Claude Lévi-Strauss (1908-2009) est né à Bruxelles dans une famille Juive de rabbins et d’artistes alsaciens
depuis deux siècles et demi, Cet anthropologue mélomane a révolutionné l’ethnologie et les sciences sociales, et a co-fondé le
structuralisme. Le 9 janvier 2019, Arte diffusera Le siècle de Lévi-Strauss, documentaire de Pierre Assouline.
« Je hais les voyages et les explorateurs ». Ainsi débute Tristes
Tropiques - l'auteur avait songé à ce titre dans sa jeunesse - , le livre le plus connu de Claude Lévi-Strauss publié en 1955. Dans
ce livre rédigé en quatre mois, il écrit aussi : « ll m’a fallu rencontrer l’Islam pour
mesurer le péril qui menace aujourd’hui la pensée française. Je pardonne mal au
premier de me présenter notre image, de m’obliger à constater combien la France
est en train de devenir musulmane. Chez les musulmans comme chez nous,
j’observe la même attitude livresque, le même esprit utopique, et cette
conviction obstinée qu’il suffit de trancher les problèmes sur le papier pour
en être débarrassé aussitôt ».
Arte avait diffusé « Claude Lévi-Strauss, pensée de notre temps » par Pierre Beuchot. Le portrait « d'un des plus grands penseurs du XXe siècle » à partir d’extraits de l’interview réalisée par Jean-José Marchand en 1972.
Puisant dans un entretien dirigé en 1972 par Jean José Marchand dans le grand jardin de la propriété de l’ethnologue en Côte d'or, Pierre Beuchot a présenté l’itinéraire et la pensée de Claude Lévi-Strauss.
Puisant dans un entretien dirigé en 1972 par Jean José Marchand dans le grand jardin de la propriété de l’ethnologue en Côte d'or, Pierre Beuchot a présenté l’itinéraire et la pensée de Claude Lévi-Strauss.
Entouré de cette Nature qui lui était si chère – dès 1976,
il prône les droits de la nature et des espèces vivantes -, Claude Lévi-Strauss se
plonge dans sa jeunesse à Paris – pendant la Première Guerre mondiale, son père
est mobilisé, et la famille s’installe chez le grand-père maternel, rabbin de
Versailles et arrière-petit-fils d'Isaac Strauss, chef d'orchestre à la cour
sous Louis-Philippe, puis sous Napoléon III -, sa curiosité intellectuelle, ses études au lycée
Janson-de-Sailly, puis celles de droit et de philosophie - marquées par un « certain goût
pour les idées » et très influencées par le socialisme – couronnées par l’agrégation
de philosophie (1931). Le Dr Nathan l'introduit à l'oeuvre de Freud. Parmi une centaine de tableaux exposés en 2010 dans l'exposition éponyme Les enfants modèles de Claude Renoir à Pierre Arditi. Tableaux et sculptures sont confrontés, citons le portrait de Claude Lévi-Strauss sur un cheval mécanique (1912) par son père Raymond Lévi-Strauss.
.
La politique passionne Claude Lévi-Strauss. Un accident de voiture avec Pierre Dreyfus, futur PDG de Renault,
met fin à sa candidature socialiste aux élections cantonales en 1932. Année
où il épouse Dina Dreyfus qui l’accompagne dans ses missions auprès des
Amérindiens. Le couple se sépare en 1939.
En 1933, Claude Lévi-Strauss découvre l’ethnologie par ses
lectures de Robert Lowie. Par l’entremise de Paul Nizan, il fait la
connaissance de Marcel Mauss, expert en ethnographie, "porte de sortie possible pour un agrégé de philosophie".
Lors d’une mission universitaire en 1934-1935, cet intellectuel sportif se rend
au Brésil pour enseigner dans les universités de Rio de Janeiro et de Sao Paulo,
où il rencontre Fernand Braudel. De 1936 à 1938, il fait « son
apprentissage en autodidacte de l'ethnologie au Brésil », où il analyse les
sociétés primitives et complexes d'Amazonie et le Mato Grosso : les peuples Caduveo (1935),
Bororo, Nambikwara et Tupi-Kawahib (1938). Il recherche des "peuples encore plus intrinsèquement sauvages". Il cherche à comprendre et déterminer une "société humaine minimale". Puis à New York. A Paris, est organisée une
exposition de ses premières études. Puis ce sont « ses premières
intuitions structuralistes", ses recherches sur l'inceste - "Ce qui est important, est qu'il existe une contrainte... Les familles biologiques s'unissent entre elles et constituent une société" - et les mythes… "Comme la science, les mythes cherchent à expliquer, mais ils cherchent à expliquer tout à la fois... Une histoire devient un mythe à force d'être entendue, répétée". L'occasion de "saisir la pensée inconsciente".
