Carole Bellaïche est une photographe française connue pour ses portraits de stars publiées par des magazines d'informations générales, de mode ou sur le cinéma. La galerie Thomé présentera du 12 avril au 6 mai 2023 l'exposition collective "Dans les jardins" avec des œuvres d'Örjan Wikström, peintre, et de Carole Bellaïche. Vernissage le 13 avril 2023 entre 18h et 21h.
Vous avez sûrement aimé les photographies narratives d'artistes, actrices ou réalisateurs, de Carole Bellaïche publiées dans le cadre de reportages élégants, aux éclairages sophistiqués, dans Elle, L'Express ou Les Cahiers du cinéma.
« Pour Carole Bellaïche, le portrait requiert, au delà de la technique nécessaire mais pas suffisante, une grande part de psychologie. Loin des codes du studio Harcourt privilégiant une esthétique préconçue de la pose, Carole Bellaïche saisit l’instant comme une rencontre singulière. Pour ce faire, elle rentre dans une relation de miroir entre le posant, lui même maître de son image lorsqu’il est acteur, manipulateur d’images lorsqu’il est cinéaste. C’est un jeu de rôle que Carole Bellaïche maîtrise à la perfection que ce soit dans la mise en scène ou dans l’improvisation. Bien plus qu’un portrait, Carole Bellaïche propose à chaque séance une rencontre photographique sincère et unique, un moment de complicité rendu possible grâce à son intuition relationnelle qui révèle les personnalités derrière les personnages », analyse la galerie Salomon Duval.
"La collectionneuse"
Pourquoi le portrait ? Tout s’est déclenché par la lumière particulière d’un musée de Sienne où elle avait photographié une dame, de dos.
La série « Les acteurs dans les Musées nationaux » de Carole Bellaïche la propulse en 1989.
La série « Les acteurs dans les Musées nationaux » de Carole Bellaïche la propulse en 1989.
Aubenas accueille en 1980 la première exposition personnelle de Carole Bellaïche, adolescente âgée de 16 ans.
Dès 1992, cette photographe expose dans le cadre du Mois de la Photo.
En 1998, elle intègre l’agence de presse Stygma, et enchaîne les commandes pour des médias ou des publicités : Carel, Hôtel Pullman, Hôtel Grand Mercure, pochettes de CD pour le Quatuor Modigliani, Lidija et Sanja Bizjak, Boris Berezovsky, Adam Laloum, etc.
Carole Bellaïche privilégie le noir et blanc, « plastiquement magnifique, pour sa magie, son intemporalité », et « la lumière naturelle pour sa transparence, son ampleur et sa vérité ».
En 2002, dans le cadre du Mois de la photo à Paris, les Archives nationales avaient offert leur prestigieux écrin, l’Hôtel de Soubise, à sa première grande exposition à Paris, Portraits, quasi-rétrospective de 99 de ses portraits (1978-2002), essentiellement en noir et blanc, sauf la série sur les mères de familles africaines heureuses dans un squat parisien (1997).
Ses clichés narratifs, aux contrastes ou ombres accentués, soulignaient le mystère.
Admirative, complice, Carole Bellaïche a mis en scène et magnifié l’actrice : sophistiquée, angélique, ou sauvageonne. La comédienne pose parfois dans un faux abandon. Les clichés ? Narratifs, avec des contrastes ou des ombres accentués sans durcir les traits. La part belle était réservée à Isabelle Huppert, l’opposée physique de la photographe et un mystère qui lui résistait et la fascinait.
En 2007, le musée du Cinéma à Turin avait présenté l’exposition Carole Bellaïche, photographe aux Cahiers du Cinéma (140 portraits).
