
« L’affaire Klimt » de Jane Chablani et Martin Smith
« Otto Wagner ou l'Art nouveau viennois » par Rudolf Klingohr
« Art nouveau, la Révolution décorative » et « Tamara de Lempicka, la Reine de l’Art déco »
« Otto Wagner ou l'Art nouveau viennois » par Rudolf Klingohr
« Art nouveau, la Révolution décorative » et « Tamara de Lempicka, la Reine de l’Art déco »

Dès 1895, et pendant environ deux décennies, l’Art nouveau joue un rôle déterminant et controversé.

Peinture, mobilier, bijou, architecture, verrerie… Art total et international, l'Art nouveau se décline dans les disciplines artistiques et artisanales, en Europe et en Amérique du nord, et connaît son apogée de 1890 à 1905.
Il triomphe lors de l'Exposition universelle de 1900.

Grâce à plus de deux cents objets – lampes de table, affiches publicitaires, vases, pendules, bronzes, céramiques, tables à thé ou à plateaux, bougeoirs, appliques, boucles de peinture, aquarelles, lithographies - des principaux fondateurs et créateurs de l’Art nouveau, cette exposition révèle ces bouleversements des arts, de l’esthétique et de la pensée induits par l’Art nouveau notamment dans la peinture et l’ameublement, mais n’aborde pas l’architecture.
Révolutions industrielle et scientifiques
En cette dernière décennie du XIXe siècle, « en une seule génération, les rapports humains furent transformés par l’évolution des réseaux de communication et de transport et l’apparition du télégraphe, de l’automobile, du téléphone, des gratte-ciel, des journaux et magazines de masse, des grands magasins, des paquebots et des avions ».

L’essor urbain se développe à grande vitesse, en Europe et en Amérique du Nord.
Edison, Einstein, Poe, Bram Stoker… Tous influent de manière déterminante les sciences et la littérature, créant ainsi un contexte particulier, terreau fertile de l’Art nouveau.



Dès la fin du XVIIIe siècle, artistes et théoriciens de l’art recherchent un « art nouveau, au sens d’une nouvelle forme artistique ». Une préoccupation partagée par ceux du siècle suivant, notamment Charles Garnier et Claude Nicolas Ledoux. Précurseur, Füssli « introduit des formes nouvelles, prémisses de cet usage intensif de la ligne courbe, de l’arabesque et de ce qui deviendra » rapidement le « style nouille ».
L’Art nouveau « se veut issu des théories romantiques du XIXe siècle de l’Art total (Gesamtkunstwerk, dont Richard Wagner sera le plus prestigieux représentant) qui impliquent que l’art est partout, présent dans chaque moment de la vie et dans l’ensemble des éléments qui la compose ».

Il s’affirme vite dans le monde, spécifiquement dans les villes : Tiffany aux États-Unis, Jugenstil en Allemagne, Sezessionist en Autriche, Nieuwe Kunst aux Pays-Bas, Stile Liberty en Italie, Modernismo en Espagne…
Première application de l’Art nouveau : conçu par Victor Horta, l’Hôtel Tassel est construit à Bruxelles en 1893.
Et c’est à la France que l’Art nouveau est identifié dès 1895. Des immeubles Art nouveau sont édifiés à Lille, à Marseille, à Nice et dans d’autres agglomérations. Deux cités jouent un rôle prépondérant dans ce mouvement artistique : Paris et Nancy.

« Capitale régionale de la Lorraine, dans l’Est de la France, Nancy disposait de capacités industrielles solides et revendiquait une identité culturelle farouche, encore renforcée par sa proximité avec l’Allemagne et la tension existant entre les deux pays ». Sous l’impulsion d’entrepreneurs ouverts à l’avant-garde artistique, Nancy s’émancipe des styles des rois Louis pour adopter l’Art nouveau.
Populaire, mais décrié
Les décorateurs pensent « que les arts décoratifs étaient un langage capable d’exprimer toute la palette des émotions humaines ». Ce qui explique « l’intérêt constant suscité par l’Art nouveau auprès d’un large public » et les controverses. « Par son exubérance et sa vitalité, l’Art nouveau est, sans aucun doute, le style de l’amour et de la colère ».

Revendiquant une liberté créative totale, ces artistes prisent la forme arabesque et la référence à la sensualité et à l’érotisme.

