Le comédien Juif américain Peter Falk (1927-2011) a débuté dans le théâtre new-yorkais d’avant-garde, puis à Hollywood et dans le cinéma dit d’auteur (John Cassavetes). La série télévisée mythique Columbo (1968-2003) l’a rendu mondialement célèbre. Juste une dernière chose… Les mémoires de Columbo (Michel Lafon), livre de souvenirs, est paru avant que ne soit connue la maladie neurodégénérative dont il souffrait. Arte diffusera le 31 octobre 2022 à 20 h 50 "Un cadavre au dessert" (Eine Leiche zum Dessert) de Robert Moore, avec Peter Falk, David Niven, Peter Sellers et Maggie Smith.
« Ce livre n’est pas une autobiographie », avertit Peter Falk dès l’avant-propos de Juste une dernière chose… Les mémoires de Columbo (Michel Lafon), où il égrène des anecdotes drôles sur ses tournages, évoque son père ahuri et incrédule devant les étrangetés du monde du cinéma, ses amis, ou sa seconde épouse, l’actrice Shera Danese.
Les premiers pas à Broadway
Peter Falk naît en 1927 à New York et grandit à Ossining (New York). C’est un collégien sportif sans vocation artistique.
Ce jeune homme cherche sa voie. Il s’engage en juin 1945 dans la Marine, tente de rejoindre les rangs des combattants juifs lors de la guerre d’Indépendance de l’Etat juif renaissant…
Diplômé en science politique et administration publique, il échoue lors d’un entretien d’embauche à la CIA et entre à la direction du Budget du Connecticut comme conseiller à la productivité.
Intimidé par les artistes qu’il plaçait sur un piédestal, ce n’est qu’en 1956, à l’âge de 29 ans, après avoir suivi des cours de comédie, qu’il se décide à devenir acteur professionnel.
Il s’installe dans le quartier de Greenwich Village, « cœur du théâtre d’avant-garde dans la Grosse Pomme », et débute dans le off Broadway. Il connaît le succès dans Le marchand de glaces est passé d’Eugene O’Neill avec Jason Robards.
Le cinéma ? Harry Cohn, le patron de Columbia Pictures, ne propose pas de contrat à ce « futur John Garfield » au motif : « Pour le même prix, jeune homme, je préfère m’offrir un acteur avec deux yeux ». Une allusion à son œil de verre. A l’âge de trois ans, Peter Falk a subi l’ablation de son œil droit atteint d’un cancer.
Son interprétation d’un truand – il a beaucoup observé les mafieux dans les salles de billard de la côte Est – dans le film de Stuart Rosenberg Crime, société anonyme (1960) est saluée par la critique. L’acteur Sal Mineo l’invite alors à « faire campagne pour les Oscar ». Une première sélection suivie de bien d’autres…
La Grande course autour du monde
Peter Falk alterne les rôles au cinéma, au théâtre et parfois à la télévision (Les Incorruptibles). Il tourne sous la direction de Frank Capra (Milliardaire pour un jour, 1961), Stanley Kramer (Un monde fou, fou, fou, 1963), Blake Edwards (La grande course autour du monde, 1965), Sidney Pollack (Un château en enfer, 1968), Arthur Hiller (Ne tirez pas sur le dentiste, 1979)…
En 1965, Blake Edwards réalise The Great Race (La Grande course autour du monde) avec Tony Curtis, Natalie Wood, Jack Lemmon, et Peter Falk...
"1908. Six voitures prennent le départ de la première grande course automobile autour du monde qui va de New York à Paris. Parmi les concurrents, l'ignoble professeur Fate et son âme damnée, Max, sont prêts à tout pour éliminer leurs adversaires. Bientôt, ils n'ont plus qu'un seul concurrent : le séduisant Leslie. Ce dernier voyage dans sa "Leslie spécial" en compagnie de Maggie DuBois, une jolie journaliste new-yorkaise et féministe..."
"Une course-poursuite hilarante et échevelée autour du monde, entre l'ignoble professeur Fate et l'élégant Leslie... Un film culte signé Blake Edwards, avec une distribution éblouissante".