En 2009, Natacha Defontaine a réalisé Portraits d'actrices - Carole Bellaïche, photographe, documentaire sur ses « 30 années d'un travail consacré principalement aux portraits d’actrices. Dans l’intimité des séances photos (avec Jeanne Balibar, Isabelle Carré, Dominique Blanc, Ludivine Sagnier, Sylvie Testud...) ou en commentant des clichés plus anciens, Carole Bellaïche nous fait découvrir son œuvre ». Carole Bellaïche y « revient ses séries plus anciennes, « Les acteurs au musée », lieu qu'elle apprécie pour sa lumière, ou « Les passants sur les ponts », silhouettes anonymes se détachant sur le ciel de Paris ». Elle a « immortalisé les grandes figures du cinéma » : acteurs (Michel Piccoli, Garrel, Vincent Cassel, Matthieu Amalric), cinéastes (Jean-Luc Godard, David Lynch, Eric Rohmer, Pedro Almodovar) et surtout actrices (Catherine Deneuve, Juliette Binoche, Charlotte Rampling, Gong Li). « Les actrices sont des modèles idéaux pour un photographe, elles sont prêtes à tout, à se transformer, à changer leur image. Le côté complice et ludique est plus facile avec les femmes, on n'est pas dans un rapport de séduction », a constaté Carole Bellaïche. Jane Birkin abonde en son sens : « C’est un exhibitionnisme devant quelqu’un qui vous regarde tendrement ».
Tentée par le cinéma, Carole Bellaïche a préparé en 2012-2013 un court métrage avec l’actrice et réalisatrice française Fanny Ardant devenue célèbre par Les Dames de la Côte, série télévisée réalisée par Nina Companeez.
« Depuis le perte de l’appartement de mon enfance il y a déjà plus de 20 ans, (j’y pense comme à un être humain…) que j’ai photographié sous tous ses angles avant que l’on ne ferme pour la dernière fois sa porte, je continue à le rechercher. Je visite des maisons habitées, qui me servent de lieu de prise de vue, je recherche cette ambiance qui est mon identité et cette lumière aussi que je me suis accaparée. Je photographie, le cœur battant une pièce, une chambre, un couloire, qui raconte une histoire. J’aime un objet abandonné dans un coin, j’aime ouvrir un placard à la découverte de trésors, j’ouvre une porte impatiente de voir ce que je vais trouver derrière. J’aime la vie dans un lieu, j’aime les traces du passé, ce que l’être humain y a laissé. Je collectionne, des lieux, des objets, des visages des traces humaines. En vrais obsessionnelle, je cherche instantanément les qui m’apportent cette émotion première dans mes prises de vue, avant même la rencontre avec mon modèle. Je croie en cette liaison qui existe, qui crée l’image, cette osmose entre lieux, lumière et personnages. C’est surement pour moi une façon de faire entrer la fiction dans mes photos l’univers existe sans exister. Le personnage se fond dans une histoire, que je réinvente à chaque fois », s'est souvenue Carole Bellaïche, le 18 janvier 2014.
"La collectionneuse"
Dans le cadres du Mois de la photo à Paris, la galerie Basia Embiricos a présenté l’exposition La collectionneuse. « La discrétion vis à vis de soi est le propre des grands portraitistes, jusque là Carole Bellaïche l’avait absolument entretenue. « La collectionneuse » révèle trente années d’une quête continue et obsessionnelle pour le lieu originel perdu. Pour la première fois cette exposition démontre l’indispensable et parfaite rencontre entre un lieu retrouvé le temps d’une photo et son histoire », a écrit Charlotte Flossaut, commissaire de l’exposition Mois de la Photo 2014.
Effectués par Central DUPON, les tirages mélancoliques de photographies de Carole Bellaïche, en noir et blanc ainsi qu’en couleurs, et à la lumière sophistiquée, montrent des intérieurs bourgeois dont les occupants apparaissent au travers de leurs objets désuets, de l’agencement de leur logement. Des êtres humains devinés par leurs livres accumulés, par leurs placards. Des séries. Des pièces en enfilade. Des secrets. Des mises en abysses. Le temps qui passe... Des photographies faisant penser à certains tableaux du peintre israélien Ra'anan Lévy, mais celui-ci s'intéresse à des appartements souvent dégradés et à des objets usés. Et ses couleurs sont moins chaudes.
Effectués par Central DUPON, les tirages mélancoliques de photographies de Carole Bellaïche, en noir et blanc ainsi qu’en couleurs, et à la lumière sophistiquée, montrent des intérieurs bourgeois dont les occupants apparaissent au travers de leurs objets désuets, de l’agencement de leur logement. Des êtres humains devinés par leurs livres accumulés, par leurs placards. Des séries. Des pièces en enfilade. Des secrets. Des mises en abysses. Le temps qui passe... Des photographies faisant penser à certains tableaux du peintre israélien Ra'anan Lévy, mais celui-ci s'intéresse à des appartements souvent dégradés et à des objets usés. Et ses couleurs sont moins chaudes.