Le couple se sépare en 1939, année de la mobilisation de Claude Lévi-Strauss. Celui-ci est envoyé à la ligne Maginot. Il pense alors aux "lois d'organisation" d'où naitra son structuralisme.
Sous l’Occupation, les lois antisémites portant statut des
Juifs induisent la révocation de Claude Lévi-Strauss de l’Education nationale.
Claude Lévi-Strauss se réfugie en 1941 aux Etats-Unis, où
il enseigne l’ethnologie à la New School for Social Research de New York, rencontre
des surréalistes – André Breton, Max Ernst, Marcel Duchamp - et le linguiste
russo-américain et maître de linguistique structurale Roman Jakobson. En 1942, il rejoint les rangs de la France Libre,
comme speaker à l’Office of War Information.
Une pensée fascinante à l'œuvre
Nommé conseiller culturel à l’ambassade de France, Claude
Lévi-Strauss retourne à Paris en 1947. Sous-directeur
du musée de l’Homme, il se lie avec Georges Dumézil, Michel Leiris, Jacques
Lacan.
Suivent ses premières publications - Les Structures
élémentaires de la parenté, sa
thèse soutenue à la Sorbonne (1949).
Dès 1949, Claude Lévi-Strauss est chargé de missions en
Inde et au Pakistan par l’UNESCO (Organisation des Nations unies pour l’Education,
la Science et la Culture). Il participe aux travaux de la commission
internationale de savants chargés de rédiger la première déclaration de
l’UNESCO sur la race, publiée en 1950.
De deux conférences au siège de l’UNESCO, naissent Race et histoire (1952) - « S'il n'existe pas des aptitudes raciales innées, comment expliquer que la civilisation développée par l'homme blanc ait fait des immenses progrès que l'on sait, tandis que celles des peuples de couleur son restées en arrière, les unes à mi-chemin, les autres frappées d'un retard qui se chiffre par milliers ou dizaines de milliers d'années ? »
- et Race et culture (1971).
Nommé en 1950 à l’Ecole pratique des hautes études, élu au
Collège de France en 1959, auteur de Anthropologie
structurale (1958), Le Totémisme aujourd'hui et La Pensée sauvage (1962)
et des quatre volumes des Mythologiques (1964-1971), Claude Lévi-Strauss a révolutionné l'ethnologie.
Face à des modèles sociaux si variés, il s’attèle à « dégager
une unité de structure anthropologique afin de mieux comprendre les mécanismes
– souvent inconscients – qui sont en jeu dans les relations humaines. Une
méthode inspirée de la linguistique, appelée "structuralisme", qui
rayonnera ensuite dans tous les domaines de la connaissance ». Un
structuralisme inspiré des mathématiques et dont il fut pionnier avec le
linguiste Emile Benveniste et le comparatiste Georges Dumézil. Un mouvement
intellectuel visant à dégager des constantes parmi les diverses tribus
amérindiennes observées. La question de leur universalité dans le temps et l’espace
semble irrésolue par ce structuraliste.
Lévi-Strauss « en a eu l'intuition durant la Seconde
Guerre mondiale quand, mobilisé sur la ligne Maginot, il contemplait les lois
d'organisation des fleurs… »
Puis, il s’intéresse à des tribus d'Amérique dont il
analyse les modes de vie. Il dédie « dix ans de sa vie à l'étude de leurs
mythes, dont il a dégagé les grands principes. Son objectif : la quête de
vérité, bien sûr, mais aussi le secret espoir de définir le sentiment du beau
que lui inspiraient leurs récits… »
Son « cheval de bataille : défendre la méthode
structuraliste, accusée d'abolir la personne humaine. Une critique qui
l'inquiète beaucoup moins que la destruction progressive de la nature et le
développement intensif des moyens de communication qui, selon lui, empêche la
maturation de la pensée ».
Ses travaux lui valent une célébrité mondiale, l’élection
en 1973 à l’Académie française et en 1995 la présidence d'honneur de la
commission chargée d’élaborer le projet d'un musée des arts primitifs inauguré
en 2006.
