Plus qu’un illustrateur, Lucien Hervé (1910-2007), artiste français Juif d'origine hongroise, a compris et représenté le travail des architectes, dont Le Corbusier, en des photographies en noir et blanc, aux contrastes accentués et empreintes de rigueur. La Jakopič Gallery · MGML accueille l'exposition "Lucien Hervé: Geometry Of Light" ("Lucien Hervé. Géométrie de la Lumière").
« Mon problème consiste à visualiser en deux dimensions un art de l’espace, en éliminant de son vocabulaire les redondances, les boursouflures pour ne retenir que les multiplicités de l’essentiel à mes yeux »
Lucien Hervé

La photographie, par hasard
László Elkán - Lucien Hervé est son nom de résistant - est né en 1910, à Hódmezővásárhely (au Sud de l’actuelle Hongrie), dans une famille juive bourgeoise hongroise. Croyant, son père Lajos, négociant en cuir, conseiller municipal, lui enseigne le respect de l’autre et meurt en 1920.
Le jeune László bénéficie d’une formation musicale - piano - et sportive - lutte gréco-romaine – poussée : il remporte le titre de vice-champion de lutte gréco-romaine. Dans la lutte, comme dans la photographie, c’est « ce millième de seconde qui décide de tout... », me confiait-il en 2002, alors que le Patrimoine photographique et la Galerie Camera Obscura rendaient à Paris un bel hommage à cet « architecte de l’image » guidé par le titre de l'exposition dans cette galerie : « Less is more », de l’épure à l’abstraction ».

Puis László Elkán rejoint en 1929 son frère à Paris où il complète sa formation en fréquentant les musées, est recruté par une banque, et vend ses modèles à de grands couturiers : Patou, Lelong, Chanel, Rochas et Schiaparelli, Worth.

Il milite à la CGT et entre au Parti communiste français (PCF), qui l’exclut en 1938, et s’active pendant les grèves dans la haute-couture.
Il gagne aussi sa vie comme journaliste, puis comme photographe par hasard en 1938 pour Marianne – il collabore avec Nicolas Müller, photographe hongrois, comme rédacteur des textes des reportages, puis, assure textes et photos après le départ de Müller de France en raison des accords de Munich - et Vu – reportages complets (textes et photos) - dans un style proche de la photographie humaniste. Son autoportrait en noir et blanc (1938) révèle les appréhensions d’un néophyte, une surprise un peu effrayée.

Il s’évade en septembre 1940 et retourne en France occupée par l’Allemagne nazie. Il rejoint le maquis du Vercors, réintègre le PCF et participe à la Libération de Paris.
En 1947, exclu du PCF, cet admirateur de Rembrandt et Picasso expose ses peintures, devient affichiste de cinéma, puis reprend, par nécessité, son Rolleiflex maniable, qui lui permet de saisir les détails. Il collabore pour des magazines - France Illustration, Regards et Point de vue - et débute une série récurrente PSQF (Paris Sans Quitter ma Fenêtre).
« Architecte de l’image »

Voyant ses photos du chantier de l’Unité d’habitation (Marseille, 1949) de Le Corbusier, celui-ci écrivait à Lucien Hervé : « Vous avez l’âme d’un architecte ». Ce qui rassure et encourage ce jeune photographe autodidacte.
Lucien Hervé devient le photographe attitré de Le Corbusier : à Chandigarh et Ahmedabad (Inde), au couvent de la Tourette ou à la chapelle de Ronchamp.

En 1962, pour la direction de l’Institut français d’archéologie au Moyen-Orient, Lucien Hervé photographie les sites archéologiques en Syrie, au Liban et en Iran.
Atteint par une sclérose en plaques en 1965, Lucien Hervé pratique le photomontage expérimental à partir de ses tirages - il les découpe, recadre et assemble, renouvelant ainsi son œuvre - et photographie son environnement. Il initie aussi sa série en couleurs « Abstractions » sur les superpositions d’affiches déchirées et de vieux murs.