L’apogée de l’Art nouveau ? De 1890 à 1905. « Vite devenu un mouvement à la mode, ses créateurs sont dépassés par l’engouement » suscité. L’Art nouveau « devient rapidement le support d’une production foisonnante qui triomphe à partir de l’Exposition universelle de 1900 et que commencent à dénoncer les « inventeurs » du mouvement ». Siegfried Bing et Henry Van de Velde (1863-1957), architecte et décorateur d’intérieur, « se démarquent rapidement du développement incontrôlé de ce qu’ils ont créé ».

« L’Art nouveau distille une ambiance respectable avec un parfum de scandale ». Méprisé par les critiques et historiens d’art, dénigré par les adeptes du classicisme, il est critiqué par ceux voulant poursuivre cette démarche artistique en explorant d’autres voies. « Rapidement surgissent les dénonciations de ses formes en arabesques. Qualifiant avec mépris l’Art nouveau de style « nouille » ou « ténia », ses opposants suggèrent une idée de mollesse dans les images strictement ornementales et décoratives qu’il voulait imposer ». Cet Art nouveau est pourfendu par « les mouvements réactionnaires mais également marxistes. Les milieux nationalistes, nourris par un climat antisémite et xénophobe, l’attaquent avec virulence ». Les réactions les plus acerbes se focalisent sur Hector Guimard.
L’Art déco
L’Art nouveau et l’Art déco, qui lui succède vers 1920, sont deux mouvements antagonistes : l’Art déco s’est constitué en réaction et en opposition à l’Art nouveau. Aux volutes et arabesques de l’Art nouveau dédaigné, l’Art déco préfère les formes plus géométriques à des fins décoratives.
L’Art nouveau et l’Art déco, qui lui succède vers 1920, sont deux mouvements antagonistes : l’Art déco s’est constitué en réaction et en opposition à l’Art nouveau. Aux volutes et arabesques de l’Art nouveau dédaigné, l’Art déco préfère les formes plus géométriques à des fins décoratives.
Ce mouvement artistique tire son nom de l'Exposition internationale des Arts Décoratifs et industriels modernes à Paris en 1925.
A l’ère du fauvisme et du cubisme, l’Art déco connaît un succès bref, mondial - principalement la France, la Belgique, tous les pays anglo-saxons, les Indes et la Chine -, et concerne « de nombreux domaines des arts décoratifs - architecture, design, mode et costume -, sans atteindre l’étendue de l’Art nouveau.
Avec l’avènement de l’Art déco, la représentation de la figure féminine évolue : la sensualité et l'érotisme laissent place à « une sexualité transgressive beaucoup plus poussée ».
Tamara de Lempicka, la Reine de l’Art déco
Tamara de Lempicka est l’icône incontestée de l'Art déco.
Mondaine, libre et théâtrale, elle « développe durant les Années folles un style audacieux, qui lui confère une place tout à fait à part dans l’art moderne ».

Mondaine, libre et théâtrale, elle « développe durant les Années folles un style audacieux, qui lui confère une place tout à fait à part dans l’art moderne ».


Ce « rapport à la transgression et aux idées progressistes en fait sans doute le personnage le plus troublant du début du XXe siècle. Jouant sans état d'âme sur les attitudes érotiques des femmes, ou tout au moins leur sensualité, elle les place néanmoins dans un univers néo-cubiste et profondément Art déco ».

Dès 1925, elle expose à Milan, et rencontre Gabriele d’Annunzio, écrivain représentant du décadentisme italien et héros de la Première Guerre mondiale. Par sa vie mondaine et son activité artistique, elle côtoie André Gide, Suzy Solidor, des entrepreneurs aisés, des princes russes exilés, etc.
En 1928, elle ouvre sa maison-atelier, conçue par l’architecte Robert Mallet-Stevens, au n°7 de la rue Méchain à Paris. Dans son atelier, Tamara de Lempicka « a posé sur une table une série d’ouvrages qui attirent leur attention : les traductions françaises de livres de D’Annunzio (1863-1938), tous assortis de dédicaces passionnées « à la grande artiste ».


