Arte diffusera le 8 mai 2018, dans le cadre de « ARTE Regards » (Re: Leben im Ausnahmezustand), « Israéliens, Palestiniens et la bande de Gaza » (Israelis, Palästinenser und der Gaza-Streifen), reportage partial.
Al-Fateh, le webmagazine haineux du Hamas pour la jeunesse
L’UNRWA (Office de secours et de travaux des Nations unies pour les réfugiés de Palestine dans le Proche-Orient)
« Israéliens, Palestiniens et la bande de Gaza »
« Des milliards dans le désert. L'aide européenne en Palestine », de Sabrina Dittus
Le keffieh, c’est tendance !
« Des Palestiniens au Chili » d’Ana María Hurtado
« Alors qu’Israël fête ses 70 ans, le conflit israélo-palestinien fait à nouveau l'actualité ». Israël célèbre le 70e anniversaire de sa refondation. D’une part, il s’agit d’un conflit causé par le refus du monde islamique ou/et arabe de l’Etat Juif, et d’autre part, le conflit en Syrie intéresse davantage les médias, indifférents à celui au Yémen. Et quand les médias couvrent les violences gazaouies près de la barrière de sécurité anti-terroriste érigée par Israël, ils omettent souvent d’informer sur les buts du Hamas, de signaler le drapeau orné de la croix gammée et ajouté aux drapeaux palestiniens par les Gazaouis, ou la catastrophe écologique commise par les Gazaouis enflammant des milliers de pneus pour créer un écran de fumée opaque et empêcher les Israéliens de distinguer les terroristes tentant de s’infiltrer en Israël. Comme le souligne si souvent le Président de la République Emmanuel Macron, fervent promoteur de la défense de l’environnement et étrangement silencieux : « Il n’y a pas de planète B ».
Seul, le COGAT (Coordination of Government Activities in the Territories), organisme gouvernemental israélien, s’est indigné de cette « Intifada des pneus » : « Il s’agit d’un grave problème environnemental qui nuira à la santé des résidents et causera une pollution atmosphérique sans précédent », a écrit le général de division Yoav Mordechai, chef du coordonnateur des activités gouvernementales dans les territoires, au directeur général de l’OMS, Tedros Adhanom. Et d’ajouter ; « Je vous demande, en tant que chef d’une organisation internationale dont l’objectif est de promouvoir la santé et de protéger les ressources naturelles et environnementales, de faire tout ce qui est en votre pouvoir pour mettre en garde publiquement contre cette catastrophe écologique et pour protester contre le comportement irresponsable du Hamas ».
Les « manifestations pacifiques de fin mars à la frontière avec Gaza semblent ouvrir la voie à de nouvelles hostilités ». Des « manifestations pacifiques » où l’on envoie en Israël des cerfs-volants armés d’explosifs et arborant la croix gammée, et où l’on tente de pénétrer de force dans l’Etat d’Israël pour y assassiner sa population ? C’est une opération belliciste où le Hamas met en avant lâchement des femmes et des enfants. Et c’est aussi un lieu de tournage pour Pallywood diffusé – candidement ? Cyniquement ? - par des médias occidentaux.
« ARTE Regards » se rend « des deux côtés de la clôture de sécurité pour savoir à quoi ressemble le quotidien des habitants ». Oui, une barrière de sécurité pour protéger les Israéliens des terroristes palestiniens gazaouis.
À Gaza, « rencontre avec l’un des organisateurs des manifestations et une reporter palestinienne ». Aucun journaliste ne peut s’exprimer librement sous la férule du Hamas. Cet « organisateur » est-il lui aussi, comme les « manifestants » tués par Tsahal un terroriste islamiste ?
Côté israélien, « ARTE Regards » s’invite « chez la famille Cherry, dans le kibboutz Nahal Oz, situé à proximité immédiate de la frontière ».
« Que pensent les civils israéliens de leurs semblables palestiniens, et inversement ? » Quid des civils égyptiens ? La bande de Gaza a aussi une frontière avec l'Egypte qui n'ouvre pas quotidiennement le poste de Rafah.
« S’agit-il vraiment d’un conflit insoluble ? » Cette question s’avère mal posée, donc la réponse ne présente aucun intérêt.
Ce reportage laisse les Gazaouis, dont une journaliste pour des médias russe et koweïtien, débiter la propagande palestinienne, sans rectifier.
Ce reportage laisse les Gazaouis, dont une journaliste pour des médias russe et koweïtien, débiter la propagande palestinienne, sans rectifier.
Allemagne, 2018, 31 min
Sur Arte le 8 mai 2018 à 13 h
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