Son but : exprimer le maximum avec le minimum de moyens (« Less is more »). Pourquoi cette large part des motifs géométriques ? Il sourit et répond en citant Platon : « Qui n’est pas géomètre n’entre pas ». C’est au tirage qu’il accentue ou non les ombres, dissimule ou non les détails ; ce qui laisse l’imagination interpréter une étrangeté, un reflet ou un mystère. Lucien Hervé déteste l’anecdote : il cherche l’universel et l’intemporel : « L’accusateur » (Delhi, 1955) ou la silhouette de l’ouvrier courbé par la fatigue ou par la chaleur sur le chantier de l’Unité d’habitation, la Cité Radieuse, confiée à Le Corbusier à Marseille (1949).

Doté d’un caractère rebelle, farouchement attaché à son indépendance, Lucien Hervé était également un moraliste, aimait les philosophes et déclarait : « En principe, je suis prêt à admirer tous ceux qui luttent pour la vie ». Dans la conversation, perçaient son humanité et sa pudeur.
Lucien Hervé a été distingué par de nombreux prix, et dont les œuvres sont montrées dans des galeries et musées dans le monde.

Dans la collection moderne du Centre Pompidou sont accrochés en 2011 une quarantaine des 63 tirages d’époque de Lucien Hervé donnés en 2009 par Judith Hervé, veuve de cet artiste. « Vivants », titre de l’exposition à la Maison de la photographie Robert Doisneau, est emprunté à Lucien Hervé qui « classait certaines boîtes de photographies » sous ce vocable.

Ce système de visualisation intéresse Le Corbusier, qui demande à Hervé de lui en fournir systématiquement un double : il peut ainsi avoir vue sur tout le travail du photographe et lui indiquer la référence des images dont il a besoin. La Fondation Le Corbusier a conservé environ douze cent de ces planches en parfait état.



En 2013, la Galerie Camera Obscura a rendu hommage à "quatre grands photographes du siècle" dont Willy Ronis et Lucien Hervé (1910-2007).


Le "révérend père Couturier, directeur de la revue l’Art sacré, fut à l’origine de la rencontre entre Lucien Hervé et Le Corbusier. Après avoir recommandé Lucien Hervé auprès de Matisse, puis auprès de Fernand Léger, il encouragea le photographe à se rendre à Marseille pour y photographier le chantier de l’Unité d’habitation. À la fin du mois de novembre 1949, Lucien Hervé réalisera en une seule journée plus de six cent clichés de l’œuvre monumentale avec son Rolleiflex".

Hervé "se verra ensuite confier la couverture photographique de l'œuvre plastique de Le Corbusier : peintures et sculptures, carnets de dessins, gravures, etc. Il réalisera également des portraits dans l’immeuble de la rue Nungesser et Coli : l’artiste au travail dans son atelier, images de Le Corbusier et d’Yvonne dans l’intimité de l’appartement. Un séjour dans le cadre exceptionnel du Cap-Martin sera également l’occasion de produire une série de clichés de vacances qui demeurent l’un des rares témoignages de la vie chaque été au Cabanon. Ces portraits témoignent de la grande proximité entre les deux hommes et de cette relation exceptionnelle entre les deux artistes qui dura plus de quinze ans".
"Chacun viendra puiser chez l'autre les éléments qui viendront enrichir son travail. Ils sont tous les deux habitués à transgresser les contraintes exercées parleurs pratiques respectives. L'architecte doit faire avec le terrain, le programme, le client, l'économie… Le photographe sait s'adapter à la demande,au climat, aux moyens, à la technique. Ils partagent une même approche formelle de la photographie – Le Corbusier l'a pratiquée en plusieurs occasions et il en a nourri ses créations – l'image originale est un matériau transformable, le document devient vite méconnaissable au bénéfice d'un pur objet plastique. L'usage qu'ils lui assignent sera cependant divergent, pour l'architecte, il s'agit de mettre en œuvre un outil de communication efficace tandis que le photographe cherche à approfondir sa pratique plasticienne. Il construit des images dont le cadre et la composition s'inspirent des formes épurées,rigoureuses et lyriques des bâtiments qu'il capte, les réinterprétant ensuite jusqu'à l'abstraction".
Le "travail d’Hervé contribua largement à la diffusion et à la connaissance de l’œuvre de Le Corbusier, celui-ci puisant abondamment dans ces ressources pour illustrer les volumes de son Œuvre complète pour réaliser le livre culte sur Ronchamp ou encore le testament intellectuel de L'Atelier de la recherche patiente. Il les confiera aussi très souvent aux revues et aux magazines qui le sollicitent pour des articles".