Exilée dès 1939, elle devient citoyenne américaine. A Hollywood, elle démontre ses qualités de communicante, émaillant d’oublis et d’informations erronées sa biographie, façonnant son image de modèle en élégance et beauté et artiste peintre.
Elle meurt au Mexique.
Après des décennies d’oubli, elle bénéficie d’un regain d’intérêt induit par la redécouverte de l’Art déco dans les années 1970.
Evolution cyclique
Au XXe siècle, alternent des périodes de regain d’intérêt pour l’Art nouveau – dès les années 1930, les surréalistes œuvrent à la réhabilitation de l’Art nouveau (dans un article publié par Minotaure, Dalí rend hommage à cet art) ; années 1960 - des marchands et des collectionneurs exhument l’Art nouveau et le valorisent dans le monde. L’Art nouveau influe alors la culture de masse - et 1980, début du XXIe siècle - et de périodes de discrédit.
Au XXe siècle, alternent des périodes de regain d’intérêt pour l’Art nouveau – dès les années 1930, les surréalistes œuvrent à la réhabilitation de l’Art nouveau (dans un article publié par Minotaure, Dalí rend hommage à cet art) ; années 1960 - des marchands et des collectionneurs exhument l’Art nouveau et le valorisent dans le monde. L’Art nouveau influe alors la culture de masse - et 1980, début du XXIe siècle - et de périodes de discrédit.
Sans appui dans les mouvements politique, de gauche comme de droite, l’Art nouveau n’est pas non plus soutenu dans les cercles institutionnels : « les urbanistes démolissaient ses œuvres ; les conservateurs de musée négligeaient d’en acquérir ou s’en débarrassaient lorsqu’ils en découvraient dans leurs collections ; les historiens de l’art bannirent ce courant de leur discipline ou le taxèrent d’irrationalité instable ; les professeurs démontraient à leurs élèves son impéritie esthétique ; quant aux philosophes, ils le présentaient comme un révélateur de l’effondrement de la civilisation. De grands noms du monde artistique, tels qu’Adolf Loos, Le Corbusier, Walter Benjamin, J. M. Richards et Nikolas Pevsner, le décrivirent chacun à leur façon comme l’œuvre réactionnaire de marginaux morbides, décadents et névrosés ». Cette « délectation de la courbe, de la spirale, du méandre, ces effets de vignes entrelacées, de serpents, de ressorts hélicoïdaux à la fois souples et tendus – de tels plaisirs ne signent-ils pas le déclin, si ce n’est la fin, d’une civilisation dont la première guerre mondiale sonna le glas ? »
Mais le public a conservé son enthousiasme pour l’Art nouveau.