Cette "comédie échevelée inspirée du slapstick (burlesque muet) est hilarante de la ligne de départ à celle d'arrivée. Des sabotages à répétition aux bagarres de tartes à la crème (celle du palais de Carpania est directement inspirée de La bataille du siècle réalisé par Laurel et Hardy en 1927), des courses-poursuites en Alaska et dans la jungle jusqu'à l'écroulement de la tour Eiffel, Blake Edwards ne s'autorise aucun temps mort. Il réalise là un de ses meilleurs films, servi par une époustouflante distribution - notamment Jack Lemmon, parfait en ignoble professeur Fate, et Tony Curtis, irrésistible en pilote de charme d'une élégance à toute épreuve".
En 1968-1969, Hanna et Barbera se sont inspiré du film pour créer Wacky Races (Courses délirantes, Les Fous du volant), série de dessins animés américains humoristiques. Une série de trente-quatre épisodes de onze minutes diffusée avec succès par les télévisions américaines, françaises, canadienne, etc. A bord de la Démone Double-Zéro Grand Sport (The Mean Machine) : Satanas et Diabolo (Dick Dastardly & Muttley). Pénélope Jolicœur (Penelope Pitstop) circule à bord du véhicule n° 5, la Compact PussyCat (The Compact Pussycat) et Pierre de Beau-Fixe (Peter Perfect), play-boy conduit l'automobile n° 9, la Turbo Terrific (The Turbo Terrific)
Peter Falk alterne les rôles au cinéma, au théâtre et parfois à la télévision (Les Incorruptibles). Il tourne sous la direction de Frank Capra (Milliardaire pour un jour, 1961), Stanley Kramer (Un monde fou, fou, fou, 1963), Blake Edwards (La grande course autour du monde, 1965), Sidney Pollack (Un château en enfer, 1968), Arthur Hiller (Ne tirez pas sur le dentiste, 1979)…
En 1965, Blake Edwards réalise The Great Race (La Grande course autour du monde) avec Tony Curtis, Natalie Wood, Jack Lemmon, et Peter Falk...
"1908. Six voitures prennent le départ de la première grande course automobile autour du monde qui va de New York à Paris. Parmi les concurrents, l'ignoble professeur Fate et son âme damnée, Max, sont prêts à tout pour éliminer leurs adversaires. Bientôt, ils n'ont plus qu'un seul concurrent : le séduisant Leslie. Ce dernier voyage dans sa "Leslie spécial" en compagnie de Maggie DuBois, une jolie journaliste new-yorkaise et féministe..."
Cette "comédie échevelée inspirée du slapstick (burlesque muet) est hilarante de la ligne de départ à celle d'arrivée. Des sabotages à répétition aux bagarres de tartes à la crème (celle du palais de Carpania est directement inspirée de La bataille du siècle réalisé par Laurel et Hardy en 1927), des courses-poursuites en Alaska et dans la jungle jusqu'à l'écroulement de la tour Eiffel, Blake Edwards ne s'autorise aucun temps mort. Il réalise là un de ses meilleurs films, servi par une époustouflante distribution - notamment Jack Lemmon, parfait en ignoble professeur Fate, et Tony Curtis, irrésistible en pilote de charme d'une élégance à toute épreuve".
En 1968-1969, Hanna et Barbera se sont inspiré du film pour créer Wacky Races (Courses délirantes, Les Fous du volant), série de dessins animés américains humoristiques. Une série de trente-quatre épisodes de onze minutes diffusée avec succès par les télévisions américaines, françaises, canadienne, etc. A bord de la Démone Double-Zéro Grand Sport (The Mean Machine) : Satanas et Diabolo (Dick Dastardly & Muttley). Pénélope Jolicœur (Penelope Pitstop) circule à bord du véhicule n° 5, la Compact PussyCat (The Compact Pussycat) et Pierre de Beau-Fixe (Peter Perfect), play-boy conduit l'automobile n° 9, la Turbo Terrific (The Turbo Terrific)
Columbo
Peter Falk joue dans Le prisonnier de la 2e avenue de Neil Simon (1971), Glengarry Glen Ross de David Mamet (1986), Le désarroi de M. Peter de Arthur Miller (1998).