"Né en 1977 à Budapest, Illés Sarkantyu étudie à l’Université d’art applique Moholy-Nagy, ou il enseigne ensuite pendant deux ans, avant de venir s’installer a Paris en 2002. Il se lance alors dans la réalisation d’une série de portraits d’artistes et intellectuels hongrois vivants en France. C’est dans ce contexte qu’il rencontre le photographe Lucien Hervé en 2003.
Peu après la mort d’Hervé en 2007, Illés Sarkantyu est appelé par Judith Hervé pour l’aider à continuer l’exploitation de l’œuvre de son mari et de leur fils décédé, Rodolf, également photographe.
Sarkantyu photographie, classe et numérise, les chemises de rangement et les planches contacts se trouvant dans le studio, dans un but purement utilitaire.
En 2010 à l’occasion d‘une commande d’un film d’entretiens sur Hervé, Sarkantyu se trouve face à une question difficile : comment évoquer l’homme alors qu’il n’est plus ? Il redécouvre alors ses photographies des chemises de classement d’Hervé, émouvantes avec leurs annotations, perforations, pastilles colorées et bouts de scotch qui retracent les étapes de travail de Hervé mais aussi sa créativité quotidienne. Il retourne dans l’atelier de Hervé et découvre aussi intercalaires, objets poétiques, énigmatiques et toutes ces petites inventions intimes qui retracent en filigrane, l’histoire et la sensibilité de Lucien Hervé en contraste avec l’image très construite que l’on peut avoir de l’œuvre du photographe.

Cette exposition "met en regard les photographies de Sarkantyu et celle de Lucien Hervé avec l’ambition de créer un dialogue inédit". Cet « espace pour penser » ouvre ici le territoire inexploré de l’intime. Elle "révèle à la fois la méthode de travail de Lucien Hervé, sa découpe au ciseau du superflu : « Less is more », mais aussi son œil intraitable, qui de manière presque inconsciente, fait du moindre objet une composition abstraite".
Ce "jeu de mise en regard dévoile aussi le travail d’un jeune artiste hongrois : Illes Sarkantyu, dans sa pratique artistique, se réapproprie des images et, avec un « effort de mémoire », réécrit une nouvelle histoire aussi personnelle qu’universelle. Ici, tout en dévoilant l’ampleur de la créativité de Lucien Hervé, il évoque aussi sa situation propre en marge des limites du champ photographique".
Ce "tête à tête entre deux artistes, trouve son accomplissement dans la mise en regard de leurs deux œuvres qui se répondent et s’exaltent mutuellement, et qui finissent par ne plus avoir besoin de prétexte pour dialoguer. On est en face d’un véritable échange entre deux grands artistes".