"Isabelle Huppert par Carole Bellaïche"
La galerie XII Paris présenta l'exposition "Isabelle Huppert par Carole Bellaïche".
"Dans le cadre de la sortie du livre Isabelle Huppert par Carole Bellaïche (Editions de La Martinière, 2019) Galerie XII Paris exposa une vingtaine de tirages emblématiques et inédits de la comédienne photographiée par Carole Bellaïche".
En couleurs et en noir et blanc, vingt-sept ans de relations professionnelles et amicales entre la comédienne et la photographe complices.
En couleurs et en noir et blanc, vingt-sept ans de relations professionnelles et amicales entre la comédienne et la photographe complices.
"Par delà les commandes, ses projets personnels parlent du voyage, explorent les lieux qui l’inspirent, dirigent des mises en scène d’objets ou de personnages, sondent l’intimité. Largement diffusées dans les magazines, ses photographies sont aussi régulièrement exposées".
"Elles se sont rencontrées en 1994 aux Cahiers du Cinéma et ne se sont jamais quittées. Carole Bellaïche a photographiée Isabelle Huppert des centaines de fois depuis lors. Elles partagent depuis toujours cette relation singulière qui leur est apparue comme évidente lors de leur première rencontre. L’actrice est devenue au fil des années le «personnage principal» de la carrière de Carole Bellaïche, un leitmotiv dans son travail de photographe. Les portraits de Carole Bellaïche racontent l’instant présent, loin des codes du portrait traditionnel. La photographe capture des instants de vérité, résultant de la relation privilégiée qu’elle entretient avec son modèle."
"Depuis toutes ces années, je photographie toujours Isabelle Huppert, nous avons fait des dizaines de séances, des expériences, des photos en studio, des photos dans la rue et dans des cafés, des voyages, des moments importants, des photos de famille… etc. Chaque série montre un visage différent de l’actrice, elle se transforme, elle est une autre, elle nous échappe, mystérieuse et quotidienne, c’est là sa magie. [...] J’aime percer le mystère de la star, c’est une recherche qui me passionne. Qui est Isabelle Huppert, un mythe, une grande star de cinéma, une femme modèle", a écrit Carole Bellaïche.
« J’aurais envie de dire qu’avec elle, j’ai trouvé le modèle idéal : complice, joueuse et extrêmement présente. Une grande actrice, d’une rare singularité, qui ne se lasse jamais de ces moments de prises de vue, avec qui tout est possible, et qui par une étrange faculté change sans changer vraiment. » décrit-elle dans l’introduction du livre.
"Depuis toutes ces années, je photographie toujours Isabelle Huppert, nous avons fait des dizaines de séances, des expériences, des photos en studio, des photos dans la rue et dans des cafés, des voyages, des moments importants, des photos de famille… etc. Chaque série montre un visage différent de l’actrice, elle se transforme, elle est une autre, elle nous échappe, mystérieuse et quotidienne, c’est là sa magie. [...] J’aime percer le mystère de la star, c’est une recherche qui me passionne. Qui est Isabelle Huppert, un mythe, une grande star de cinéma, une femme modèle", a confié la photographe.
"Carole Bellaïche : 25 Bd Beaumarchais"
La galerie XII Paris présenta l'exposition "Carole Bellaïche : 25 Bd Beaumarchais", à l’occasion de la sortie du livre éponyme aux Editions Revelatoer. Dans l'appartement où elle a grandi, Carole Bellaïche a appris les techniques photographiques et les métamorphoses possibles du décor. Le lieu de ses premières œuvres photographiques.
"Conçue comme une déambulation dans les pièces de l’appartement qui a marqué l’enfance et les premiers pas de la photographe, l’exposition réunit des photographies personnelles, des pages d’album ainsi que des clichés des personnalités qu’elle a fait venir dans ce lieu."
"Un pêle-mêle de ce travail entre 1978 (elle avait 14 ans) et 1990 quand la famille a quitté le Boulevard Beaumarchais. "J'y pense comme à un être humain" dit-elle toujours."
"L'appartement lui a donné son style photographique qu'elle a gardé jusqu'à maintenant. Dans cette exposition, il y a des jeunes filles, des fleurs, des carafes, des fenêtres, des meubles et des objets, des contrejours, des couleurs et des noir et blanc, des acteurs et des actrices, des modèles. Un pêle-mêle de ce travail entre 1978 (elle avait 14 ans) et 1990 quand la famille a quitté le Bd. De Beaumarchais. "J'y pense comme à un être humain" dit-elle toujours."