Opposé au marxisme, il est critiqué par Emmanuel Levinas, Paul
Ricoeur, Umberto Eco, Alberto Moravia, Claude Lévi-Strauss.
Le 1er octobre 2015, le Musée d'art et d'histoire du Judaïsme (MAHJ) une rencontre sur Claude Lévi-Strauss, "à l’occasion de la publication de la biographie Claude Lévi-Strauss (Flammarion, collection « Grandes biographies », 2015) et du volume de lettres inédites de l’anthropologue à ses parents, Chers tous deux (Seuil, collection « La Librairie du XXIe siècle », 2015). Y participent Emmanuelle Loyer, auteur de la biographie,Monique Lévi-Strauss, épouse de Claude Lévi-Strauss, auteur d’Une enfance dans la gueule du loup (Seuil, 2014), Daniel Fabre, anthropologue, directeur d’études à l’EHESS. La table-ronde est modérée par Emmanuel Laurentin, producteur de La Fabrique de l’Histoire sur France Culture. "Claude Lévi-Strauss (1908-2009) a exercé une influence décisive sur les sciences humaines, devenant notamment l’une des figures fondatrices du structuralisme. Il a occupé la chaire d’anthropologie sociale au Collège de France de 1959 à 1982. Membre de l’Académie française à partir de 1973, il est l’auteur d’une œuvre scientifique majeure, avec notamment Tristes tropiques, Le Totémisme aujourd’hui, La Pensée sauvage ou Mythologiques. Cette rencontre mettra en lumière les grandes périodes de sa vie, traversant l’histoire intellectuelle du XXe siècle. Elle interrogera aussi son identité juive et sa relation à l’art : son père était l’artiste peintre Raymond Lévi ; son grand-père maternel, le rabbin de la synagogue de Versailles. Claude Lévi-Strauss est aussi l’arrière-petit-fils d’Isaac Strauss, compositeur et chef d’orchestre, collectionneur, entre autres, d’objets liturgiques et de manuscrits hébraïques. Sa collection constitue l’un des fonds majeurs du Musée d’art et d’histoire du Judaïsme".
Le siècle de Lévi-Strauss est un documentaire de Pierre Assouline (2015, 53 min). "Claude Lévi-Strauss raconté par lui-même : au fil d'un montage éclairant d'entretiens avec l'anthropologue et d'archives des grands événements du XXe siècle, Pierre Assouline dessine le portrait du père du structuralisme en homme libre".
" Je suis devenu ethnologue pour des raisons impures. C'était une voie de traverse qui permettait de courir le monde, de s'aérer", raconte Claude Lévi-Strauss (1908-2009), évoquant, en ouverture du film, ses débuts comme professeur invité à l'université de São Paulo, en 1935, alors que la discipline est encore balbutiante. Mû par le désir de s'évader d'Europe et de l'enseignement de la philosophie, il repousse les frontières intellectuelles au contact des peuples indigènes qu'il visite 13 dès ses premières vacances, dans l'État amazonien du Mato Grosso. Il y structure une pensée nouvelle, s'appuyant sur des connaissances élargies, "où rien d'humain ne reste étranger [...] même les sociétés les plus lointaines et qui nous paraissent les plus humbles et les plus misérables".
Se rêvant compositeur, Claude Lévi-Strauss conçoit son oeuvre maîtresse Tristes Tropiques (1955) à la manière d'un opéra dans lequel il retisse ensemble ce que les sociétés occidentales ont dispersé : "cette alliance primitive entre le poétique et le rationnel". Au fil d'un montage éclairant d'entretiens avec Claude Lévi-Strauss, de films et de photographies issus de sa collection privée, d'archives des grands événements du XXe siècle, Pierre Assouline dessine le portrait du père du structuralisme en homme libre, sans appartenance à une université, un parti politique 13 à l'exception d'une brève incursion à la SFIO 13 ou une religion. À la fin de sa vie, face à la disparition des sociétés primitives, il s'inquiète : "Tout ce que j'aime est en train d'être détruit." Le grand penseur donnera un nom à ce mal : "la monoculture universelle".
Galerie HEGOA
Dans le cadre du Mois de la photo du Grand Paris, la galerie HEGOA présenta l'exposition du photographe Pierre de Vallombreuse "Hommage à Claude Lévi-Strauss". Vernissage le 30 mars 2017 dès 18 h 30 en présence de l'artiste et de Madame Lévi-Strauss.