C’est en 1971 qu’il acquiert une célébrité mondiale en interprétant le lieutenant Colombo dans une série télévisée dont il signe le scénario et la réalisation de quelques épisodes et qui prend fin en 2003. C’est avec un soin méticuleux que Peter Falk compose son personnage : il choisit parmi ses vêtements un vieil imper froissé pour camper un policier intelligent et débonnaire, à la dégaine négligée, à l’indéfectible politesse, à l’éternelle étourderie, à la profonde modestie et aux répliques devenues cultes : « Quand je dirai çà à ma femme… Juste une dernière chose ». Son jeu sera récompensé par quatre Emmy Awards.
Cet acteur en quête d’expériences originales évoque notamment Frank Sinatra, producteur respectant sa promesse (Les Sept voleurs de Chicago, 1964), John Cassavetes (Husbands), dont il loue la « fertilité de l’esprit », et le réalisateur allemand Wim Wenders (Les ailes du désir).
De Peter Falk, on découvre la distraction, la curiosité qui l’incite à aller dans la Yougoslavie de Tito, l’ironie et ses hobbies, dont le dessin de femmes au fusain et à l’aquarelle.
On peut regretter que Peter Falk évoque peu sa famille juive - père d’origine russe, mère d’origine polonaise et tchèque – dont l’ancêtre Miksa Falk était le rédacteur en chef de Pester Lloyd, journal de langue allemande de Budapest (Hongrie).
"Un cadavre au dessert"
Arte diffusera le 31 octobre 2022 à 20 h 50 "Un cadavre au dessert" (Eine Leiche zum Dessert ; Murder by Death) de Robert Moore (1976).
"Invités dans un manoir, cinq célèbres détectives devront découvrir le meurtrier annoncé de l’un d’entre eux... Un hilarant jeu de massacre qui dézingue les codes du roman policier, avec une joyeuse brochette de stars, dont Peter Falk, David Niven, Peter Sellers et Maggie Smith".
"“Vous êtes cordialement invités à un dîner et à un meurtre samedi soir.” Le bristol reçu par les cinq meilleurs détectives du monde ne pouvait que les inciter à se rendre dans le manoir de leur hôte, le mystérieux millionnaire Lionel Twain. À leur arrivée, tout bascule dans l’étrange : des cariatides manquent de leur tomber dessus, le majordome est aveugle, la cuisinière, sourde-muette et l’ambiance, glaciale. Au cours du repas, l’excentrique Lionel Twain leur annonce qu'une des personnes attablées sera assassinée à minuit et que le détective qui résoudra le meurtre touchera 1 million de dollars. La tension monte... "
"Dans cet hilarant jeu de massacre, le coupable n’est sans doute à chercher ni parmi les invités ni chez le manipulateur millionnaire, mais bien du côté de l’équipe du film."
"Robert Moore et son scénariste Neil Simon ont consciencieusement prémédité la mise à sac de tous les codes du polar dans un pastiche si acide et cinglant qu’il confine à la satire".
"Toutes les ficelles du genre sont ici moquées : les informations cachées au public, les liens secrets entre les personnages qui expliquent l’incompréhensible au finale, les déductions tirées par les cheveux des détectives..."
"Pour mener à bien leur forfait, les auteurs ont convoqué devant la caméra une scintillante bande de tueurs à gag(e)s : James Coco, Peter Falk, Elsa Lanchester, David Niven, Peter Sellers, Alec Guiness, Truman Capote ou Maggie Smith s’en donnent à cœur joie et dézinguent à tout va les figures tutélaires du roman noir, Earl Derr Biggers, Dashiell Hammett ou Agatha Christie".
"Propulsé par ce casting cinq étoiles, l’humour absurde de ce huis clos délirant, parfois poussé jusqu'au grotesque assumé, est porteur d’un message : auteurs de romans policiers (en herbe ou confirmés), on vous surveille... "
Fin de vies
Le 13 février 2010, le comédien Serge Sauvion, qui avait post-synchronisé Peter Falk dans la série des Columbo, est mort à 80 ans à Asnières (banlieue de Paris).
Peter Falk est décédé à l'âge de 83 ans à Beverley Hills, le 23 juin 2011. Il souffrait de la maladie d'Alzheimer.