Dans le cadre de la 4e édition de Photo Saint-Germain (7-22 novembre 2015), la galerie Le Minotaure présenta l'exposition collective Du Minimalisme dans la photographie d'architecture des origines à nos jours, avec des tirages de Lucien Hervé, d'Auguste Salzmann et James Casebere. "Trois photographes, trois périodes, trois perceptions. Auguste Salzmann à Jerusalem en 1854. Un siècle plus tard, Lucien Hervé à l’Abbaye du Thoronet, et à la Cité Radieuse de Le Corbusier. De nos jours, James Casebere et ses modèles d’architecture imaginaire. Malgré la distance qui sépare ces trois artistes, leurs procédés, une même recherche autour de la forme, de l’abstraction, du minimalisme, du goût pour la simplicité et le dépouillement de l’image, est traitée au travers de la photographie d’architecture". Une "déambulation de paysage en paysage, d’architecture en architecture avec toujours le même objectif, celui de proposer une vision pure de la photographie, sans retouche, se focalisant sur des détails, choisissant avec soin l’angle de cadrage, la lumière… "


James Casebere "construit à la manière de décors de théâtre ses maquettes d’espaces architecturaux anonymes, tunnels, couloirs, cellules de monastères, où le vide, l’enfermement, l’inondation menacent presque à chaque cliché".
Le Jeu de Paume présenta au Château de Tours l'exposition "Lucien Hervé - Géométrie de la lumière". "S’il a collaboré avec d’autres grands architectes du XXe siècle, le photographe Lucien Hervé (1910-2007) est surtout célèbre pour son travail avec Le Corbusier. Grand constructeur de l’image, un détail lui suffit pour parler de l’ensemble, et il parvient à exprimer l’espace avec la seule tension entre ombre et lumière. Lucien Hervé est aussi un observateur engagé du monde et de l’humanité, cherchant partout la « présence du vivant ». Ses cadrages en plongée ou en oblique lui permettent de jouer avec la géométrie, allant jusqu’à l’abstraction. Cette exposition au Château de Tours lui rend hommage en juxtaposant comme il le faisait, « l’universel et l’intemporel », l’ancien et le moderne, l’abstrait et l’humain."

Le 28 septembre 2019, aura lieu une visite guidée de l'exposition.




"Born in Hungary, Lucien Hervé (1910–2007) emigrated to France in 1929 with the intention of becoming a painter. It was his 1949 encounter with Le Corbusier that led him to dedicate himself entirely to photography. The vast majority of his pictures were taken over the course of two decades, which included a close collaboration with the renowned architect lasting fifteen years (1950–1965). He went on to work with other architectural greats of his time, such as Alvar Aalto, Walter Gropius, Marcel Breuer, and Oscar Niemeyer. For Hervé this was a time of back-to-back commissions and the discovery of locations all over the world."



"Hervé’s early works, from 1930 to approximately 1950, are characterised by their painterly composition based on a precarious balance of sharply contrasted surfaces and masses. From his photographs of the Eiffel Tower, marking the beginnings of his fascination with architecture, to those taken from the window of his studio, Hervé constructed his images with the greatest rigour in order to capture their essence. While it is rare for his photographs to make individuals their subject matter, Lucien Hervé was consistently driven by a deep faith in humanity."