"A travers une sélection d’images rassemblées spécialement à l’occasion du Mois de la Photo du Grand Paris, Pierre de Vallombreuse défend la fragile diversité des peuples autochtones. Un hommage à Claude Lévi-Strauss dont la lecture du livre « Tristes Tropiques » éclaire depuis toujours la trajectoire du photographe".
"A travers ses photographies, Pierre de Vallombreuse nous fait découvrir les réalités complexes et alarmantes de ces peuples. Loin des rêves d’exotisme surannés, il se bat pour le respect et la juste représentation de ces populations fragilisées, dont l’héritage nous est vital".
Ces peuples "sont trop souvent les premières victimes de génocides, guerres, idéologies, prédations économiques, pénurie alimentaire, désastres écologiques, autant de questions cruciales qui, loin d’être locales, concernent notre humanité".
Cette "exposition était sa première qui au travers de 25 œuvres tentera de symboliser leurs situations. De peuple vivant plus ou moins en paix, en passant par « l’intégration désintégrante » dont parle Edgar Morin, jusqu’aux guerres et génocides". Elle sera l’occasion de rendre hommage à Claude Lévi-Strauss, dont la lecture du livre « Tristes Tropiques » éclaire depuis longtemps la trajectoire de Pierre de Vallombreuse. Cette exposition est un cri d’alarme pour défendre ces humanités en danger, qui loin d’être « autres » sont aussi la nôtre".
Le 22 avril 2017 à 16 h, André Delpuech, conservateur général du Patrimoine au Musée du Quai Branly, donna une conférence au Bistrot de Paris, 333 rue de Lille Paris 75007. Il convient de confirmer impérativement sa présence aux événements à contact@galeriehegoa.com
« Il n'est nullement coupable de placer une manière de vivre et de penser au-dessus de toutes les autres, et d'éprouver peu d'attirance envers tel ou tel genre de vie, respectable en lui-même, mais qui s'éloigne par trop de celui auquel on est traditionnellement attaché » (Le regard éloigné, 1983)
“Le savant n'est pas l'homme qui fournit les vraies réponses, c'est celui qui pose les vraies questions.”
“Le barbare, c'est d'abord celui qui croit à la barbarie.”
Le siècle de Lévi-Strauss est un documentaire de Pierre Assouline (2015, 53 min). "Claude Lévi-Strauss raconté par lui-même : au fil d'un montage éclairant d'entretiens avec l'anthropologue et d'archives des grands événements du XXe siècle, Pierre Assouline dessine le portrait du père du structuralisme en homme libre".
" Je suis devenu ethnologue pour des raisons impures. C'était une voie de traverse qui permettait de courir le monde, de s'aérer", raconte Claude Lévi-Strauss (1908-2009), évoquant, en ouverture du film, ses débuts comme professeur invité à l'université de São Paulo, en 1935, alors que la discipline est encore balbutiante. Mû par le désir de s'évader d'Europe et de l'enseignement de la philosophie, il repousse les frontières intellectuelles au contact des peuples indigènes qu'il visite 13 dès ses premières vacances, dans l'État amazonien du Mato Grosso. Il y structure une pensée nouvelle, s'appuyant sur des connaissances élargies, "où rien d'humain ne reste étranger [...] même les sociétés les plus lointaines et qui nous paraissent les plus humbles et les plus misérables".
Se rêvant compositeur, Claude Lévi-Strauss conçoit son oeuvre maîtresse Tristes Tropiques (1955) à la manière d'un opéra dans lequel il retisse ensemble ce que les sociétés occidentales ont dispersé : "cette alliance primitive entre le poétique et le rationnel". Au fil d'un montage éclairant d'entretiens avec Claude Lévi-Strauss, de films et de photographies issus de sa collection privée, d'archives des grands événements du XXe siècle, Pierre Assouline dessine le portrait du père du structuralisme en homme libre, sans appartenance à une université, un parti politique 13 à l'exception d'une brève incursion à la SFIO 13 ou une religion. À la fin de sa vie, face à la disparition des sociétés primitives, il s'inquiète : "Tout ce que j'aime est en train d'être détruit." Le grand penseur donnera un nom à ce mal : "la monoculture universelle".
