
1ère partie : Un paysage médiatique Juif français contrasté
2e partie : La réaction de Philippe Meyer, directeur d'Information Juive
3e partie : La réaction de Laurent Munnich, directeur d’Akadem
4e partie : La réaction de Virginie Guedj-Bellaïche, journaliste à Actualité juive hebdo et Osmose, magazine de l'OSE
5e partie : La réaction de Alain Granat, directeur de Jewpop
6e partie : La réaction de Michaël Blum, journaliste à Actualité juive hebdo et à l’AFP
8e partie : L'affaire al-Dura ? Une conspiration selon Jean Corcos et Rudy Reichstadt
9e partie : Laurent-David Samama, ancien rédacteur en chef de L’Arche
10e partie : Karen Taieb, journaliste médicale sur RCJ
11e partie : L'Arche, magazine du FSJU
Le 2 juin 2013, j’ai remercié sur Facebook Guy Senbel et Dominique Fitoussi, dirigeants de l’agence de presse Guysen International News.
11e partie : L'Arche, magazine du FSJU
Le 2 juin 2013, j’ai remercié sur Facebook Guy Senbel et Dominique Fitoussi, dirigeants de l’agence de presse Guysen International News.
Le 5 juin 2013, j’ai commenté un post sur Caroll Azoulay : « Je ne rends hommage ni à Caroll Azoulay ni à Meir Azoulay. Nous n'avons ni les mêmes visions et pratiques du journalisme, ni les mêmes valeurs ».
Caroll Azoulay n’a pas réagi, mais son époux Meir Azoulay l’a fait pour tous deux…
L’ours d’Actualité juive hebdo (ou Actu J) liste, à ce jour, Caroll Azoulay parmi ses quatre correspondants en Israël. Or, Caroll Azoulay a allégué sur ses profils Lindekin et Yatedo avoir cessé de collaborer à Actualité juive en 2010, s'y présente comme directrice de l'agence de communication French Projection. Elle a actualisé son profil pour indiquer sa fonction, jusqu’en juillet 2013, de rédactrice en chef du Petitjournal.com/TelAviv puis, depuis cette date, coordinatrice à la Chambre de commerce et d'industrie Israël-France (CCIIF) à Jérusalem.

Au printemps 2013, Caroll Azoulay a couvert pour Actu J la campagne électorale pour l’élection législative dans la 8e circonscription des Français de l'étranger qui inclut l’Etat d’Israël, tout en assurant, au sein de French Projection, la fonction de « conseillère en communication et en presse » (Communication and press advisor) de Valérie Hoffenberg, candidate UMP à cette élection.

Dans son n°1256 (30 mai 2013), Actu J a publié la longue interview par Caroll Azoualy de Claude Brightman, qui dirige le Collège académique de Netanya ayant remis, lors de cette campagne électorale, un « diplôme honoris causa » à Nicolas Sarkozy, ancien Président de la République. Claude Brightman a alors déclaré : « En octobre dernier, j'ai transmis cette invitation relayée par la vice-présidente des Amis français du campus francophone, Valérie Hoffenberg ». Or, cet article « oublie » d'indiquer que Claude Brightman soutient la candidate Valérie Hoffenberg et est une des responsables de sa campagne électorale en 2013.
Dans son n°1258 (13 juin 2013), Actu J a publié l'article Meyer Habib élu député signé par Caroll Azoulay. Quel dommage que ces informations intéressantes sur la campagne électorale de ce député UDI (Union des démocrates et indépendants) aient été portées à la connaissance des lecteurs de cet hebdomadaire... après son élection !
Sur quel(s) critère(s) Actu J a-t-elle choisi la seule Caroll Azoulay pour couvrir ces deux évènements liés à Valérie Hoffenberg ? N'y-a-t-il pas là un grave conflit d'intérêts pour la journaliste/« conseillère en communication et en presse » de cette candidate ? Actu J en était-elle informée ? En tout cas, les lecteurs ne l'ont pas été, et ont trouvé des informations cruciales ailleurs, dans des sites Internet - JSS News, Dreuz.info, etc. - ou blogs tel que le mien. Ne serait-il pas temps qu'Actu J informe ses lecteurs sur la double/triple fonction de Caroll Azoulay et veille avec plus de rigueur au respect de la déontologie journalistique, gage de crédibilité ?
Les 12 et 14 juin 2013, Michel/Meir Azoulay a écrit sur Facebook : « Permettez-moi au passage de répondre à Mme Chemla que je n'ai jamais vu mais dont j'ai beaucoup entendu parler : Je doute que vous ayez ne serait-ce qu'une vision de ce qu'est le journalisme. Quant à nos valeurs respectives, permettez moi de garder les miennes qui, D. merci, semblent vraiment éloignées des vôtres…
Je n'ai JAMAIS assuré les relations publiques de Mme Hoffenberg. Ce travail a été effectué par mon épouse dans le cadre d'une mission précise. Mais si tel avais été le cas, je n'en n'aurais pas eu honte car je respecte cette femme politique et ses convictions.
On va arrêter la polémique ici parce que, pour tout vous dire cela me saoule ».