COLOPHON


A la Jakopič Gallery · MGML
Slovenska cesta 9
1000 Ljubljana, Slovénie
Tel.: +386 1 42 54 096 ; +386 1 24 12 500
Du mardi au dimanche de 10 h à 18 h.
Visuels :
Lucien Hervé, « L’Accusateur », Delhi, Inde, 1955
© Lucien Hervé, Paris
Lucien Hervé, Centre du Congrès, Bienne,
Suisse (architecte : Max Schlupp), 1964
© Lucien Hervé, Paris
Lucien Hervé, L’Appartement, Paris, France,
années 1980-1990
© Lucien Hervé, Paris
Lucien Hervé, Chantier naval, Barcelone, Espagne, 1959
© Lucien Hervé, Paris
Lucien Hervé, L’Escurial, Espagne, 1959
© Lucien Hervé, Paris
Lucien Hervé, Guichets du Louvre, Paris,
France, 1948 © Lucien Hervé, Paris
Lucien Hervé, Mantes-la-Jolie, France, 1947
© Lucien Hervé, Paris
Lucien Hervé, Observatoire, Jaïpur, Inde, 1955
© Lucien Hervé, Paris
Lucien Hervé, Mur, Saint-Paulien,
France, 1952
© Lucien Hervé, Paris
Lucien Hervé, Observatoire, Delhi, Inde, 1955
© Lucien Hervé, Paris
Lucien Hervé, P.S.Q.F. (Paris Sans Quitter ma Fenêtre), 1947
© Lucien Hervé, Paris
Lucien Hervé, Parthénon, Athènes, Grèce, 1961
© Lucien Hervé, Paris
Lucien Hervé, Plage, années 1960
© Lucien Hervé, Paris
Lucien Hervé, Tour Eiffel, Paris, France, 1944
© Lucien Hervé, Paris
Visuels :
Lucien Hervé, « L’Accusateur », Delhi, Inde, 1955
© Lucien Hervé, Paris
Lucien Hervé, Centre du Congrès, Bienne,
Suisse (architecte : Max Schlupp), 1964
© Lucien Hervé, Paris
Lucien Hervé, L’Appartement, Paris, France,
années 1980-1990
© Lucien Hervé, Paris
Lucien Hervé, Chantier naval, Barcelone, Espagne, 1959
© Lucien Hervé, Paris
Lucien Hervé, L’Escurial, Espagne, 1959
© Lucien Hervé, Paris
Lucien Hervé, Guichets du Louvre, Paris,
France, 1948 © Lucien Hervé, Paris
Lucien Hervé, Mantes-la-Jolie, France, 1947
© Lucien Hervé, Paris
Lucien Hervé, Observatoire, Jaïpur, Inde, 1955
© Lucien Hervé, Paris
Lucien Hervé, Mur, Saint-Paulien,
France, 1952
© Lucien Hervé, Paris
Lucien Hervé, Observatoire, Delhi, Inde, 1955
© Lucien Hervé, Paris
Lucien Hervé, P.S.Q.F. (Paris Sans Quitter ma Fenêtre), 1947
© Lucien Hervé, Paris
Lucien Hervé, Parthénon, Athènes, Grèce, 1961
© Lucien Hervé, Paris
Lucien Hervé, Plage, années 1960
© Lucien Hervé, Paris
Lucien Hervé, Tour Eiffel, Paris, France, 1944
© Lucien Hervé, Paris
Du 18 novembre 2017 au 27 mai 2018
Au Château de Tours
25 avenue André Malraux – 37000 Tours
Tél. : 02 47 21 61 95
Horaires : du mardi au dimanche de 14 h à 18 h. Fermé le lundi.
Du 7 au 22 novembre 2015
A la galerie Le Minotaure
2, rue des Beaux Arts. 75006 Paris
Du mardi au samedi de 11 h à 13 h et de 14 h à 19 h
Tél. : 01 43 54 62 93
Tél. : 02 47 21 61 95
Horaires : du mardi au dimanche de 14 h à 18 h. Fermé le lundi.
Du 7 au 22 novembre 2015
A la galerie Le Minotaure
2, rue des Beaux Arts. 75006 Paris
Du mardi au samedi de 11 h à 13 h et de 14 h à 19 h
Tél. : 01 43 54 62 93
Du 22 mars au 11 mai 2013. Vernissage le 21 mars à 18 h.
A la Galerie Camera Obscura268, boulevard Raspail, 75006 Paris
Tél. : + 33 1 45 45 67 08
Du mardi au vendredi de 12 h à 19 h et le samedi de 11 h à 19 h.
