte et deux mineurs, ont bien enlevé et assassiné Mohammad Abou Khdeir en juillet 2014. Mais il ne prononce pas encore de peine et dit que, dans le cas de l'adulte, une expertise médicale devra déterminer s'il est ou pas pénalement responsable".
On n'a pas souvenir de dépêches de l'AFP ou d'articles du Figaro présentant des assassins français, ou belges, en évoquant leur religion chrétienne ou islamique. Les terroristes sont dénommés "assaillants", "jeunes Français", etc.
Quant à i24news, son site Internet ne cite qu'un commentaire, celui d'un politicien gauchiste : "le député Esawi Frej du part Meretz (gauche progressiste)".
Le 30 novembre 2015, le quotidien Le Parisien publie l'article Deux Israéliens reconnus coupables du meurtre ayant mené à la guerre de Gaza. Or, ce sont les tirs de roquettes par le Hamas à partir de la bande de Gaza et l'assassinat de ces trois adolescents qui ont incité finalement l'Etat d'Israël à lancer l'opération militaire Bordure protectrice. Cette inversion induit en erreur le lecteur et rend coupable les victimes du terrorisme islamiste palestinien.Notons que, dans le corps de l'article, ce journal nuance son titre : "Leur crime avait contribué à l'escalade des violences menant à la guerre de Gaza à l'été 2014". Et ce n'est que vers la fin de l'article que le contexte est rappelé ! "Cet assassinat avait provoqué de violentes manifestations. Au même moment se multipliaient les tirs de roquettes de la bande de Gaza sur Israël et les raids israéliens sur le territoire gouverné par le Hamas, tenu par Israël pour responsable de la mort des trois adolescents israéliens trois semaines auparavant. Peu après commençait la plus dévastatrice des trois guerres qu'a connu la bande de Gaza en six ans". Ces attaques du Hamas sont occultées par l'expression "spirale de violences".
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Cet article a été publié le 3 juillet 2014, puis le 23 septembre 2014. Il a été modifié le 30 novembre 2015.