"Adolescente, Carole hante les salles de cinéma avec sa meilleure amie et ensemble, elles découvrent la photo. Le mercredi après-midi, munie de l’appareil photo de son père, Carole fait poser Pascale. L’appareil est muni d’une focale longue, 85mm, celle qu’utilisent les chefs opérateurs sur les plateaux. Pascale joue, se maquille, Carole photographie, la magie opère. Dans la salle de bains, elle apprend à maîtriser les tirages, recherche les contrastes, les noirs profonds. L’été de ses 15 ans, elle est en vacances en Provence et croise François Truffaut. Elle lui montre sa boite de tirages, il regarde et lui dit « Tu es vraiment photographe ». L’élan est pris."
"Bd de Beaumarchais, elle multiplie les sessions avec des amies, des voisines. Et puis elle devient professionnelle, elle a 17 ans, elle propose à des acteurs des portraits pour leurs books. Le bouche à oreille fonctionne, sa réputation s’étend. Passeront devant son objectif, toujours dans l’appartement, Juliette Binoche, Julie Delpy, Isabelle Huppert et bien d’autres. A découvrir entre les lampes, les fenêtres, les moulures, les fauteuils, tous ces éléments qui font de l’appartement un personnage à part entière."
Les éditions Revelatoer publièrent le catalogue de l'exposition "25 boulevard Beaumarchais" de Carole Bellaïche. "C’est l’appartement de Carole Bellaïche. Celui de son enfance et de son adolescence. Cet appartement sera pendant de nombreuses années le terrain de jeu de cette adolescente de 14 ans à peine qui se lance dans la photographie à l’âge où d’autres se concentrent plutôt sur leur propre image. « C’est là que j’ai commencé à photographier, que j’ai appris la lumière, les ambiances, la lumière directe, le contre-jour, la mise en scène de mes modèles dans tous les coins de l’appartement, les perspectives, et où est née cette passion pour les maisons, les lieux, qui deviennent des décors, comme s’ils appartenaient plus à un monde de fiction qu’au réel », nous dit Carole".
"C’est là que tout commence : elle caste ses modèles sur les bancs du lycée, aux terrasses des cafés parisiens et leur demande de poser dans cet incroyable studio photo qu’est l’appartement familial. Elle dompte la lumière, fait l’expérience de la pellicule argentique noir et blanc, juxtapose les visages juvéniles et charismatiques des filles de son âge sur fonds sombres d’où émergent le mobilier ancien chiné par sa mère et les moulures, développe ses films et fait ses tirages dans un petit cabinet de toilette qui jouxte la chambre de sa sœur aînée. Se succéderont alors, entre les allers et retours des amis et de la famille, Emmanuelle Béart, Juliette Binoche, Julie Delpy, Anna Karina, Anne Brochet, Tom Novembre, Charlélie Couture, Jacques Dutronc, François Cluzet, Dominique Issermann, Gabrielle Lazure, Aurore Clément, Francis Huster, Marie Trintignant, Jacques Bonnaffé et tant d’autres. Tous ces acteurs seront le point de départ d’un travail photographique que Carole Bellaïche entamera quelques années plus tard. Plaçant cinéastes et comédiens dans les musées, elle collaborera de nombreuses années avec les mythiques Cahiers du Cinéma. Certains d’entre eux se souviennent du 25 boulevard Beaumarchais. Invités à raconter la manière dont ils ont vécu ces prises de vues atypiques menées par une toute jeune femme, ils livrent dans ce livre des témoignages intimes et sincères. « Cet appartement du 25 boulevard Beaumarchais n’était pas juste un bel appartement, il fut ce que l’on y a fait. Et nous l’avons quitté, forcés, obligés. C’était en août 1990 » conclut Carole Bellaïche. Mais de « cette île, de ce royaume » tel qu’elle décrit l’appartement, il reste des montagnes de boîtes en cartons élimées dans lesquels s’entassent des tirages en noir et blanc, certains en couleur, des milliers de négatifs, mais surtout de la nostalgie, de l’amitié, de l’amour et le témoignage singulier de la naissance d’une photographe hors-norme."