A la Pinacothèque 1 et à la Pinacothèque 2
28, place de la Madeleine. 75008 Paris
Tél : 01 42 68 02 01
Tous les jours de 10 h 30 à 18 h 30. Nocturnes tous les mercredis et vendredis jusqu’à 21h
Visuels :
Affiche
Eugène Grasset, Affiche pour le Salon des Cent
1894, pochoir, 64,2 x 50,2 cm
Collection privée
© Arwas Archives
Photo Pierluigi Siena
Tamara de Lempicka, L'Écharpe bleue
Mai 1930, huile sur bois, 56,5 x 48 cm
Collection privée
© Tamara Art Heritage / Licensed by Museum Masters International NYC / ADAGP, Paris 2013
Georges Clairin
Sarah Bernhardt sur son divan
1876
Eau-forte et aquatinte
46,6 x 38 cm
Collection privée
© Arwas Archives Photo Pierluigi Siena
Eugène Grasset
L'Éventail
1897
Lithographie en couleur 126 x 82 cm
Collection privée, Londres
© Arwas Archives
Émile Gallé
Table Libellule
c. 1900
Bois
75 x 81 x 57,8 cm
Collection Robert Zehil, Monte Carlo, Monaco
© Robert Zehil, Monte Carlo, Monaco
Lucien Hirtz, pour Frédéric Boucheron
Large bol avec trois portraits d'après Lucien Lévy-Dhurmer
c. 1895
Argent forgé et émaillé
12,5 x 24 x 23 cm
Collection privée
© Arwas Archives
Daum Frères
Aubépines en fleurs
c. 1905
Vase Verre
h. 28,8 cm
Collection Robert Zehil, Monte-Carlo, Monaco
© Robert Zehil, Monte-Carlo, Monaco
Hector Guimard
Vase
c. 1900
Grès
h. 27,5 cm
Collection Robert Zehil, Monte-Carlo, Monaco
© Robert Zehil, Monte-Carlo, Monaco
Émile Gallé
Armoire murale
c. 1890
Bois sculpté et marqueterie
89 x 67 x 26 cm
Collection Victor et Gretha Arwas
© Arwas Archives Photo Pierluigi Siena
René Paul-Hermann
Affiche pour le Salon des Cent 1895
Lithographie en couleur
64,7 x 47,7 cm
Collection Victor et Gretha Arwas
© Arwas Archives Photo Pierluigi Siena
Bernard Hoetger
Loïe Fuller
1901
Bronze à patine brune
27 x 34 x 27 cm
Collection privée, Londres
© Arwas Archives Photo Pierluigi Siena
Paul Berthon
Mandore
1898
Lithographie en couleur
48,9 x 64,1 cm
Collection privée, Londres
© Arwas Archives
René Lalique
Boucle de ceinture
c. 1900
Argent, or et émail
Collection Robert Zehil, Monte-Carlo, Monaco
© Robert Zehil, Monte-Carlo, Monaco
Daum Frères
Mince vase sur pied
c. 1905
Verre
h. 33 cm
Collection Robert Zehil, Monte Carlo, Monaco
© Robert Zehil, Monte Carlo, Monaco
Tamara de Lempicka
Portrait d'Arlette Boucard
Avril 1928
Huile sur toile
70 x 130 cm
Collection privée
© Tamara Art Heritage / Licensed by Museum Masters International NYC / ADAGP, Paris 2013
Tamara de Lempicka
Deux Fillettes aux rubans
1925
Huile sur toile
100 x 73 cm
Collection Dr George et Vivian Dean
© Tamara Art Heritage / Licensed by Museum Masters International NYC / ADAGP, Paris 2013
Tamara de Lempicka
La Bohémienne
c. 1923
Huile sur toile
73 x 60 cm
Collection M. et Mme Nezhet Tayeb
© Tamara Art Heritage / Licensed by Museum Masters International NYC / ADAGP, Paris 2013
Tamara de Lempicka
Arlette Boucard aux arums
1931
Huile sur bois
91 x 55,5 cm
Collection privée
© Tamara Art Heritage / Licensed by Museum Masters International NYC / ADAGP, Paris 2013
Tamara de Lempicka
Nu aux buildings
1930
Huile sur toile
92 x 73 cm
Propriété de la collectionneuse Caroline Hirsch
© Tamara Art Heritage / Licensed by Museum Masters International NYC / ADAGP, Paris 2013
Tamara de Lempicka
La Tunique rose
Avril 1927
Huile sur toile
73 x 116 cm
Propriété de la collectionneuse Caroline Hirsch
© Tamara Art Heritage / Licensed by Museum Masters International NYC / ADAGP, Paris 2013
Tamara de Lempicka
Portrait de Mme P. ou Sa Tristesse
1923
Huile sur toile
116 x 73 cm
Collection privée
© Tamara Art Heritage / Licensed by Museum Masters International NYC / ADAGP, Paris 2013
Les citations proviennent du dossier de presse, notamment de Marc Restellini, des catalogues, de Paul GREENHALGH, « Le style de l’amour et de la colère : l’Art nouveau hier et aujourd’hui », in L’Art nouveau, la révolution décorative, Skira, Milan, 2013, p.9-29. et de Gioia MORI, “Tamara de Lempicka, Internationale, moderne, décorative », in Tamara de Lempicka, la reine de l’Art déco, , Skira, Milan, 2013, p. 13-91.
