
Magazine d'actualité internationale, « ARTE Reportage » propose « un rendez-vous de 52 minutes pour regarder le monde en face et comprendre les grands enjeux de la planète ».

À Gaza, Suleiman Baraka, « un astrophysicien connu dans le monde entier, qui travaille régulièrement pour la NASA et l’Observatoire de Paris, a un idéal : mettre la science au service de la paix. Son objectif : montrer aux enfants de Gaza que le ciel n’est pas seulement source de destruction et de mort. En les sensibilisant aux mystères de la Voie Lactée, il leur restitue leur part de rêve et d’infini ». Une manière indirecte, par sous-entendu, d’alléguer que l’aviation israélienne bombarderait des Gazaouis.
« C’est facile de prendre une arme pour se battre et mourir, ce n’est pas facile de décider de vivre. Je choisis de vivre », a déclaré Suleiman Baraka.
Gaza, « un petit territoire de 10 km de large sur 40 km de long où s’entassent 2 millions de personnes. Ici, près de 80% de la population dépend de l’aide humanitaire et le chômage des jeunes atteint les 60% ».
Et d'ajouter le 22 juillet 2016 : "En juillet 2016, il y a un écart de 1,15 million de personnes entre le nombre d'Arabes vivant selon PCBS (Palestinian Central Bureau of Statistics) en Judée et Samarie (2,9 million) et celui bien documenté (1,75 million)."

Dans « la cour du centre Al Quattah, un institut éducatif et culturel gazaoui, une centaines de silhouettes d’enfants, d’adolescents et d’adultes se pressent autour d’un télescope pour admirer le soleil. Une scène impensable à Gaza il y a encore quelques années ». Et pourquoi ?
Un « homme, passionné par le ciel et les étoiles a permis de faire changer les choses : Suleiman Baraka, astrophysicien nommé président de la chaire d’astronomie de l’Unesco. Après des mois de négociation, il a réussi à faire venir trois télescopes par valise diplomatique ». Pourquoi par la valise diplomatique ? Et via quel pays ?
Sa « détermination et sa force de conviction ont fait des émules. La Faculté des Sciences de Gaza a renforcé ses effectifs, un club d’astronomie amateur vient d’ouvrir ses portes et les élèves sont de plus en plus nombreux à s’intéresser à l’astrophysique. Une manière d’échapper au quotidien, de franchir symboliquement la frontière et de renouer avec l’espoir ». L’espoir de quoi ? De tuer des Yahoud (Juifs, en arabe) - mot utilisé pour désigner les Israéliens - par des attentats terroristes comme y invite le Hamas, l’enseignement dans les écoles de la bande de Gaza ? De détruire l’Etat d’Israël ? Quid de la corruption à Gaza ou à Ramallah ? Quid de la persécution des chrétiens dans ce territoire Judenrein ? Quid des distributions de sucreries à Gaza pour se réjouir de l'assassinat de Yaoud lors d'attentats terroristes palestiniens ?
Suleiman Baraka - un fils aurait été tué lors de bombardements israéliens. Pourquoi ces bombardements ? Mystère - loue la « capacité à pardonner [des Palestiniens] car nous sommes très forts… Vivre pour la Palestine est plus difficile que mourir pour la Palestine », affirme-t-il.
Ce documentaire omet d'informer sur les positions extrémistes de Suleiman Baraka. EuroPalestine diffuse la vidéo d'un rassemblement BDS (Boycott Divestissement Sanctions) contre Israël. A Paris, en octobre 2015, lors de ce rassemblement hostile à "l'occupation israélienne", avec moultes drapeaux palestiniens et une banderole où tout Israël est recouvert d'un symbole palestinien, Suleiman Baraka a déclaré : "Les crimes sans fin de l'occupant israélien contre le peuple palestinien et ses enfants innocents ne donneront jamais la paix et l'ordre à Israël". Bref, un rassemblement prônant un délit et un blood libel.
Sa « détermination et sa force de conviction ont fait des émules. La Faculté des Sciences de Gaza a renforcé ses effectifs, un club d’astronomie amateur vient d’ouvrir ses portes et les élèves sont de plus en plus nombreux à s’intéresser à l’astrophysique. Une manière d’échapper au quotidien, de franchir symboliquement la frontière et de renouer avec l’espoir ». L’espoir de quoi ? De tuer des Yahoud (Juifs, en arabe) - mot utilisé pour désigner les Israéliens - par des attentats terroristes comme y invite le Hamas, l’enseignement dans les écoles de la bande de Gaza ? De détruire l’Etat d’Israël ? Quid de la corruption à Gaza ou à Ramallah ? Quid de la persécution des chrétiens dans ce territoire Judenrein ? Quid des distributions de sucreries à Gaza pour se réjouir de l'assassinat de Yaoud lors d'attentats terroristes palestiniens ?
Suleiman Baraka - un fils aurait été tué lors de bombardements israéliens. Pourquoi ces bombardements ? Mystère - loue la « capacité à pardonner [des Palestiniens] car nous sommes très forts… Vivre pour la Palestine est plus difficile que mourir pour la Palestine », affirme-t-il.
Ce documentaire omet d'informer sur les positions extrémistes de Suleiman Baraka. EuroPalestine diffuse la vidéo d'un rassemblement BDS (Boycott Divestissement Sanctions) contre Israël. A Paris, en octobre 2015, lors de ce rassemblement hostile à "l'occupation israélienne", avec moultes drapeaux palestiniens et une banderole où tout Israël est recouvert d'un symbole palestinien, Suleiman Baraka a déclaré : "Les crimes sans fin de l'occupant israélien contre le peuple palestinien et ses enfants innocents ne donneront jamais la paix et l'ordre à Israël". Bref, un rassemblement prônant un délit et un blood libel.
A l'heure des massacres notamment en Syrie, au Yémen ou en République démocratique du Congo, cette obsession partiale d'Arte, chaîne publique franco-allemande, pour Gaza s'avère pathologique.
A l'instar de celle du Quai d'Orsay dont on peine à distinguer la cohérence de la ligne politique actuelle, si ce n'est un parti pris durable contre l'Etat juif.
A l'instar de celle du Quai d'Orsay dont on peine à distinguer la cohérence de la ligne politique actuelle, si ce n'est un parti pris durable contre l'Etat juif.
Tout comme la diplomatie française, Arte ne comprend pas qu'avec la menace du programme nucléaire militaire mené par le régime iranien des mollahs de nombreux pays Arabes ont quelque peu délaissé la "Cause palestinienne" pour solliciter l'aide d'Israël. Et la diplomatie américaine sous le mandat du Président Donald Trump a modifié la donne au Moyen-Orient.
Arte, ARTE GEIE / MEMENTO, France, 2016, 24 minutes
Sur Arte les 15 octobre à 18 h 35 et 17 octobre 2016 à 6 h 45, 16 mars 2019 à 18 h 35
Visuel : © THOMAS DANDOIS
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Les citations sont d'Arte. Cet article a été publié le 14 octobre 2016.
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