Du 21 octobre au 30 janvier 2015
A la Fondation Le Corbusier, Paris
10, square du Docteur Blanche. 75016 Paris
Tél. : 01.42.88.41.53
Lundi : 13h30 - 18h. Mardi au Samedi : 10h - 18h. Fermeture : dimanche, lundi matin et jours fériés
A la Fondation Le Corbusier, Paris
10, square du Docteur Blanche. 75016 Paris
Tél. : 01.42.88.41.53
Lundi : 13h30 - 18h. Mardi au Samedi : 10h - 18h. Fermeture : dimanche, lundi matin et jours fériés
5, rue Legouvé. 75010 PARIS
Tél. : +33 (0)1 78 94 03 00
Du mercredi au samedi de 14 à 19 heures. Lundi et mardi sur rendez-vous
Vernissage le 6 novembre 2014, de 18 h à 21 h
Du 16 octobre - 22 novembre 2014
A la Galerie Vieille du Temple
23, rue Vieille du temple. 75 004 Paris
Tél. : 01 40 29 97 52
Du mardi au samedi de 13 h à 19 h et sur rdv
A la Galerie Vieille du Temple
23, rue Vieille du temple. 75 004 Paris
Tél. : 01 40 29 97 52
Du mardi au samedi de 13 h à 19 h et sur rdv
Du 9 novembre au 23 décembre 2012
Exposition collective Fidélité, découvertes, enthousiasme !
A la Galerie du jour/Agnès B.
44, rue Quincampoix, 75004 Paris
Tél. : 01 44 54 55 90
Du mardi au samedi de 12 h à 19 h
Du 13 janvier au 25 février 2012
Lucien Hervé/Contacts
A la Galerie Camera Obscura
268, boulevard Raspai, 75006 Paris
Tél. : + 33 1 45 45 67 08
Du mardi au samedi de 13 h à 19 h et sur rendez-vous
Jusqu’au 30 avril 2011
1, rue de la division du Général Leclerc, 94250 Gentilly
Tél. : 01 55 01 04 86
Du mercredi au vendredi de 12 h à 19 h, samedi et dimanche de 14 h à 19 h.
Salle 40
Piazza, place Georges Pompidou, 75191 Paris cedex 04
Tél. : 01 44 78 12 33
Ouvert tous les jours, sauf le mardi, de 11 h à 21 h.
Visuels de haut en bas :
© Lucien Hervé
L’unité d’habitation (Le Corbusier), Marseille, 1949
Courtesy galerie Camera Obscura
© Lucien Hervé
Toscane, 1949
© Lucien Hervé
La tour Eiffel, 1944
Courtesy galerie Camera Obscura
© Lucien Hervé
PSQF (série Paris sans quitter ma fenêtre),
Boulevard d’Amiens, 1949
Courtesy galerie Camera Obscura
© Lucien Hervé
Sur le toit de l’Unité d’habitation, Marseille, 1953
Courtesy galerie Camera Obscura
© Lucien Hervé
Marcel Breuer, 1954
Courtesy galerie Camera Obscura
© Lucien Hervé
Visiteurs anglais, gare du Nord, 1949
Courtesy galerie Camera Obscura
© Lucien Hervé
Chantier de Chandigarh, Inde, 195
Courtesy galerie Camera Obscura
L’unité d’habitation (Le Corbusier), Marseille, 1949
Courtesy galerie Camera Obscura
© Lucien Hervé
Toscane, 1949
La tour Eiffel, 1944
Courtesy galerie Camera Obscura
© Lucien Hervé
PSQF (série Paris sans quitter ma fenêtre),
Boulevard d’Amiens, 1949
Courtesy galerie Camera Obscura
© Lucien Hervé
Sur le toit de l’Unité d’habitation, Marseille, 1953
Courtesy galerie Camera Obscura
© Lucien Hervé
Marcel Breuer, 1954
Courtesy galerie Camera Obscura
© Lucien Hervé
Visiteurs anglais, gare du Nord, 1949
Courtesy galerie Camera Obscura
© Lucien Hervé
Chantier de Chandigarh, Inde, 195
Courtesy galerie Camera Obscura
© Lucien Hervé
La haute-cour de Chandigarh, 1955.