Galerie HEGOA
Dans le cadre du Mois de la photo du Grand Paris, la galerie HEGOA présenta l'exposition du photographe Pierre de Vallombreuse "Hommage à Claude Lévi-Strauss". Vernissage le 30 mars 2017 dès 18 h 30 en présence de l'artiste et de Madame Lévi-Strauss.
"A travers une sélection d’images rassemblées spécialement à l’occasion du Mois de la Photo du Grand Paris, Pierre de Vallombreuse défend la fragile diversité des peuples autochtones. Un hommage à Claude Lévi-Strauss dont la lecture du livre « Tristes Tropiques » éclaire depuis toujours la trajectoire du photographe".
"Depuis trente ans Pierre de Vallombreuse témoigne inlassablement de la vie des Peuples autochtones dans le monde. Il a constitué un fonds photographique unique sur 42 peuples rendant ainsi hommage à la précieuse diversité du monde. Chaque peuple souligne la multiplicité des réponses aux conditions de vie imposées par la nature et l’histoire".
Ces peuples "sont trop souvent les premières victimes de génocides, guerres, idéologies, prédations économiques, pénurie alimentaire, désastres écologiques, autant de questions cruciales qui, loin d’être locales, concernent notre humanité".
Cette "exposition était sa première qui au travers de 25 œuvres tentera de symboliser leurs situations. De peuple vivant plus ou moins en paix, en passant par « l’intégration désintégrante » dont parle Edgar Morin, jusqu’aux guerres et génocides". Elle sera l’occasion de rendre hommage à Claude Lévi-Strauss, dont la lecture du livre « Tristes Tropiques » éclaire depuis longtemps la trajectoire de Pierre de Vallombreuse. Cette exposition est un cri d’alarme pour défendre ces humanités en danger, qui loin d’être « autres » sont aussi la nôtre".
Le 22 avril 2017 à 16 h, André Delpuech, conservateur général du Patrimoine au Musée du Quai Branly, donna une conférence au Bistrot de Paris, 333 rue de Lille Paris 75007. Il convient de confirmer impérativement sa présence aux événements à contact@galeriehegoa.com
CITATIONS
« Il n'est nullement coupable de placer une manière de vivre et de penser au-dessus de toutes les autres, et d'éprouver peu d'attirance envers tel ou tel genre de vie, respectable en lui-même, mais qui s'éloigne par trop de celui auquel on est traditionnellement attaché » (Le regard éloigné, 1983)
“Le savant n'est pas l'homme qui fournit les vraies réponses, c'est celui qui pose les vraies questions.”
“Le barbare, c'est d'abord celui qui croit à la barbarie.”
Du 31 mars au 29 avril 2017. Vernissage le 30 mars 2017 dès 18 h 30 en présence de l'artiste et de Madame Lévi-Strauss
A la Galerie HEGOA
16, rue de Beaune - 75007 PARIS
Tél : +33 1 42 61 11 33
Du mardi au samedi de 11 h à 13 h et de 14 h à 19 h ou sur RV
Le siècle de Lévi-Strauss, de Pierre Assouline
2015, 53 min
Sur Arte les 6 juillet 2016 à 22 h 45, 9 janvier 2019 à 23 h 55, 20 janvier 2019 à 5 h 45
Le siècle de Lévi-Strauss, de Pierre Assouline
2015, 53 min
Sur Arte les 6 juillet 2016 à 22 h 45, 9 janvier 2019 à 23 h 55, 20 janvier 2019 à 5 h 45
« Claude Lévi-Strauss, pensée de notre temps » par Pierre
Beuchot
France, 2004, 59 minutes
Diffusion le 29 août 2012 à 23 h 15
Visuels
Visuels
Pierre de Vallombreuse
Peuple Palawan. Jeux d'enfants dans le torrent. 2014
Peuple Palawan Enfants se réchauffant sur un rocher - 2014
Peuple Palawan. Philippines. Retour dans la caverne. 1994
Peuple Papou. Un Dani dans un restaurant tenu par des colons indonésiens.1997
Peuple Yi. Sechuan. Chine. jeune berger. 1995
© Pierre de Vallombreuse
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Cet article a été publié le 27 août 2012, puis les 29 septembre 2015 et 6 juillet 2016, 29 mars 2017.
Cet article a été publié le 27 août 2012, puis les 29 septembre 2015 et 6 juillet 2016, 29 mars 2017.
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