Caroll Azoulay assure cette fonction de « conseillère en communication et en presse » pour French Projection qu’elle codirige. Pourquoi tous deux n’en informez-vous pas les lecteurs d’Actu J ?
Qui au sein de votre société a confié la « mission précise » à Caroll Azoulay d’assurer les relations publiques de la candidate Valérie Hoffenberg en 2013 ?

Votre épouse et vous multipliez les conflits d’intérêts : communication ou journalisme, vous n’avez pas choisi. Et vous n’en informez pas les lecteurs des médias auxquels vous collaborez. Pourquoi ?
Valérie Hoffenberg a toléré en 2010 une carte de la « Palestine » englobant l’Etat d’Israël. Qu’en pensez-vous ?
Quant au terme « saoul », je vous le laisse. Ce n’est pas mon style ».
Ainsi, dans son n°1261 du 4 juillet 2013, Actu J a publié, dans la rubrique Immobilier et sur une demi-page, Berggruen Residential : le nec plus ultra jamais encore construit en Israël. Signé par Caroll Azoulay, cet article vante un projet immobilier « exceptionnel » luxueux à Tel-Aviv.
Emplacement, superficie et prix de vente du penthouse, piscines, espaces verts... Rien ne manque pour les acheteurs potentiels, excusez-moi, pour les lecteurs.
On a l'impression de lire un publi-reportage ou du rédactionnel (publicité payée par l'annonceur et présentée comme un article), mais qui ne serait pas indiqué comme tel aux lecteurs. Si ce projet est quasi-historique, pourquoi Caroll Azoulay ne lui a-t-elle pas consacré un article dans le Petitjournal.com/TelAviv qu'elle dirigeait alors ?
Qui a écrit cet article : la correspondante d'Actu J ou la directrice de French Projection, agence israélienne de communication qui « donne accès au monde francophone », assure les « relations presse (francophone, israélienne, anglophone, russophone »), etc. ?
Une lecture plus attentive de l'édition à Tel Aviv du Petitjournal.com montre qu'il ne s'agit pas d'un journal : « Le contenu et l'activité commerciale de l’édition Tel Aviv sont gérés par la société de droit israélien French Projection ». Les articles de Caroll Azoulay pour Actu J relèvent-ils de la même logique ? Et avec l’accord de cet hebdomadaire ? Au vu de ces articles problématiques, ces questions se posent.

Dans son n°1273 du 24 octobre 2013, Actu J a publié une interview d'Edouard Cukierman - une pleine page - sur la 11e édition de Go4 Europe organisée par la banque d'affaires Cukierman Investment House et Catalyst Ltd Fonds. Un "évènement désormais incontournable dans le monde des affaires créé par un brillant homme d'affaires franco-israélien". Un article signé par… Caroll Azoulay, qui oublie cependant de signaler qu'Edouard Cukierman est aussi membre du Board de la CCIIF, et que celle-ci est l'un des partenaires de Go4 Europe. Quand on vous disait que le monde était petit...
En 2014, l'ours de cet hebdomadaire liste Caroll Azoulay comme contact en Israël pour les publicités dans sa version imprimée et sur son site Internet. Eclairant.
Un lecteur avisé trouvera rapidement les réponses à ces questions problématiques et relevant de la déontologie des journalistes.