Planche composée par Lucien HervéChapelle de Ronchamp, 1954.
Planche composée par Lucien Hervé
Courtesy galerie Camera Obscura
Pavillon Philips (Le Corbusier), Bruxelles, 1958
Tirage d’époque par contact
Courtesy galerie Camera Obscura
Série PSQF, vers 1949
Tirage argentique postérieur
Courtesy galerie Camera Obscura
Lucien Hervé : Les vacances de Monsieur Le Corbusier
Photo : Lucien Hervé, Le Corbusier devant le cabanon, Cap Martin - Roquebrune 1951
© FLC-ADAGP / Lucien Hervé / J. Paul Getty Trust
Lucien Hervé : Les vacances de Monsieur Le Corbusier
Photo : Lucien Hervé, L'intérieur de Cabanon de Le Corbusier, Cap Martin - Roquebrune 1951
© FLC-ADAGP / Lucien Hervé / J. Paul Getty Trust
Lucien Hervé : Les vacances de Monsieur Le Corbusier
Photo : Lucien Hervé, Le Corbusier devant le cabanon, Cap Martin - Roquebrune 1951
© FLC-ADAGP / Lucien Hervé / J. Paul Getty Trust
Carton d'invitation
Lucien Hervé (à gauche)
Flic, 1947, vintage signé,
9,2 x 7,6 cm
Illés Sarkantyu
Flic 1947 LH, 2014, tirage pigmentaire signé,
9,2 x 7,6 cm, édition 1/5
Lucien Hervé (en haut)
Echafaudages métalliques du CNIT, Bernard Zehrfuss architecte, 1956-57, vintage signé,
16 x 19 cm
Illés Sarkantyu
Kerguéhennec, 2013, tirage pigmentaire signé,
50 x7 5 cm, édition 1/5
Lucien Hervé (à gauche)
Abstraction, 1963, tirage moderne non signé, tamponné,
30x24 cm
Illés Sarkantyu
Noir, Prouvé, 2014, tirage pigmentaire signé,
50x40 cm, edition 1/5
Lucien Hervé
Autoportrait, Paris, 1938,
tirage gélatinoargentique moderne signé par l’artiste, 17 cm x 16,5 cm (sur papier 24 x 30 cm) ©Lucien Hervé/Courtesy Les Douches La Galerie
Rodolf Hervé
Autoportrait, Budapest, 1993,
tirage jet d’encre, 2008, 45 x 50 cm Édition de 7
©Rodolf Hervé/Courtesy Les Douches La Galerie
Lucien Hervé : Les vacances de Monsieur Le Corbusier
Photo : Lucien Hervé, La main de Le Corbusier avec un galet, Cap Martin - Roquebrune 1951
© FLC-ADAGP / Lucien Hervé / J. Paul Getty Trust. Tirage argentique moderne. 30 x 40 cm
Auguste Salzmann, Jérusalem, escalier dans la roche menant à l’ancienne Porte des Maghrébins, 1854,
Lucien Hervé, Le Thoronet, l’arche du cloître au levé du soleil
C.1951,
Auguste Salzmann, Jérusalem, escalier dans la roche menant à l’ancienne Porte des Maghrébins, 1854,
calotype sur carton, 33,1 x 23,5 cm
© Archives Galerie Le MinotaureLucien Hervé, Le Thoronet, l’arche du cloître au levé du soleil
C.1951,
tirage-gélatino argentique d’époque,
10,8 x 20,6 cm
© Archives Galerie Le Minotaure
Articles sur ce blog
concernant :
Aviation/Mode/SportsChrétiens
Culture,
France
Il ou elle a dit...
Judaïsme/Juifs
Shoah (Holocaust)
Les citations proviennent des dossiers de presse.
Cet article a été publié en une version plus concise dans le n°634 de mars 2011 de L’Arche, sur ce blog en 2011, les 12 février et 20 décembre 2012, 21 mars 2013, 21 octobre 2014, 6 et 29 janvier , 13 mars et 4 novembre 2015, 27 mai 2018. Il a été mis à jour le 24 septembre 2019.
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