"Peter Falk versus Columbo"
Arte diffusa le 31 mars 2019 "Peter Falk versus Columbo", documentaire de Gaelle Royer et Pascal Cuissot. "Comment l'acteur Peter Falk a créé, puis vécu, avec l'un des plus populaires antihéros de télévision de tous les temps. Un joyeux portrait en forme d'enquête". "À travers des images d’archive, des interviews et extraits de ses films et séries TV, ce film mène l’enquête sur l’incroyable succès du personnage de série TV Columbo, et sur l'acteur légendaire qui l'a incarnée."
"Peter Falk n'est pas seulement ce flic sympathique et débraillé de Los Angeles. Acteur de cinéma et de théâtre, il fut dirigé par les plus grands réalisateurs du XXème siècle : Nicolas Ray, Frank Capra, Blake Edwards, William Friedkin, Sydney Pollack… Nominé deux fois aux Oscars, récompensé à de multiples reprises aux Emmy Awards, Golden globes, et autres prix prestigieux, le parcours atypique de cet acteur reste pourtant une énigme."
"Premier antihéros de l’histoire des séries, Columbo est aussi l’un des rares personnages de télévision à être devenu une icône internationale. Mais si, de 1968 à 2003, plus de deux milliards de téléspectateurs dans le monde ont suivi ses enquêtes sur le petit écran, une infime partie d’entre eux connaît le nom de celui qui l’a incarné. Disparu en 2011, Peter Falk s'est si bien approprié le rôle qu'il en est venu à se confondre avec ce dernier. L’imperméable froissé, il l’a tiré de sa propre penderie, avant de choisir lui-même son véhicule, une vieille Peugeot abandonnée dans un studio par un Français de passage. Et une fois la première saison lancée, en 1971, ce déjà gros fumeur se mettra au cigare mâchonné. Quant à l’irrésistible dissymétrie du regard – la pupille droite fixe semblant confondre le coupable, la gauche plissée en signe de fausse perplexité –, elle procède d’une trouvaille d’acteur pour surmonter un handicap d’abord jugé rédhibitoire par l’un des patrons d’Hollywood : la perte, à 3 ans, d’un œil, remplacé par une prothèse."
"Mi-biographie, mi-enquête policière, ce portrait malicieux et alerte, à l'image d'un acteur qui ne s'est jamais pris trop au sérieux, raconte comment s'est fabriquée, au fil des saisons, la symbiose unique entre Peter Falk et son double de fiction. Mais il rappelle aussi que ce natif du Bronx, qui a embrassé sur le tard, à 29 ans, le métier de comédien, a joué dans d’innombrables pièces de théâtre et films – notamment pour Nicholas Ray, Frank Capra, Blake Edwards, William Friedkin, Wim Wenders, et surtout pour son ami John Cassavetes, qui lui a donné ses plus beaux rôles dans Husbands (1970) puis Une femme sous influence (1974). Archives, extraits de films et entretiens ressuscitent le "vrai" Columbo dans toutes ses dimensions."
"Peter Falk, imper et classe"
Irène Berelowitch a écrit dans Arte magazine (n° 14, 30 mars-5 avril 2019) :
“Peter, c’est Columbo”
"En près de soixante-dix épisodes, de 1968 (il a alors 40 ans) à 2003, Peter Falk s’est si bien fondu dans les manières et les répliques du sagace enquêteur de Los Angeles (“Juste une dernière chose…”) qu’aux yeux de générations de téléspectateurs il a disparu derrière le personnage. Une identification accomplie dès le départ : “N’écris rien pour Peter, puisque Peter, c’est Columbo”, recommandent Richard Levinson et William Link, les créateurs de la série, à Steven Bochco, l’un de ses scénaristes. Aussi modeste, coriace et obsessionnel que son alter ego, l’acteur, qui d’ailleurs s’est souvent satisfait d’exceller dans les seconds rôles, se disait invariablement heureux de l’immense célébrité que lui a apportée le rôle, fût-ce en faisant oublier son véritable nom.