1) Son prénom évolutif.
Michel/Meir Azoulay revendique « le droit d'utiliser le pseudo ou le nom que je souhaite sans avoir à en référer à personne. Ce sont mes deux prénoms, l'un hébraïque l'autre français ».
Ma réponse : « Quand vous collaboriez à l’agence de presse fondée par un Français Juif, vous signiez Meir, et quand vous collaborez à un média fondé par un Français chrétien vous vous présentez comme Michel . Pourquoi ? »
2) Le comportement du couple Azoulay à mon égard lors de notre collaboration à Guysen.
Selon Michel/Meir Azoulay, ses « passages à Paris avaient un objectif précis et je vous rappelle les propos que vous teniez sur moi à l'époque à M. Senbel qui ne me poussaient pas à souhaiter vous rencontrer ».
Ma réponse : « Il ne tenait qu'à vous de me contacter lors de vos passages à Paris. Entre collègues au sein d'une équipe rédactionnelle, cela se fait. Ni vous ni votre épouse ne l'avez fait ». L’un de vos premiers articles sur Guysen concernait l’élection du grand rabbin de Paris. Pourquoi ? Guysen n’était pas un site communautaire, votre article était truffé d’erreurs (confusion de noms de grands rabbins, etc.), et la France relevait de mon domaine de compétence en tant que correspondante de Guysen dans l’hexagone. Caroll Azoulay n’a jamais traité dans « Actualité juive » un sujet localisé en France, mais elle l’a fait pour Guysen ? Pourquoi ?
Pourquoi votre épouse et vous n’avez-vous jamais daigné m’en prévenir ou en parler avec moi ? Pour prouver à Guysen que je n’assurais pas bien ma fonction et que vous deviez pallier ma prétendue carence ? Pour vous constituer un carnet d’adresses à mon détriment ?
Caroll et Meir Azoulay ont continument empiété sur « mon pré carré » en jouant « perso ». Et ce, au détriment d’évènements majeurs israéliens qu’ils n’ont pas couverts - trucages des statistiques démographiques par l’Autorité palestinienne, volet israélien de l’affaire al-Dura, etc. – et de l’amélioration de la formation des rédacteurs du fil des news, « must » de Guysen.
Alors que j’avais tant espéré du recrutement de journalistes professionnels en 2005, j’ai déchanté rapidement et durablement ».
Selon Michel/Meir Azoulay, ses « passages à Paris avaient un objectif précis et je vous rappelle les propos que vous teniez sur moi à l'époque à M. Senbel qui ne me poussaient pas à souhaiter vous rencontrer ».
Ma réponse : « Il ne tenait qu'à vous de me contacter lors de vos passages à Paris. Entre collègues au sein d'une équipe rédactionnelle, cela se fait. Ni vous ni votre épouse ne l'avez fait ». L’un de vos premiers articles sur Guysen concernait l’élection du grand rabbin de Paris. Pourquoi ? Guysen n’était pas un site communautaire, votre article était truffé d’erreurs (confusion de noms de grands rabbins, etc.), et la France relevait de mon domaine de compétence en tant que correspondante de Guysen dans l’hexagone. Caroll Azoulay n’a jamais traité dans « Actualité juive » un sujet localisé en France, mais elle l’a fait pour Guysen ? Pourquoi ?
Pourquoi votre épouse et vous n’avez-vous jamais daigné m’en prévenir ou en parler avec moi ? Pour prouver à Guysen que je n’assurais pas bien ma fonction et que vous deviez pallier ma prétendue carence ? Pour vous constituer un carnet d’adresses à mon détriment ?
Caroll et Meir Azoulay ont continument empiété sur « mon pré carré » en jouant « perso ». Et ce, au détriment d’évènements majeurs israéliens qu’ils n’ont pas couverts - trucages des statistiques démographiques par l’Autorité palestinienne, volet israélien de l’affaire al-Dura, etc. – et de l’amélioration de la formation des rédacteurs du fil des news, « must » de Guysen.
Alors que j’avais tant espéré du recrutement de journalistes professionnels en 2005, j’ai déchanté rapidement et durablement ».
3) Libération a épinglé Meir Azoulay en 2006
Michel/Meir Azoulay a écrit : « Je n'ai pas été "épinglé" par Libération mais cité. Et quand bien même ? »
Ma réponse : « En 2006, « Libération » vous a interrogé sur une allégation dans votre article sur la mort d’Ilan Halimi, et vous n’avez pas su argumenter. Pourquoi ? Vous vous êtes fait épingler par "Libération" pour n'avoir pas étayé votre allégation.
Dans le journalisme, soit on est sûr d’un fait recoupé, on affirme et on peut prouver ses dires, soit on ne sait pas, on n’a pas recoupé le fait et dans ce cas on n’affirme pas. Un journaliste est membre d’une rédaction. Son erreur ou sa faute ternit l’image du journal auquel il collabore. Guysen était épié, et n’avait nul droit à l’erreur. Certains espéraient même sa disparition.
De plus, un journal est régi par un esprit d’entreprise et par un esprit d’équipe. Votre « quand bien même » révèle que vous n’aviez ni l’un ni l’autre ».
Michel/Meir Azoulay a écrit : « Je n'ai pas été "épinglé" par Libération mais cité. Et quand bien même ? »
Ma réponse : « En 2006, « Libération » vous a interrogé sur une allégation dans votre article sur la mort d’Ilan Halimi, et vous n’avez pas su argumenter. Pourquoi ? Vous vous êtes fait épingler par "Libération" pour n'avoir pas étayé votre allégation.