Eugène Grasset, Affiche pour le Salon des Cent
1894, pochoir, 64,2 x 50,2 cm
Collection privée
© Arwas Archives
Photo Pierluigi Siena
Tamara de Lempicka, L'Écharpe bleue
Mai 1930, huile sur bois, 56,5 x 48 cm
Collection privée
© Tamara Art Heritage / Licensed by Museum Masters International NYC / ADAGP, Paris 2013
Georges Clairin
Sarah Bernhardt sur son divan
1876
Eau-forte et aquatinte
46,6 x 38 cm
Collection privée
© Arwas Archives Photo Pierluigi Siena
Eugène Grasset
L'Éventail
1897
Lithographie en couleur 126 x 82 cm
Collection privée, Londres
© Arwas Archives
Émile Gallé
Table Libellule
c. 1900
Bois
75 x 81 x 57,8 cm
Collection Robert Zehil, Monte Carlo, Monaco
© Robert Zehil, Monte Carlo, Monaco
Lucien Hirtz, pour Frédéric Boucheron
Large bol avec trois portraits d'après Lucien Lévy-Dhurmer
c. 1895
Argent forgé et émaillé
12,5 x 24 x 23 cm
Collection privée
© Arwas Archives
Daum Frères
Aubépines en fleurs
c. 1905
Vase Verre
h. 28,8 cm
Collection Robert Zehil, Monte-Carlo, Monaco
© Robert Zehil, Monte-Carlo, Monaco
Hector Guimard
Vase
c. 1900
Grès
h. 27,5 cm
Collection Robert Zehil, Monte-Carlo, Monaco
© Robert Zehil, Monte-Carlo, Monaco
Émile Gallé
Armoire murale
c. 1890
Bois sculpté et marqueterie
89 x 67 x 26 cm
Collection Victor et Gretha Arwas
© Arwas Archives Photo Pierluigi Siena
René Paul-Hermann
Affiche pour le Salon des Cent 1895
Lithographie en couleur
64,7 x 47,7 cm
Collection Victor et Gretha Arwas
© Arwas Archives Photo Pierluigi Siena
Bernard Hoetger
Loïe Fuller
1901
Bronze à patine brune
27 x 34 x 27 cm
Collection privée, Londres
© Arwas Archives Photo Pierluigi Siena
Paul Berthon
Mandore
1898
Lithographie en couleur
48,9 x 64,1 cm
Collection privée, Londres
© Arwas Archives
René Lalique
Boucle de ceinture
c. 1900
Argent, or et émail
Collection Robert Zehil, Monte-Carlo, Monaco
© Robert Zehil, Monte-Carlo, Monaco
Daum Frères
Mince vase sur pied
c. 1905
Verre
h. 33 cm
Collection Robert Zehil, Monte Carlo, Monaco
© Robert Zehil, Monte Carlo, Monaco
Tamara de Lempicka
Portrait d'Arlette Boucard
Avril 1928
Huile sur toile
70 x 130 cm
Collection privée
© Tamara Art Heritage / Licensed by Museum Masters International NYC / ADAGP, Paris 2013
Tamara de Lempicka
Deux Fillettes aux rubans
1925
Huile sur toile
100 x 73 cm
Collection Dr George et Vivian Dean
© Tamara Art Heritage / Licensed by Museum Masters International NYC / ADAGP, Paris 2013
Tamara de Lempicka
La Bohémienne
c. 1923
Huile sur toile
73 x 60 cm
Collection M. et Mme Nezhet Tayeb
© Tamara Art Heritage / Licensed by Museum Masters International NYC / ADAGP, Paris 2013
Tamara de Lempicka
Arlette Boucard aux arums
1931
Huile sur bois
91 x 55,5 cm
Collection privée
© Tamara Art Heritage / Licensed by Museum Masters International NYC / ADAGP, Paris 2013
Tamara de Lempicka
Nu aux buildings
1930
Huile sur toile
92 x 73 cm
Propriété de la collectionneuse Caroline Hirsch
© Tamara Art Heritage / Licensed by Museum Masters International NYC / ADAGP, Paris 2013
Tamara de Lempicka
La Tunique rose
Avril 1927
Huile sur toile
73 x 116 cm
Propriété de la collectionneuse Caroline Hirsch
© Tamara Art Heritage / Licensed by Museum Masters International NYC / ADAGP, Paris 2013
Tamara de Lempicka
Portrait de Mme P. ou Sa Tristesse
1923
Huile sur toile
116 x 73 cm
Collection privée
© Tamara Art Heritage / Licensed by Museum Masters International NYC / ADAGP, Paris 2013
Les citations proviennent du dossier de presse, notamment de Marc Restellini, des catalogues, de Paul GREENHALGH, « Le style de l’amour et de la colère : l’Art nouveau hier et aujourd’hui », in L’Art nouveau, la révolution décorative, Skira, Milan, 2013, p.9-29. et de Gioia MORI, “Tamara de Lempicka, Internationale, moderne, décorative », in Tamara de Lempicka, la reine de l’Art déco, , Skira, Milan, 2013, p. 13-91.
A lire sur ce blog :
Cet article a été publié les 2 septembre et 15 octobre 2013, 3 mars 2014 et 18 février 2015.
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