La Galerie XII "présente aux côtés des tirages contemporains une sélection de tirages vintage. Des petits tirages réalisés par Carole Bellaïche adolescente, dans le laboratoire qu'elle s'était créé dans l'appartement familial. La photographe les a regroupés sur plusieurs pages d'albums qu'elle a conçus et légendés à la main. Des pièces uniques à découvrir sur nos murs jusqu'à la fin de l'exposition, prolongée jusqu'au 05 février prochain. 5 à 6 tirages argentiques noir-et-blanc de formats variés réunis sur une feuille canson de format 40x50 cm. Pièces uniques. Prix TTC : 2.500€ l'unité"
La galerie Thomé présentera du 12 avril au 6 mai 2023 l'exposition collective "Dans les jardins" avec des oeuvres d'Örjan Wikström, peintre, et de Carole Bellaïche. Vernissage le 13 avril 2023 entre 18h et 21h.
Du 12 avril au 6 mai 2023
A la galerie Thomé
19, rue Mazarine 75006
Tél.: 06 37 23 84 88
Du mercredi au samedi de 14h à 19h
Format 210 x 290 cm.
ISBN : 978-2-493152-00-8.
Prix : 42 € TTC.
Distribué par Art & Paper - Saveca
Du 15 novembre 2019 au vendredi 17 janvier 2020. Finissage de l'exposition le 18 janvier de 15 h à 18 h, en présence de la photographe.
A la galerie XII Paris
14, rue des Jardins Saint-Paul - 75004 Paris
Tél. : +33 (0)1 42 78 24 21
Du mardi au vendredi de 14 h à 19 h, le samedi de 12 h à 19 h, et sur rendez-vous
Visuels :
En Marlene Dietrich #2, 1994
30 x 24 cm / 11,8 x 9,4 in
40 x 30 cm / 15,7 x 11,8 in
80 x 60 cm / 31,5 x 23,6 in
Le voyage au Brésil #2, 1994
24 x 30 cm / 9,4 x 11,8 in
30 x 40 cm / 11,8 x 15,7 in
60 x 80 cm / 23,6 x 31,5 in
Dans le métro #1, 2012
24 x 30 cm / 9,4 x 11,8 in
30 x 40 cm / 11,8 x 15,7 in
60 x 80 cm / 23,6 x 31,5 in
Une journée à la campagne #4, 2003
30 x 24 cm / 11,8 x 9,4 in
40 x 30 cm / 15,7 x 11,8 in
80 x 60 cm / 31,5 x 23,6 in
Visuels :
En Marlene Dietrich #2, 1994
30 x 24 cm / 11,8 x 9,4 in
40 x 30 cm / 15,7 x 11,8 in
80 x 60 cm / 31,5 x 23,6 in
Le voyage au Brésil #2, 1994
24 x 30 cm / 9,4 x 11,8 in
30 x 40 cm / 11,8 x 15,7 in
60 x 80 cm / 23,6 x 31,5 in
Dans le métro #1, 2012
24 x 30 cm / 9,4 x 11,8 in
30 x 40 cm / 11,8 x 15,7 in
60 x 80 cm / 23,6 x 31,5 in
Une journée à la campagne #4, 2003
30 x 24 cm / 11,8 x 9,4 in
40 x 30 cm / 15,7 x 11,8 in
80 x 60 cm / 31,5 x 23,6 in
Carole Bellaïche
Carole Bellaïche, appartement
Salon
La vue de la salle à manger, 1990
Le lustre, 1990
Julie Delpy dans le couloir de la cuisine, 1990
© Carole Bellaïche / Courtesy Galerie XII Paris
Du 23 octobre au 23 novembre 2014. Vernissage le 30 octobre 2014 en présence de l’artiste de 18 h à 21 h.
14, rue des jardins Saint-Paul. 75004 Paris
Tél. : +33 (0)6 60 66 85 90, +33 (0)1 48 87 00 63
Du mercredi au samedi de 13 h 30 à 18 h 30. Le dimanche sur rendez-vous.
Vernissage le 30 octobre 2014 en présence de l’artiste de 18 h à 21 h
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Cet article a été publié en une version plus concise dans Actualité juive. Il a été publié sur ce blog le 29 octobre 2014, puis les 16 janvier 2020, 18 janvier 2022.
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