Dans le journalisme, soit on est sûr d’un fait recoupé, on affirme et on peut prouver ses dires, soit on ne sait pas, on n’a pas recoupé le fait et dans ce cas on n’affirme pas. Un journaliste est membre d’une rédaction. Son erreur ou sa faute ternit l’image du journal auquel il collabore. Guysen était épié, et n’avait nul droit à l’erreur. Certains espéraient même sa disparition.
De plus, un journal est régi par un esprit d’entreprise et par un esprit d’équipe. Votre « quand bien même » révèle que vous n’aviez ni l’un ni l’autre ».
4) Le refus de traduction en anglais de mes articles et des éditoriaux signés par Guy Senbel, seul ou avec ma collaboration.
J’ai rappelé : « En pleine guerre contre le Hezbollah (été 2006) et jusqu'à mon départ en octobre 2006, malgré mes nombreuses demandes, les éditoriaux écrits par Guy Senbel, rédacteur en chef de Guysen, et moi n'ont été ni traduits en anglais ni publiés dans le Mailhebdo anglophone de Guysen ; par contre les traductions en anglais des articles de votre épouse et de vous l'ont été TRES souvent.
Michel/Meir Azoulay a écrit : « Je n'étais en aucun cas responsable du contenu Web. Veuillez vous adresser à la personne concernée à savoir M. Senbel. Je vous rappelle qu'à cette époque, je passais le plus clair de mon temps à effectuer les développement demandés par M. Senbel et je ne gérais pas complètement la rédaction ».
Ma réponse : « Je me suis adressée à Dominique Fitoussi et à Guy Senbel, tous deux DEBORDES. A qui voulez-vous faire croire que Guy Senbel, rédacteur en chef, aurait été assez fou pour faire traduire en anglais les seuls textes du couple Azoulay et de rédacteurs non journalistes, et non ses éditoriaux, cosignés ou non par moi, ou/et mes articles, dont une interview de Brigitte Bardot ?
Dois-je vous rappeler l’article en anglais publié en octobre 2006 sur Guysen et qui conjurait à trahir l’alliance entre Israël et les Etats-Unis, encourageait à la lâcheté, en contradiction totale avec les valeurs de Guysen ? Je l’ai supprimé du site dès que je l’ai repéré. Dans les heures qui ont suivi, il a été republié. J’ai alerté Guy Senbel qui l’a fait enlever immédiatement et définitivement. Cet article aurait pu couler Guysen, et n’a pas ensuite été publié par un autre média. Pourquoi a-t-il été publié sur Guysen, et à deux reprises ?
Lasse d’éteindre des feux allumés par des pompiers pyromanes, refusant que mes articles soient interdits de traduction en anglais, mes news en français interdites de traduction et de publication sur les newsletters, blessée par des actes humiliants, vexatoires et douloureux, j’ai alors quitté Guysen dont j’étais un des piliers historiques depuis juin 2002 et dans lequel je fondais des espoirs professionnels importants ».
J’ai rappelé : « En pleine guerre contre le Hezbollah (été 2006) et jusqu'à mon départ en octobre 2006, malgré mes nombreuses demandes, les éditoriaux écrits par Guy Senbel, rédacteur en chef de Guysen, et moi n'ont été ni traduits en anglais ni publiés dans le Mailhebdo anglophone de Guysen ; par contre les traductions en anglais des articles de votre épouse et de vous l'ont été TRES souvent.
Michel/Meir Azoulay a écrit : « Je n'étais en aucun cas responsable du contenu Web. Veuillez vous adresser à la personne concernée à savoir M. Senbel. Je vous rappelle qu'à cette époque, je passais le plus clair de mon temps à effectuer les développement demandés par M. Senbel et je ne gérais pas complètement la rédaction ».
Ma réponse : « Je me suis adressée à Dominique Fitoussi et à Guy Senbel, tous deux DEBORDES. A qui voulez-vous faire croire que Guy Senbel, rédacteur en chef, aurait été assez fou pour faire traduire en anglais les seuls textes du couple Azoulay et de rédacteurs non journalistes, et non ses éditoriaux, cosignés ou non par moi, ou/et mes articles, dont une interview de Brigitte Bardot ?
Dois-je vous rappeler l’article en anglais publié en octobre 2006 sur Guysen et qui conjurait à trahir l’alliance entre Israël et les Etats-Unis, encourageait à la lâcheté, en contradiction totale avec les valeurs de Guysen ? Je l’ai supprimé du site dès que je l’ai repéré. Dans les heures qui ont suivi, il a été republié. J’ai alerté Guy Senbel qui l’a fait enlever immédiatement et définitivement. Cet article aurait pu couler Guysen, et n’a pas ensuite été publié par un autre média. Pourquoi a-t-il été publié sur Guysen, et à deux reprises ?
Lasse d’éteindre des feux allumés par des pompiers pyromanes, refusant que mes articles soient interdits de traduction en anglais, mes news en français interdites de traduction et de publication sur les newsletters, blessée par des actes humiliants, vexatoires et douloureux, j’ai alors quitté Guysen dont j’étais un des piliers historiques depuis juin 2002 et dans lequel je fondais des espoirs professionnels importants ».

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Publié le 17 septembre 2013, cet article a été actualisé le 29 octobre 2014.
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