Cassavetes selon Falk
Devenu, grâce aussi à Columbo, l’acteur le mieux payé d’Hollywood, Falk pourra cofinancer, en 1974, Une femme sous influence, le film de son ami Cassavetes que tous les studios ont refusé. Il y gagne entre autres l’un de ses plus grands rôles, celui du mari amoureux et paumé de Gena Rowlands, magnifique en femme au foyer à la dérive. Les deux hommes se sont rencontrés en 1970 sur le plateau de Mikey et Nicky, d’Elaine May. Le cinéaste propose alors à Peter Falk un tournage en roue libre : Husbands, où ils forment avec Ben Gazzara un trio mémorable, scelle leur alliance à la vie comme à l’écran. “John était obnubilé par l’envie de montrer ce besoin très humain, absolu, d’aimer et d’être aimé, et combien c’est difficile”, résumera Falk.
Un ange à Berlin
“T’as vu ? C’est Columbo !” En 1987, pour Les ailes du désir, Wim Wenders promène l’acteur dans l’hiver berlinois, dans la peau d’un ange redevenu homme qui ressemble terriblement, non à Columbo, mais à Peter Falk. Comme ce dernier, il aime fumer, dessiner, jurer d’une voix rocailleuse en exagérant son accent juif new-yorkais, et se fondre dans le décor, caché derrière son avatar célèbre et de faux airs dilettantes : “Est ce que je suis meilleur acteur maintenant que je l’étais autrefois ? Quoi qu’on fasse, ils disent toujours que c’est formidable.”
Site du comédien :
http://www.peterfalk.com/
Peter Falk, Juste une dernière chose… Les mémoires de Columbo. Michel Lafon. Paris, 2006. 272 pages. ISBN : 2-7499-0572-9
Peter Falk, Juste une dernière chose… Les mémoires de Columbo. Michel Lafon. Paris, 2006. 272 pages. ISBN : 2-7499-0572-9
"Un cadavre au dessert" de Robert Moore
Etats-Unis, 1976
Scénario : Neil Simon
Production : Rastar Pictures, Columbia Pictures
Producteur : Ray Stark
Image : David M. Walsh
Montage : John F. Burnett
Musique : Dave Grusin
Avec Eileen Brennan (Tess Skeffington), Truman Capote (Lionel Twain), James Coco (l'inspecteur Milo Perrier),
Peter Falk (Sam Diamond), Alec Guinness (Bensonmum), Elsa Lanchester (Jessica Marbles), David Niven (Dick Charleston),
Peter Sellers (Sidney Wang), Maggie Smith (Dora Charleston), James Cromwell (Marcel), Richard Narita (Willie Wang), Estelle Winwood (mademoiselle Withers)
Sur Arte les 31 octobre 2022 à 20 h 50, 02 novembre 2022 à 13 h 35, 16 novembre 2022 à 13 h 35
France, ZED pour ARTE France, 2018, 52 min
Sur Arte les 31 mars 2019 à 22 h 45 et 13 avril 2019 à 6 h 25, 17 mai 2020 à 22 h 50
52 min
Disponible du 10/05/2020 au 18/06/2020
Visuels :
Peter Falk
Peter Falk et Martin Landau
Scène d' un épisode " Columbo" avec Peter Falk
Peter Falk dans le rôle de Columbo
© ZED
La Grande course autour du monde, de Blake Edwards
Warner Bros., Patricia, Jalem Productions, Reynard, Martin Jurow, 1965, 146 min
Auteur : Arthur A. Ross, Blake Edwards
Image : Russell Harlan
Montage : Ralph E. Winters
Musique : Henry Mancini
Scénario: Arthur A. Ross
Avec Jack Lemmon, Tony Curtis, Nathalie Wood, Peter Falk, Arthur O'Connell, Dorothy Provine, Larry Storch, Ross Martin
Sur Arte les 25 mars à 13 h 35 et 13 avril 2013 à 13 h 35
Warner Bros., Patricia, Jalem Productions, Reynard, Martin Jurow, 1965, 146 min
Auteur : Arthur A. Ross, Blake Edwards
Image : Russell Harlan
Montage : Ralph E. Winters
Musique : Henry Mancini
Scénario: Arthur A. Ross
Avec Jack Lemmon, Tony Curtis, Nathalie Wood, Peter Falk, Arthur O'Connell, Dorothy Provine, Larry Storch, Ross Martin
Sur Arte les 25 mars à 13 h 35 et 13 avril 2013 à 13 h 35
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